pour pouvoir supporter de se faire doubler
en vélo par des des diesels en sous régime et des 4-4 i2,
il faut les cartouches de type P3 avec la bande bleu et blanche: pour les
oxydes d'azotes (bande bleue) et les particules (bande blanche).
Il faut les combiner avec A1B1E1K1 pour traverser une zone industrielle,
mais
c'est bien la cartouche P3 qui est la seule à peu près ciblée
pour le NO et les particules qui est la composante majeure de la nuisance
des diesels(c'est sur ce point que les diesels sont pires que l'essence).
aucune cartouche ne semble filtrer le monoxyde de carbone, pour les
voitures modernes à essence, catalysées, qui font 10 fois
plus de monoxyde de carbone que les diesels (c'est sur ce point que l'essence
est pire que le diesel), l'intoxication au monoxyde de carbone est moins
grave que celle au NO plus particules (cela guéri en quelques jours)
et ne fait que des maux de tête et des contre performances physiques.
SAPU
Gaz de type "nazopabon" (pas bon pour les naseaux) qui porte pour cette
page ce nom farfelu car il s'git en fait de gaz inconnu, et peut être
même pas indicateurs de pollution, et sans doute de formule chimique
fortement variable
ils sont émis par les voitures diesel, parfois essences, qui
possèdent un moteur "suralimenté" (j'ai obtenu cette information
sur les alimentation du moteur en lisant un historique de l'évolution
des voitures), dans les cas suivant
- régime correct mais excès de couple
- sous régime
- moteur au ralentit
du SAPU est émis en veux tu en voilà, pan! dans les narines!
une composante de ce gaz rappelle l'acide nitrique, il s'agit je pense
d'oxydes ou de dioxyde d'azotes; il sont plus piquants que porteur d'une
odeur.
Une autre composante donne l'impression de respirer de la poussière
fine, comme si on respirait du tapis secoué
Ce type d'odeur n'est presque jamais émis par une voiture construite
avant 1998, il semble donc que le SAPU soit associé à la
suralimentation. je ne dis pas que les anciennes voitures ne puent pas,
au contraire elles puent plus, mais par rapport à ce que ça
sent, cela paraît moins toxique, moins percinieux, et les anciennes
voitures ont un moteur qui a son mot à dire dans l'habitacle: elles
sont MIEUX CONDUITES, sinon: elles callent purement et simplement...
odeur du SAPU justement les composant odorant sont éliminés:
le SAPU a une texture, mais pas vraiment une odeur, de ce fait la plupart
des gens ne le sentent pas ou du moins n'interprêtent pas la sensation
comme une odeur: en présence de SAPU si on n'isole pas les sensations,
le pollen semble irrittant, les fleurs semble avoir une odeur gênante,
bref: le SAPU fait penser que tout PU, on dit "sa pue" en parlant de la
nature: marais, fleurs, platane, tout ce qui est accusé souvent
à tord d'être allergène.
pour compliqué les chôses, il y a un effet de seuil: on
ne détecte semble t'il le SAPU que si on débite beaucoup
d'air. il semble bien que rares sont les personnes qui débitent
plus que 3 à 5 fois le débit d'air de repos, pour aller plus
loin il faut avoir un fort niveau sportif. les athlètes sont rares,
et ceux ci seulement, qui capable de faire plus de 3 watts/kilo en endurance
aérobie multiplient ainsi par un ordre de grandeur de 10, les échanges
gazeux, et ILS LE FONT AU QUOTIDIEN (il n'est pas possible d'atteindre
untel niveau avec du sport "de temps en temps".
Parmis cette population rare, rare encore sont ceux qui ne sont pas
absorbés par le sport, car à ce niveau là, le sport
est un enjeu compétitif et non plus de la contemplation, concentrés
ils sont, "la tête dans le guidon", ils subissent sans même
sentir "les merdes qui leur tombent dessus", et puis le medecin sort invariablement
"vous avez épuisé votre organisme, et affaiblit vos défences
immunitaires" ce qui... justement est souvent, en plus, le cas.
parmis disons 1% de la population devenant capable de métaboliser
10 fois la valeur de repos en continu durant une durée pouvant dépasser
l'heure presque tous les jours et non pas de temps en temps, il y a disons,
peut être même pas 10% qui sont vigilants à ce qui se
passe quand ils pratiquent, parmis ces 10 à 1% de 1% soit une personne
sur 1000 à 10000 peu ont du temps à consacrer à la
recherche à coté de leur pratique sportive déjà
à peine casée dans leur emploi du temps. donc il n'est pas
ettonnant que sur une région de plus de 10000 habitants, je ne suis
peut être que le seul à soulever le problème et à
prendre le temps de l'écrire (mine de rien c'est long). c'est ainsi
que la pollution automobile, la plus évidente, arrive à passer
inaperçue, peu révélée, produit peu de littérature,
tout en rendant malade une GRANDE PARTIE de la population (je suis sur
que si les medecins croisaient leur statistiques et que on isolait une
partie de la population des routes et zones à forte concentration,
on pourrait démontrer très nettement l'impact sanitaire,
à peu près, du même ordre que la tabagisme passif et
actif, peut être la cause de 9 affections respiratoire sur 10)
Il est vrai, c'est l'association du SAPU avec les pollens, les poussières,
les bactéries qui font plus encore les maladies avérée
qui vont plus loin que la simple gêne qui s'imiscie dans le quotidien
sans même être recconue, que le SAPU seul produit en général,
alors "on" (le marketing?) accuse "la nature" de produire des allergènes,
on place dans les voitures "des filtres à pollens".
Cette afirmation est donc non démontrable et je vous invite
à utiliser tout votre esprit critique pour en juger: le SAPU des
voitures rend allergène: mais il y a aussi la bouffe chargée
d'additifs, de pesticides, les vapeurs de pesticides, le mauvais état
de santé (officiellement pas un mauvais état de santé
justement!) d'une population fatiguée d'être sédentaire
et de subir la pression au travail, l'usage de produits allergènes:
crêmes qui collent les lèvres de ceux qui vous font la bise,
shampoing qui permet de se peigner autrement qu'avec une brosse à
chaussure, produits qui lavent par terre et mettent les mouches qui cognent
au vitres sur le dos: comment isoler la responsabilité du SAPU dans
une population si... droguée?
Je pense pouvoir, par mon mode de vie l'isoler, et suggère ici
par cet amas de lettres envahissant votre écran une série
d'éxpirémentation dans ce sens là...
- mon hygiène de vie est stable: je n'ai pas de travail, je
fait un sport d'endurance, mais je ne fais pas du sur entraînement
(je surveille mes charges d'entraînement et tiens à jour le
journal), je ne mange que de la nourriture biologique, je ne crains pas
les pollens (puisque je n'ai pas d'allergies quand je taille des chemins,
et même en fauchant les prés d'ambroisie (les graviaires du
rhône raclées par la CNR sont parfois de la monoculture intensive
d'ambroisie), je n'utilise que du savon à l'huile, pas de shampoing.
aucun insecticide, pas de produits, je me suis isolé du mode de
vie "voiture" (je ne vais presque pas sur les route, je circule à
pieds, en bateau, on achète par correspondance). En période
végétative le traitement des cultures peut ajouter une toxicité,
mais pas en hiver.
- malgré ceci j'ai constaté à force de noter,
une étroite corrélation entre l'exposition aux gaz "de la
route" et des manifestations allergiques ou du moins des irritations des
voies respiratoires qui d'ailleurs sont les seuls problèmes de santé
physique que je connaisse assez souvent, le caractère non quotidien
d'exposition à la pollution de la route permet d'avoir des évènements
corrélés.
Puis je en douter? au début ces irritations paraissaient dues
à
la fatigue: elle correspondaient aux entraînement d'aviron à
aix les bains, elles pouvaient aussi être due à la météo:
elle apparaissaient surtout par les vagues de froids. ayant acheté
un bateau, rien qu'en changeant de lieu, cela ne le faisait plus: quand
il fait froid en effet, souvent le vent vient de l'est, et à Aix
les bain, à l'est du lac, où l'on doit se tenir pour rester
dans la zone de sécuritéà moins de 500m d'une route
qui draîne parfois 50000 voitures/jour, le vent d'est étale
les polluants sur le lac.
Sur la route: la pratique du vélo conduisait assez souvent à
des saignements de nez: réaction logique: trop d'effort, fatigue
et soleil. de supprimer un itinéraire systématiquement emprunté
de temps à autre par une file de voiture roulant en suralimentation
a presque réglé ce problème: il pouvait passer 10
voitures de suite sur une montée à 5% faisant 100m de dénivelé,
mais la route (montée de St-Didier à Natage) est de nature
à confiner les polluants par blocage convectif, l'effort en vélo
était de l'ordre de 300 watts soit 1320 watts métaboliques,
soit 3.7 litre d'oxygène par minute, comme il est rejeté
16% d'oxygène sur les 20% que contient l'air inspiré il faut
faire 100/4 fois 3.7 litres pour connaître le débit de la
ventilation= 94 litre d'air respirés par minute= environ 12 fois
plus que chez une personne au repos.
Une voiture montant à 30km/h cette côte délivre
la même puissance qu'en roulant à 100, donc au mieux rejette
des gas comme 3 voiture sur le plat, mais en raison de la mauvaise carburation
c'est plutôt 30 à 60 fois.
En vélo 300 watts ne permettent là que 18km/h soit 3
fois moins vite qu'une voiture
au final, cette portion de route de 2km en vaut comme 4, et une voiture
en vaut comme 50 fois, et on respire 12 fois plus; ce qui représente,
à durée d'exposition égale 3 fois plus longtemps fois
50 fois plus polluant, en respirant 12 fois plus = 1800 fois plus.
Bien sur, décrêter que une voiture en côte pollue
50 fois plus peut paraître excessif, mais c'est pourtant le cas quand
justement
- le pot catalytique n'est pas en température
- il y a sur alimentation et trop de couple, pas assez de régime
disons pour être prudent que au mieux la multiplication est de
l'ordre de 100, sans doute elle est de l'ordre de 2000, et peut être
que c'est pire... c'est ainsi que se faire dépasser, en vélo,
par seulement 10 voitures sur une montée de 2km n'est pas du tout
anodin, c'est comme se faire doubler, assis sur un vélomoteur par
1000 à 10000 voitures sur une route à grande circulation!
PIRE ENCORE le vélo étant un engin qui contraint les
automobilistes à ralentir pour dépasser en sécurité
(petites routes), l'automobiliste ne manque pas de pêter un nuage
de SAPU en demandant le couple maximum au moteur lors de la reprise...
sans bien sur le savoir. Un automobiliste donc qui fait l'effort de ralentir
au lieu de passer en trombe fait payer ainsi le prix de l'égart
qu'il a eu pour le cycliste: j'ai pensé à vous, mais voilà
un nuage de SAPU pour vous... heureusement c'est involontaire, mais cela
EST.
c'est ainsi que j'explique que faisant tous les jours ce trajet, je
contractait systématiquement au bout de quelques jours une rhinite
avec saignements.
Dans le domaine de l'aviron, il existe une situation assez exceptionelle
pour le malheureux club de Yenne Virignin
- la salle de musculation est au bord de la N504 à l'ouest de
yenne, juste à l'ouverture du défilé de la balme:
la salle de muscule baigne dans l'air pollué par la proximité
d'une route où passe parfois 3000 voitures par heure, au moins 1000:
on est censé y pratiquer, l'hiver la base d'entraînement qui
consiste à faire 8 fois le métabolisme de repos, soit ingérer
environ 65 litres d'air par minute, et ce 2 fois 40 minute soit l'équivalent
de 10h40 d'exposition, d'exposition dans l'air pollué au maximum
car l'entraînement se déroule justement entre 18h et 20h,
durant le plus gros pic de circulation de la journée, ainsi, un
entraînement équivaut à faire une cure qui équivaut
à respirer, peut être l'équivalent de 3 jour d'exposition
à la pollution normale d'une ville sans faire d'effort.
- la base d'embarquement est situé à la montée
du pont des écassaz: le trafic est à peu près aussi
dense qu'à yenne, mais c'est pire: les voiture abordent une côte
alors que les automobilistes ne pensent pas à rétrograder:
le soir, à l'heure des entraînement, la lumière du
soleil décline et comme on se trouve à la base d'une colline,
l'air se densifie au voisinage du sol, et coule donc de la colline, traverse
la route, puis s'étale sur la base d'aviron.
En bateau on ne reste pas dessous, on va plus loin, mais malgré
tout, pour des raisons de sécurité et de présence
près de la base, la plupart des rameurs font leur kilomètres,
ce qui représente 8 à 10h d'expoisition pour une heure de
rame, juste entre les deux pont, de Belley et des écassaz. L'exposition
à la pollution peut alors y être tantôt plutôt
faible (vent allant du canal vers la route), tantôt maximale (vent
allant de la route vers le canal)
c'est actuellement dans ce contexte là, que je prend la plupart
de mes affections respiratoires.
les autres aussi, mais cela paraît si banal
on a le rhume par ce
- on a pris froid
- par ce qu'il y a un virus
- par ce que l'un là passé à l'autre...
alors... la route à coté...
pensant que c'était "les autres" qui me filaient le rhume, je
les évitait, pour ne pas rater par exemple une période de
préparation à la compétition. or, rien de changé.
ensuite, changement de statégie: je vais ramer ailleurs, mais vais
voir les autres sans par contre m'entraîner avec eux: beaucoup moins
de problème et surtout pas de contagion: donc... ça se pourrait
bien que c'est la route.
Contexte d'émission du SAPU: moteur EN DEHORS de sa plage de fonctionnement "normal"... renseignement pris "utilise alors la turbocompression ou la suralimentation" qui hyperventile le moteur sinon essouflé. Cela arrive, peut être bien 3 fois sur 4 ailleurs que sur les autoroutes planes et les nationales dégagées permettant le nonante à l'heure sans discontinuer: tout virage, village, ralentisseur, rupture de pente entraîne une variation de couple. Normallement l'automobiliste devrait changer de rapport de boite à vitesse, mais les voitures modernes sont si silencieuses, et les moteurs si puissants, que les sensations de conduites ne reflètent pas un dysfonctionnement: et même pire: ce dysfontionnement est permis (et n'est peut être même mêmepas un dysfonctionnement conceptuellement), et cela ne fait pas de surconsommation. Pire encore, beaucoup de gens se sentent plus à l'aise en conduisant plutôt en sous régime, car justement, le moteur délivre moins de puissance en tournant lentement, la limite du couple étant là. Il apparait que le seuil du confort est vers entre 10 et 50 watts par kilo si on ne recherche pas à conduire vite. autrement la voiture "part trop vite" (ce qui est le cas pour beaucoup d'automobilistes qui roulent, et non pas "pilotent"), en "bridant" ainsi la puissance, la conduite est moins capricieuse, mais PAN DANS LES NARINES du cycliste. Les nouveaux moteurs ne callent pas, ils assument en effet ce couple plus élevé grace à la technique de suralimentation qui rend plus coupleux les moteurs de cylindrée "modeste". la suralimentation se traduit par un excès de comburant, donc sans doute du NO2, et peut être des émissions d'imbrûlés, la température étant pas assez élevée pour détruire les solvants... (hypothèse à vérifier je donne des axes de recherche)
le fait que les voitures sont presque 2 fois plus lourdes que 15 ans
en arrière augmente la différence de couple moteur à
chaque rupture de pente.
ainsi, l'émission de SAPU est déroutante (ça fait
justement... éviter la route!)
- elle n'est pas forcément proportionelle au nombre de voitures
- elle se concentre sur des carrefours, des montées, et parfois
des routes peu fréquentées mais de nature à provoquer
systématiquement une conduite en suralimentation.
en 2018 c'est avéré: TOUS LES CONSTRUCTEURS DE MOTEURS DIESEL TRICHENT...
Les
points anormaux sont l'excès de NO2, la présence de NANO
particules plus petites que les suies (microparticule), plus des
polluants bizarres, pas encore vraiment identifiés, dus aux
diverses triches pour réduire la "pollution au CO2" d'un chouya
ainsi que la consommation à la pompe de l'utilisateur qui sinon,
aurait boudé le diesel: vu le poids des voitures, elles
consomment facilement plus qu'une voiture à essence si on ne
réduit pas au max la consommation, mais le problème,
c'est que l'optimum de consommation se produit avec une combustion
incomplète très polluante .
Une
véritable réduction de ces émissions
de CO2 auraiT pu être faites en évitant le poids et la
surpuissance des voitures. De plus, que le diesel fasse moins de CO2
que l'essence est pratiquement faux, si on considère la
quantité d'énergie à la masse et non le volume
d'essence comparé au diesel, lequel devrait être plus
cher. À la masse la différence est minime, et
en plus, les moteurs diesels ont souvent moins de rendement (ils ont
plus de rendement seulement à plein
régime et fonctionnement régulier tel le labour, le
parcours d'autouroute ou la navigation) et sont plus lourds, ce qui
annule de loin la
différence du à la chimie de la combustion.
Enfin,
le
PIRE en matière de CO2, c'est les biocarburanst: incorporer 15%
de biocarburant dans le plein d'une voiture revient à DOUBLER
les émission de CO2, à cause du rendement de
l'agriculture moderne utilisé pour les obtenir, à moins
qu'on détruise un trésor inestimable: la forêt
primaire tropicale pour des palmiers à huile
(dégâts encore plus considérables): dans le
meilleur des cas "moderne", il faut 7-8 fois la quantité de
pétrole injecté en énergie, intrants... pour
produire une quantité-énergie de biocarburant, en plus
des dégâts écologiques et de la concurrence
alimentaire. Faire du biocarburant en
agriculture biologique n'est pas bien possible: on ne rend pas à
la terre les déchets organiques qu'un herbivore aurait
restitué: le meilleur usage possible de la
végétation pour se traîner, c'est avoir un
âne qui broute l'herbe du chemin, avec une charette..
diesel
gate = prise de conscience partielle, partielle car en pratique, tous
les diesels modernes sont sujet à la même triche et font
autant sinon plus de NOx sur la route, en France, la triche principale
entre le banc d'essai et la conduite réelle se trouve sur la
prioception induisant une conduite en fort couple et sous régime
hors combustion complète, un détail qui risque
d'échapper aux testeur qui devraient conduire la voiture aussi
mal que les gens distraits se fiant aux sensations de conduite.
Les
difficultées respiratoire et les dérapages de la relation
FC-Puissance que je contrôlais entre 2000 et 2009 étaient
en lien avec les NOX concentrés par les inversions de
température (confinement dans la vallée contenant un
grand axe routier). Comme je pratiquais le travail de la puissance
aérobie, la dose de polluants respiré en une heure
était multiplié par 7 à 10 pour un
entraînement d'aviron, la dose de polluants était alors
assez forte pour provoquer une régression des performances et
avec des rhinites à répétition.