#prise-de-chou-ragna-gna
#syndrome-asperger-hypersensible
#mai-2009 #le-sportif-respire-plus-en-2h-que-le-reste-du-temps
#manger-bio-rend-sensible
#la-capacite-a-flairer #troubles-cardiaque
pour sauter le "pourquoi j'en fait un roman", aller directement
à
#recherches
// #20080125vanne-EGR
//20071220 je pense que c'est surtout les particules
fines///
#recherches /// #additifs-carburant
et herbicides de prélevée /// #Tignes
///(anomalie de 14 pulsation à l'effort) #effet-sur-la-frequence-cardiaque#20071103-article-le-monde#miel#pollution-aviron#20071118#debit-d-air-effort#senat.fr-rap-r05-125-r05-12558#SAPU
épakunpeu
voir aussi considerations-salles-et-lieux-de-sport.html
seuil_monoxyde_azote.pdf
document officiel et qu'eau pillé collé #NOx
ineris-filtres-respiratoires.pdf
1.6 Mo d'après ce document, pour pouvoir supporter de se faire doubler
en vélo par des des diesels en sous régime et des 4-4 i2,
il faut les cartouches de type P3 avec la bande bleu et blanche: pour les
oxydes d'azotes (bande bleue) et les particules (bande blanche).
Il faut les combiner avec A1B1E1K1 pour traverser une zone industrielle,
mais
c'est bien la cartouche P3 qui est la seule à peu près ciblée
pour le NO et les particules qui est la composante majeure de la nuisance
des diesels(c'est sur ce point que les diesels sont pires que l'essence).
aucune cartouche ne semble filtrer le monoxyde de carbone, pour les
voitures modernes à essence, catalysées, qui font 10 fois
plus de monoxyde de carbone que les diesels (c'est sur ce point que l'essence
est pire que le diesel), l'intoxication au monoxyde de carbone est moins
grave que celle au NO plus particules (cela guéri en quelques jours)
et ne fait que des maux de tête et des contre performances physiques.
ici même placé mon argumentaire et mes copiés collé de recherche sur ce problème, et aussi pourquoi je m'occupe tend de ça.
j'ai une certaine hypersensibilité à la pollution, cette
hypersensibilité me rend peu crédible, j'en ai conscience:
c'est trop gros tout simplement.. "si c'était à ce point
ça serait interdit" me répond t'on souvent. Jusqu'à
que parfois mais pas toujours "ça finisse par sortir".... et si
j'écris tout cela c'est bien en espérant aider à "que
ça sorte" pour l'amiante ça a mis le temps. le diesel aussi,
pas encore réellement sortit. Il y a toute une intox orchestrée
par les lobbies pour faire croire que les nouveaux moteurs sont 100 fois
plus propres que les anciens, plus économiques... etc, ce qui est
faux des que l'on sort du circuit d'essai et que l'on compare les véhicule
non pas d'une conception des années 1950 avec ceux des années
2005 mais ceux des années 1990 avec ceux des années 2005.
l'hypersensibilité a chez moi des causes neurologiques (syndrome
d'asperger) et affectives (vie solitaire avec attachement à la qualité
des éléments non humains puisque les relations humaines font
défauts). C'est ainsi que je sens plus fort et plus tôt ce
qui posera des problèmes de santé à une partie de
la population à son insu... mon discours engagé est si énorme
que habituellement ça passe pour du délire, et de plus étant
exclu socialement par un handicap mental (syndrome d'asperger) mes dires
sont moins pris en compte que si il sortaient d'une personalité
quelconque socialement haut placée. C'est seulement maintenant que
la communauté médicale prend enfin conscience que les aspergers
ne délirent pas mais focalisent leur intelligence sur des détails
et détectent particulièrement ce qui ne va pas dans une société,
ce qui permet enfin d'être un peu écouté.
Les autres humains "neurotypiques" ne sont pas atteint de cécité
sociale, ils emploient l'essentiel de leur sensibilité à
l'échange de code sociaux, leur perception de l'environnement n'est
donc qu'un décord de fond aux relation sociales. Cela se remarque
particulièrement en montagne ou dans un lieux naturel, à
l'écoute de leur commentaire, ou encore à la télé,
à la façon où c'est filmé. C'est ainsi qu'ils
sont débranchés de ces détails non sociaux qui relèvent
de l'environnement, des stimulus continu et faibles mais omniprésent,
et divers détails souvent inscrit dans des échelles de temps
longues. De plus pour se donner de la contenance sociale, ils nient leur
nature et leur odeurs trop bestiales souvent exagérée par
le port de vêttement en syntétique et l'assimilation de viande
d'animaux sédentaire tel les poulets engraissé à la
méthionine de synthèse: ils se lavent avec de la savonette
et se tartinent la figure de produits parfumés de synthèse,
parfois s'aspergent de déo aux sels d'aluminium et émoussent
ainsi les sens suceptibles de les connecter à l'environnement. Ils
supportent les nuisances car ils ne focalisent pas sur des stimulus continus,
tout en fredonnant dans leur tête les airs des valses hongroises
ou autre merveille de la musique détournés, donc pervertis
par une publicité, ce qui occupe leur mental à ronger un
os au lieu de se focaliser sur le temps présent. C'est ainsi
que manipulé par l'inconscient ils fredonnent sans même s'en
rendre compte des airs de publicité. Ils sont donc, comparé
à Moâ, atteint de cécité mentale et sensorielle
pour caser la sensibilité sociale, ce qui est bien pratique justement
pour supporter les nuisances du monde industriel et les contraintes de
la vie active dans une société de dictature économique.
Il y a donc un domaine de pollution mentale, la source de la pollution
de l'environnement par effet induit. Cette pollution est le fait du marketing,
du détournement de pulsions instinctives et archaïques pour
modifier les codes sociaux à l'avantage d'une firme quelquonque.
La publicité a un impact plus énorme qu'il y paraît,
ça coûte d'ailleurs plusieurs milliers d'euros par an par
français. Je pense que l'omniprésence de la musique répétitive
permet d'anesthésier le sens critique tout en entrant par
effraction dans le mental en utilisant les association affective. La société
est malade de cette musique qui n'est plus circonscrite dans les lieux
de concert, mais officiellement on ne le sait pas encore, Il y a quelque
chose de nocif de ne pas respecter pour la musique les contextes temporels
de fête ou de travail, mais la déverser n'importe comment
par des répétiteur électroniques.
"si c'était dangereux à ce point ça serait interdit": on me disait ça en 1977 quand je faisais alors une prise de chou à propos des gaz fluorés dans les bombes aérosols, alors que connaissant la chimie, je me disais que l'utilisation d'une seule molécule du propulseur de ces bombes détruit tellement de celles d'ozone que multiplié par le nombre de gens qui en utilise, nous n'aurions plus de couche d'ozone si ça continu des années. la réaction chimique et le constat de l'impact énorme des CFC sur un élément vital de notre planète est si flagrant et si facile à comprendre (je n'avais que l'âge de 9 ans pour comprendre cette réaction chimique!) que ce qui est le plus surprenant et étonne encore avec du recul, est que on a accepté un tel risque aussi longtemps: le poids des lobbies sans doute... mais il y tout aussi pire: le nucléaire... La loi des grands nombres qui fait que en dépit qu'on sache parfaitement marcher implique qu'on se torde tous la cheville au moins un jour vaut pour le nucléaire: une région foutue pour des milliers d'années, si c'est pas encore arriver, cela arrivera, quand on ne sais quand, mais la certitude est que ça arrivera et on accepte ça.
Des statistiques et les rapports démontre des effets de certains
trucs que déjà je dénonce de mon coté dans
mon coin: je suis hypersensible, je ressens sur moi, là ou
la plupart des autres ne sentent rien, en particulier pour la pollution
de l'eau et de l'air; or la plupart des autres étant la majorité,
c'est eux qui détiennent la version officielle de la "vérité".
L'humanité par contre ressent bel et bien ce que je ressens,
mais sous formes de cas rares parmi une majorité que la loi des
grands nombres peut faire surgir par des statistiques qui ont été
trouvée comme indicateur, et un indicateur n'est qu'un voyant d'alarme.
il y a une différence entre constater qu'un voyant rouge s'allume
et ressentir en regardant défiler le paysage à travers le
copickt que l'on va se scratcher.
dans cet exemple la plupart des voyageurs ne regardent pas le paysage,
mais la télé, qui évite d'ailleurs de parler des voyants
rouges...
j'aimerais déclencher une ouverture collective de volets de
hublots.
c'est la différence entre la perception de quelqu'un qui regarde
les bulletin d'alerte à la télé, et celui qui sent
au nez au fond de sa campagne un air chargé en ozone peu respirable
ou bien d'autre trucs "nouveaux" (tel le point de rosé digne de
pays tropicaux des avril)...
On voit quelques échantillons de voyant d'alarmes dans des rapport
de sénat ou d'étude médicale, et on n'apprend par
la presse que un échantillon minable de ce qui est su en haut lieu
mais dérange l'économie (l'économie qui gaspille pour
vendre bien sur).
nous sommes dans un contexte où la stratégie consiste
à louvoyer entre les détecteur allumant les voyants, pour
continuer à être polluer sans être vu car c'est plus
facile et moins cher que d'éviter de polluer: les usines lâchent
donc la nuit, c'est connu, et les protocoles de test pollution des voitures
modernes ne testent pas le turbo en charge lors d'un régime transitoire.
Pourquoi suis hypersensible, je l'explique en premier pour que vous compreniez en quoi je ne délire peut être pas en racontant ce que "les autres ne ressentent pas"
J'ai été fragilisé tout d'abord je pense par un traitement lourd au neuroleptiques, car à cette date commence les premières gênes dues à la pollution, mis à part un peu avant quand apparurent les turbo diesel à l'île de la réunion, utilisant le vélo comme moyen de transport pour aller des bas à Cilaos, j'ai souvent eu en tête d'abandonner. j'ai oscillé entre décision d'abandonner le vélo et continuer, j'avais essayé la marche à pieds mais les sentiers d'accès aux bas ont été détruit pour sécuriser l'île, les touristes tombant dans les ravins quand il prenaient les sentier utilitaires. La solution miracle: mettre le vélo dans la soute du car quand c'était trop dur à été éliminée par la modernité (car sans soute). La réunion devenant trop tout voiture, j'ai finalement quitté l'île, car la vie y devenait trop dure sans en avoir une, trop cher en en ayant une, et le confort (case en dur) devenant nécéssaire pour s'isoler de nuisances urbaines. Cette irruption du tout voiture a été accompagné d'un tourisme de masse très agressif sur le plan sonore: 18 hélicoptères plus 10 à 15 avions passant chacun 2 à 3 fois par heure des le début de l'aube, et la nuit des voitures avec de puissant autoradio. Un voisin fut aussi très gênant, il faisait tourner son moteur diesel à froid durant une demi heure, pour le faire chauffer et les gaz d'échappement entraient dans la case. J'ai alors accumulé de l'épuisement nerveux par manque de sommeil et du subir un traitement lourd qui m'a stabilisé mais aussi couté de la santé.
syndrome-asperger-hypersensible
j'ai le syndrome d'asperger et ma conscience capte des choses que les
neuropsychiatre enfin commencent à comprendre, j'ose le dire maintenant
car enfin cela commence à être reconnu (journal télévisé
du 11 novembre 2007 soir)
j'ai aussi peut être eu un effet de cumul, par rapport aux citadins,
du a la proximité de traitements agricoles, il y a notamment le
chlore qui s'en dégage au soleil (surtout les herbicides de prélevée,
mis sur terre non végétalisée) qui rend plus fragile
les muqueuses donc plus sensible au gaz d'échappements irritants
(respirer du clore à faible dose à longueur de journée
rend sensible au NO2). D'où une prise de chou accrue par rapport
aux voiture qui semble avoir coïncidé avec le remplacement
de l'atrazine par l'acétochlore en 2004. l'atrazine par contre provoquait
des maux de tête et de la constipation... mais est ce seulement ça?
Noté mai 2009, c'était semble t'il le un herbicide de
prélevé qui a été adopté en automne
2006 et arrêté en fin 2008, la puissance aérobie a
été diminuée d'environ 10% durant cette période
et a pu remonter au printemps 2009 (plus de 250 watts à 140 pulses).
ça va du coup beaucoup mieux, ce produit dégage des gaz irritant
si la terre est au soleil, il s'en dégage encore sur des terres
traités l'an dernier (ça sent après le labours alors
qu'il n'y a pas eu le traitement), en février 2008 les lâchers
de polluants par Givaudan dans le rhône ont été arrêté.
il reste encore de ces résidus dans certaines lessives qui servent
sans doute à écouler ces déchets en tant que parfum,
mais les senteurs des gens porteurs de pollution Givaudan se font moins
fréquentes!
des recherches assez fines de pronostic au test 2000 sur machine à
ramer semble fixer une date: perte de 10 à 15% de puissance aérobie
après les traitements par herbicides de prélevée du
18 octobre 2006.
avec la réduction des traitements agricole mon hypersensibilité
devrait diminuer si c'est ça. cela semble être le cas à
partir de 2007, le coeur s'est montré bien plus stable et j'ai pu
mettre fin aux rhinites allergiques en me préservant...
d'ailleurs ces rhinites étaient pas vraiment allergique, il
y avait carrément irritation. l'allergie ne se manifeste pas de
cette façon.
mais malgré tout, disposant d'une montre cardio je vois de grosses variations de forme physique qui semble bel et bien corrélée à la pollution de l'air... plus qu'à la température.
comment se fait t'il que je autant la pollution de l'air là ou les autres pensent que que fait du chiquet?
j'ai repensé à une observation d'une scientifique d'air
APS qui affirmait que l'activité physique ne fait presque pas varier
sur la totalité la quantité d'air respiré, quelques
pour cent à peine et que ce n'est pas là le problème:
l'effort jouerait peu sur la quantité d'air respirée "dans
la vie". j'ai donc estimé moi même si cela était vrai
en ce qui me concerne, et en ce qui concerne également tout athlète
qui fait de l'endurance qui se trouve à quelque pour-cent des limites
humaines et s'entretient à raison de 2 et 3h d'entraînement
en endurance par jour. bilan: c'est le double voir le triple d'air respiré
au total! j'ai vérifié: l'activité physique fait doubler
voir tripler le volume d'air transitant par les poumons sur l'échelle
de temps de la semaine.
un autre paramètre aussi. Mon hygiène de vie fait que
je respire 2 à 10 fois plus, et aussi me permet un odorat intact
me permet de ressentir les odeurs qui semblent inaccessibles à ceux
qui mangent beaucoup de produits traités, ce qui est le cas aussi
pour les sportifs qui mangent "chimique" ils ne sentent rien.
à ma grande déconvenue je rencontre d'autre sportifs
de mon niveau qui "ne sentent rien". Mais ils mangent (sauf les marginaux
parmi une élite qui sont du rare parmi du rare donc du presque jamais)
des produits industriels, utilisent des shampooings, de l'après
rasage ou autre produits qui masquent totalement, par action sur l'odorat,
les perceptions fines qui permettent de sentir la qualité de l'air.
Si leur performances varient, ils ne peuvent faire le lien entre la variabilité
"endogène" et "exogène". un point important est la consommation
de produit laitiers: ceux ci ont l'air de désactiver l'odorat et
je les évite pour cette raison: mucosité dans la fosse nasale:
j'aime mieux respirer symétriquement même quand je dors sur
le coté la nuit.
je mange bio, et n'utilise pas autre chose que du savon artisanal non
parfumé pour me laver. Pour les odeurs de synthèse et les
composés chlorés les gens "normaux" ne semblent réagir
que pour des concentration 1000 fois supérieures (sentent à
1m ce que je sens à 100-500m): ils sont recouverts de parfums de
synthèse en tout genre et ont les muqueuses nasales déjà
nécrosés par je ne sais quoi.. par exemple; les lâchés
de givaudan n'éveillent pas beaucoup de soupçons.
je ne suis pas le seul, il y a quand même d'autre personne qui
sont "sentinelles" et partagent aussi cette particularité, sans
respirer autant que moi ni faire du sport, mais en observant l'hygiène
alimentaire et le non usage de produits chimique pour se laver, condition
qui semble essentielle à la sensibilité. c'est donc la nourriture
et la non utilisation de produits de synthèse pour se laver ou masquer
ses rides qui détermine la capacité à flairer.
à propos de ceux qui dépendent de ce que on ne sens
pas.
vu la violence des odeurs de synthèse rejeté dans l'environnement,
dans le Rhône en particulier ou à Tignes (parfums des gens
et produits de nettoyage des immeubles), qui "portent", dans le cas du
rhône à 2 km du fleuve (produits rejetés par GIVAUDAN),
à 10 km de l'usine (GIVAUDAN qui "embaume" l'air de Viry quand on
se rend à Genève par la route de Frangy),
Givaudan rejettait dans le Rhône de 1998 au février 2008)
dans le cas des immeubles de Tignes à plusieurs centaines de
mètre, j'imagine les animaux, chez qui le sens principal est l'odorat,
et non pas la vue, et qui ont des sensibilité qui devraient être
de l'ordre de 1000 à 10000 fois celle de l'homme sain tel que je
suis, vu la surface de leur fosse nasale est le rapport de la ventilation
pulmonaire à leur poids aussi. il y a là un axe d'étude
des perturbation des comportements animaux par les produits de synthèse,
qui pourraient avoir des effets comparable au bruit des moteurs chez les
cétacés...
le problème de la capacité à flairer, quand
il y a des voitures conduites par des automobilistes, une pollution mentale
peut survenir, qui rend plus sensible au dioxyde d'azote (NO2), entre autres,
rejeté dans l'air à cause de... ces connards d'automobilistes
avec leur putains de voitures qui puent: c'est la haine au deux.
Mais aussi, cela permet de repérer les bonnes choses, les bon
fruits, les endroits sain, d'éviter les endroits malsains. je ne
bouffe pas les baies d'églantier si il y a du désherbant
détecté à proximité. Si il est acrobatique
de gérer mentalement l'hypersensibilité qui tend à
faire monter la révolte contre ceux qui pollue (il faut carrément
faire une démarche spirituelle pour pas aller mettre des bombes
partout ou cabosser les voiture par coups de pieds le long des pistes cyclables
devenus parking), je préfère être conscient du problème
que de rester plonger dans l'ignorance.
Je m'en préoccupe d'autant plus que j'ai eu des arythmies (noté
mai 2009, c'était de la fibrilliation auriculaire vagale),
et autres troubles de rythme cardiaque du, je le pense de plus en plus
avec le recul à des effort modérés mais prolongés
lors de concentration d'ozone (partout pareil même en plan parc de
la Vanoise) qui sans déclencher des alertes, deviennent dangereuses
avec un métabolisme de 4000 à 5000kcal/jour (et autant de
fois plus d'air respiré, 8 à 10 fois plus que chez le sédentaire,
lors de l'activité), cela a commencé en 1998 pour les irritations
oculaires et nasale (moteurs hdi), et pour le coeur en 2003 (pics d'ozone).
le pire était en montagne, il fait moins chaud l'après midi
et du coup on s'expose, et les taux dépasse parfois 180ug/m3. en
2003 il aurait dépassé 360, même en haut du Beaufortain
(en montagne peu de différence avec les villes et les plaines, la
pollution à l'ozone voyage loin).
j'avais eu en effet des détresse cardiaque: arrêt du coeur
quelques secondes, puis tachycardie, le coeur ne repartant que si je donnais
un grand coup sur la poitrine, j'ai même eu plusieurs fois peur de
mourir par arrêt cardiaque, quand le coeur s'arrête longtemps
et dans le sommeil, ça paralyse tous les muscles et il est dur de
bouger pour faire repartir soi même, j'ai eu à chaque fois
la chance de me réveiller à temps.
Cela pourrait être du sur entraînement? Je ne pense pas,
je ne me mettait jamais dans le rouge et je m'entraîne autant actuellement
(noté mai 2009), faisant parfois des sorties de 4h à 80%
de la FC max... c'était bien l'ozone.
il y avait en fait du dioxyde de souffre (usine de moutier, de l'ozone et la nappe de gaz peut se concentrer plus en altitude, à la limite séparant deux couches d'air qui se trouvait justement vers là où j'était. la concentration a du finalement être énorme quand j'y était.
On apprend maintenant que des jeunes en bonne santé sont mort
d'infarctus à cause de
la pollution à l'ozone, cela ne m'étonne pas, je fais
partie de ceux qui ont du en réchapper de justesse. Depuis que je
m'enferme les après midi d'été ensoleillées
et que j'évite les zones très pollué, mon coeur est
redevenu régulier et fiable, alors que je pratique toujours aussi
intensément et régulièrement.
l'autre problème plus classique et bénin, c'est les voies
respiratoires, mais gênant quand même est l'irritation des
muqueuses. Cela semble le fait de l'accumulation de trois polluants irritants:
les herbicides de prélevés (qui dégagent longtemps
des gaz, les champs traités étant tout contre ma maison,
et il y en a des dizaines d'hectare en amont du vent dominant), la pollution
des diesel modernes en pente surtout, et les polluants rejetés par
l'usine Givaudan
dans le rhône, depuis avant 2000 mais très concentré
en hiver 2005 et en été 2007. ce sont des résidus
de la fabrication de parfums de synthèse. ils semblent allergènes
et font un même effet chez d'autres gens, mais la pollution est si
multiple qu'il est illusoire de désigner un polluant et un coupable,
surtout que tout cela interagit. Pour le coeur surtout et les muqueuse,
je me suis imposé certaines règles de préservation
qui consistent... malheureusement à ne presque plus fréquenter
mon club d'aviron en bordure de nationale en pente 15000 à 30000
voiture/jour) et à m'interdire certaines routes à vélo
qui justement, allaient vers ce club (mais heureusement il y a des alternative).
Je pense que cette sensibilité exacerbée à la pollution
automobile était en partie due aux rejets de Givaudan, car c'est
surtout au bord du rhône que j'ai été très gêné
(mis à part la route de Tignes, la plus pollué que je connaisse).
les autres ont sans arrêts des bronchites et des "angines" et vivent
avec sans plus s'en inquiéter, selon le principe de la grenouille
chauffée , ils sont automobilistes et devraient remettre en
question leur mode de vie si ils s'en rendaient vraiment compte.
Que choisir février 2008 page 17 et 18 extrait
Catastrophique vanne-EGR!
" les normes anti-pollution de plus en plus sévères donnent
aussi naissance à des situation de crise paradoxale, comme celle
qui concerne les vannes EGR", renchérit un mécanicien.
Explication: pour dépolluer les gaz d'échappement, une
solution technique simple et théoriquement efficace consiste à
renvoyer une partie des émissions dans le moteur pour en parfaire
la combustion. Pour gérer ces flux gazeux, la vanne de recyclage
des gaz d'échappement (exhaust gaz recycling, EGR, en anglais) est
pilotée soit électroniquement soit mécaniquement par
dépression. Dans la pratique, les choses se gâtent lorsque
que la dite vanne se grippe, notamment à cause de l'accumulation
de poussière d'échappement. Logiquement, les diesels encrassent
plus vite leur vanne que les moteurs à essence à cause de
leur terrible fumées noires. Conséquence, selon la position
dans laquelle l'EGR coince, le moteur perd de sa puissance, fume énormément,
voire refuse de démarrer... des symptômes que beaucoup d'automobilistes
reconnaîtront.
"Dans ce cas, le client, à juste titre, n'est pas prêt
à payer pour une pièce qui n'est pas un consommable et dont
le remplacement n'apparaît jamais dans le carnet d'entretien", précise
Bernard Tourette, président du Syndicat des experts indépendants
et habitué en litige. Mais comme le constructeur refuse en général
de prendre la pièce en garantie, il conseille à son réseau
de la condamner. La bidouille figure même sur l'Intranet technique
de plusieurs d'entre eux: elle nécessite de découper un morceau
de bidon d'huile en métal! "on croit rêver, non?", laisse
tomber un de nos garagistes. D'après les devis que nous avons pu
consulter, une vanne EGR coûte de 70 à 250 euros, auxquels
s'ajoute ma main d'oeuvre, soit une facture comprise entre 200 et 400 euros.
Et les conséquence si l'on roule (parfois à son corps défendant)
avec une vanne condamnée? Désastreuses sur le plan écologique:
la vanne EGR ne joue plus son rôle et la pollution émise par
l'auto ainsi bricolée explose. C'est avec ironie qu'un membre du
réseau Renault raconte: "quand je pense que j'ai un client qui me
bassine pour savoir combien de gramme de CO2 crache telle ou telle voiture,
pour bénéficier du bonus de l'écopastille, et que
pendant ce temps il roule avec son espace dont j'ai bloqué la vanne
EGR il y a plus d'un an! Je trouve les constructeurs vraiment hypocrites."
Dioxyde d'azote (NO2) et oxydes d'azote
Vers le niveau supérieur
(NO et NO2 regroupés par la formule NOx et exprimés en équivalent NO2)
Origine : Le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) proviennent principalement des processus de combustion (industrie et transport routier). Ces gaz sont le résultat de combinaisons entre l'oxygène (O2) et l'azote (N2) de l'air sous l'effet des hautes températures lors des processus de combustion. L'azote est alors soumis à une oxydation qui dépend de la température. La quantité de monoxyde d'azote NO générée augmente avec la température de combustion. Au contact de l'air ambiant, le NO est assez rapidement oxydé en NO2. La concentration en NO est importante par rapport à celle en NO2. Lorsqu'on se trouve à proximité de la source d'émission.
Le NO est un gaz incolore, ininflammable et très peu soluble.
Le NO2 a une teinte rousse et une odeur acide et suffocante à forte concentration.
Santé humaine et valeurs guides de l'OMS: C'est au gaz irritant NO2 qu'on attribue des propriétés toxiques pour la santé humaine. Des effets ne sont pas observables lors d'une exposition à court terme (moins de 2 heures) sur des sujets sains à des concentrations inférieures à 1 ppm ( 1913 µg/m³ (20°C)).
Des sujets dont la fonction pulmonaire est atteinte de façon chronique, peuvent présenter des réactions à partir de 0.3 ppm (574 µg/m³ (20°C)) lors d'une exposition d'environ 4 heures.
Le NO2 pénètre profondément dans les voies respiratoires. A forte concentration (> 1 ppm) le dioxyde d'azote est un gaz toxique et irritant pour les yeux et les voies respiratoires. Ce gaz est susceptible d'entraîner une altération de la fonction respiratoire et une hyper-réactivité bronchique chez l'asthmatique et chez les enfants et d'augmenter la sensibilité des bronches aux infections microbiennes.
L'OMS propose comme valeur guide pour une exposition de courte durée (1 heure) la valeur de 200 µg NO2/m³. Cette valeur est basée sur des tests cliniques auprès de personnes asthmatiques.
Les effets à long terme (exposition d'un an à plusieurs années) montrent des augmentations de la sensibilité du poumon aux infections bactériennes notamment chez les enfants. Le domaine de concentration du NO2 où se manifestent des effets se situent dans le domaine de concentration de 50 à 75 µg/m³.
L'OMS propose comme valeur guide pour une exposition de longue durée
(1 an) la valeur de 40 µg NO2/m³.
Influence sur les écosytèmes :
Les oxydes d'azote (NOx) sous forme d'acides nitreux et nitriques
contribuent à l'acidité des pluies. Ces acides sont transformés
chimiquement en sels azotés et déposés à sec
sous forme de poussières ou d'autres particules. Leur apport de
pouvoir nutritif peut créer un déséquilibre nutritif
dans les sol se répercutant sur les végétaux.
Normes de qualité relatives à la teneur maximale admissible du NO2 dans l'air ambiant, en application actuellement.
Directive 1999/30/CE du Conseil du 22 avril 1999 relative à
la fixation de valeurs limites pour le dioxyde d'azote et les oxydes d'azote,
reprise dans le règlement grand-ducal du 24 juillet 2000.
PROTECTION DE LA SANTÉ HUMAINE
Valeur limite :
200 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la
moyenne :
1 heure
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être
respectée :
1.1.2010
Nombre de dépassements tolérés de la valeur
limite :
18
Valeur limite + marge de tolérance en 2003 :
270 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Valeur limite :
40 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la
moyenne :
moyenne annuelle
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être
respectée :
1.1.2010
Valeur limite + marge de tolérance en 2003 :
54 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
PROTECTION DES ÉCOSYSTÈMES
Valeur limite :
(moyenne annuelle du niveau d'oxydes d'azote
NOx (NOx = NO + NO2 , exprimées en équivalents NO2),
l'oxyde d'azote NO étant exprimé en dioxyde d'azote
NO2).
30 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la
moyenne :
moyenne annuelle
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être
respectée :
19.7.2001
Si c'est bien ça, les autres athlètes exposés de
plus de 25 ans (qui s'entraînent pas loin d'une route et habitent
près de cultures traitées) devraient tendre à perdre
pas loin de 10 secondes au test 2007 par rapport à l'année
précédente), une telle perte de performance passe souvent
inaperçue quand l'entraînement n'est pas régulier.
On ne peut y mesurer que quand on se tient près des limites humaines.
Pour moi c'est le cas: le record de france des moins de 75Kg 40 -50 ans
est 6'28, et j'avais fait 6'25 à 37 ans.
pour comparer il faudrait examiner les cas de plus de 30 ans, car en
dessous de cette trange d'âge la progression et la musculation compensent
largement une limitation cardio respiratoire, alors que c'est le facteur
limitant à partir de 30 ans. Or, problème: à cet âge
la plupart des sportifs sont en retraite et ne se maintiennent que très
rarement à niveau, surtout ils sortent de structures de suivi. Peu
tiennent des journaux d'entraînements avec des mesures; il en faut
le temps, et les moyens intéllectuels d'accumuler des donnée.
Mon impression dans cette histoire de perte importante de forme est
que les pesticides fragilisent par rapport à la pollution routière,
et qu'il y a de plus une association avec les antimoussants ajoutés
dans le gasoil (qui servent à faire le plein sans que ça
mousse). La plupart des rameurs n'habitent pas près de cultures
et sont seulement exposés à la pollution routière,
qui seule ne provoque peut être pas une baisse de forme aussi visible.
une chose est sure: les saignements de nez sont devenus très
rares depuis l'évitement des atmosphères de bord de route.
Le fait que l'air soit pollué à Tignes va contre les idées reçus (air propre en montagne), mais du moment qu'on reste près des bâtiments et d'une route, on se trouver près des moteurs et dans un environnement urbain ou l'air est facilement confiné entre deux barres d'immeuble. Et surtout, en montagne les moteurs carburent très mal: la présence de côtes, d'engin de chantier, de gros quatre quatre diesel, de côtes à plus de 5%, de moteurs qui tournent le temps de dégivrer le pare brise, décuple l'impact des voitures.
Le lieu d'entraînement de Tignes (la
salle de sport des pompiers) est exposé: il y a souvent à
moins de 20 mètres un diesel qui tourne à froid et la pollution
arrive à être importante au point de perturber l'entraînement:
il faut alors sortir de la salle si la porte, ouverte ou entrebaillée
a laissé rentrer le nuage.
Dehors la pollution ne dure que le temps de dire aux automobilistes
de stopper leur moteur et ne reste pas très longtemps, mais par
contre le problème est réel si le nuage d'échappement
est entré dans la salle de sport qui de plus est placé en
contrebas de la chaussée, il faut près de 40 minutes pour
en renouveler l'air.
comme ailleurs, on place les salles de sport souvent dans les pires endroit: les lieux que justement on n'habiterait pas, quasiment des caves ou des lieux mal aéré. d'une façon générale les salles de sport sont souvent construite près d'une grande route, ou d'un grand axe facile d'accès.
les points bleus clair et vert ont été mesurés
en air non pollué, les autres après le passage d'un ou plusieurs
véhicules. la différence n'est pas flagrante mais correspondrait
à 10 watts de moins pour une même charge cardiovasculaire.
Il semble que c'est le dioxyde d'azote qui fait grimper la FC. des mesures
systématiques pourraient extraire "le signal du bruit"
il semble que les pulses augmentent avec la présence de NO2 du
à la proximité de la circulation (une salle de sport est
toujours à coté d'un parking avec des diesel qui tournent
voiture garée), ou à l'effet d'accumulation dans une couche
d'air de faible épaisseur (sur le lac et canal longeant une route
de gros gabarit). Des mesures systématiques corrélées
avec des mesures de polluant (dans une ville où se trouve des capteurs
officiles) pourraient quantifier le phénomène. Il faudrait
que d'autres sportifs établissent des relations pulses-watts en
observant des contextes identiques pour isoler la variable "qualité
de l'air".
* le 20071024 la pollution était sur le lac
mais pas sur le lieu de pratique (la sortie en bateau avait été
annulé en voyant la nappe s'étendre sur le lac)
il apparaît que dans les zones grises qui correspondent aux jours de blocage d'une couche d'air froid et confinée, la fréquence cardiaque semble plus élevée, ceci est remarquable pour la période du 20071108 à 20071111 20071128 à 20071202, la perte est équivalente à celle observée en montant de 2000m (par rapport au 20071207). voir la prise de chou plus en détail à 20071209.html#effet-sur-la-frequence-cardiaque
a_propos_de_la_pollution_et_sport.html#senat.fr-rap-r05-125-r05-12558
3 novembre 2007
article dans le journal le monde dans la rubrique "environnement
et sciences"
extraits
"la pollution a un effet vasculaire immédiat"
c'est ce que a démontré l'équipe de Pierre
Boutouryrie (inserm UMR 872) hôpital européen Georges Pompidou
et publié dans le numéro de novembre de la revue américaine
"Hypertension". l'étude porte sur la fonction endothéliale
c'est à dire la capacité des vaisseaux à se dilater
ou se contracter selon le débit sanguin, ainsi que les modifications
de la partie interne de la paroi vasculaire. Les données ont été
croisée avec les mesures d'Air Parif, les patients sont quarante
jeunes gens en bonne santé de 18 à 35 ans.
"il apparaît que la fonction endothéliale est modifiée
par les niveaux ordinaires de pollution atmosphérique en ville,
la fonction peut baisser de moitié entre le jour le moins pollué
et le jour le plus pollué, "les polluants gazeux affectent la fonction
endothéliale des grosses artères tandis que les particules
exagèrent la dilatation des petites artères" en une réponse
à une diminution du débit sanguin notent les auteurs.
Soulignant en particulier l'effet négatif des dioxydes d'azote
et surtout de souffre, Pierre Boutouryrie et ses collaborateurs remarquent
que cette altération importante a été observée
pour des niveaux relativement bas de pollution"
voir aussi #senat.fr-rap-r05-125-r05-12558
si vous téléchargez
la grande photo, (autre point de vue tourné vers le nord) observez
la digue: c'était là où les abeilles faisaient le
plein pour l'hiver, miel que le rameur ici photgraphié consomme
à raison de 1 ou 2 pots par semaine.
mais lundi 15 mai 2006 cette digue coté rive droite (à
gauche sur la photo à télécharger) fut passé
au GARLON INOV qui transforma ce lieu en exemple de pauvreté biologique
(milieu reste pauvre en été automne 2007), et le produit
fut passé juste alors que les fleurs de robinier étaient
bourdonnantes d'abeilles.
la pollution est essentiellement émise sur les parties en pente
de la N504 (15 à 30 milliers des voitures par jour, 1000 à
3000 par heure vers 18h à 19h et la D992, surtout sur la montée
du pont de Belley et le pont des écassaz. Cela est le fait des nouveaux
moteurs HDI qui dégagent du dioxyde d'azote en quantités
anormales dans les pentes (conduite en sous régime, variation de
température)
sur ces portions de routes, des pentes importants (plus de 5%) "cassent"
le rythme du moteur et les deux ponts, et le rond point sont des lieux
où localement une voiture pollue comme 30.
une nappe de pollution se confine souvent dans la vallée du lac
de bart, très encaissée.
le vent suit souvent la vallée (et ne disperse donc pas les
polluants) et l'hiver, saison des entraînements, l'air refroidi par
le sol coule et piège l'air de la route sur l'eau.
un secteur d'émission de pollution très forte est sur
la montée de Belley (vers le coin bas et droite de l'image)
il faut donc éviter autant que possible les aller retours entre
les deux ponts, et les efforts près de la base d'aviron.
cette situation est délicate pour l'aviron... dans l'idéal
faudrait déménager pour s'installer ou en amont (vers Massignieu
à ou en aval (entre brens et mure et gélinieux)
tentative d'aller au club, toujours la même chose: dioxyde d'azote
des voitures, inflammation de la gorge suivie parfois d'infection des glanglions.
et aussi le 8 (nappe de gaz déchappement sur le lac au soir).
ça l' a fait le 8 et 9 expoition le 8 au soir et le 9 au soir,
malade enduite jusqu'au 11 matin, puis à la suite du 11, malade
jusqu'au 13 matin, puis le 17-18. la guérison prend 4 jour
minimum.
mal de gorge et de tête, et pulses augmentées au repos
de 20
détail
le samedi 17 et dimanche 18, encore une fois un ennui de santé
du à la conjonction de la pollution routière et de la présence
d'un virus: je n'ai pourtant pas du tout pris froid, je n'ai pas forcé
même en huit (pas atteint la FC-max et pas longtemps). Faire
une performance le jour du test ergométrique à la date prévue
semble peu probable. cette période de mauvaise forme m'a empêché
de faire l'accumulation de B2 et de B1 qui était prévue durant
J-30 à J-15, il est maintenant trop tard pour le faire si je compte
une semaine de plus faible charge physique pour me ménager suite
à une infection avec fièvre
il y a eu deux inversions de températures (qui empêche
le renouvellement de l'air en basse altitude et provoque un "effet tunnel"
énorme...pas besoin de microscope pour s'en apercevoir):
date..la journée du 8 nov avec une anomalie de 6 jours (pulses
élevées) et le 19 novembre.
le 17 novembre j'ai bouffé de la pollution en faisant de l'ergo
à la salle de yenne, j'avais besoin de vérifier les pulses
sur un vrai ergo, ça allait mais quand le soleil s'est levé,
la fumée des diesel est monté à la hauteur du premier
étage. C'est même pas de la grande route que cela venait,
mais d'une file de quelques voiture qui a monté à nattages:
une seule voiture qui monte en cinquième pollue plus qu'une file
de 30 voiture sur le plat, j'ai voulu boucler l'heure pensant que 10 minutes
étaient supportable mais j'ai eu quand même la gorge enflammée
sans défense pour les virus qui passe résultat plusieurs
jours de santé perdu...
le 8 novembre c'est en marchant que j'ai eu l'irritation, une nappe
de fumée diesel très concentrée stagnait sur le marais
du coté nord de massignieu. même en marchant c'était
gênant. Cela n'a duré 10 minute, mais aussi concentré
que dans un tunnel. j'ai pris aussi de la pollution dans le goulet du lit
au roi. l'irritation commence toujours par une amgydale, et il doit y avoir
quand même un problème à régler par là:
il me faut chercher les point d'acupuncture qui correspondent à
l'organe lié pour rendre plus solide cette partie de la gorge.
quantité d'air respiré en plus du fait
de l'activité physique.
soit 4% du volume d'air est de l'oxygène retenu (on rejette
16% 02 4% CO2 et le reste d'azote)
60 litre d'oxygène permet 350wh divisé par 0.04= 8750
litres ou 8.75 mètres cubes
un watts heure vaut 25 litre d'air respiré
une semaine d'entraînement physique équivalent au mien,
cumulant 4000 à 5000wh correspond donc à
100 à 125 mètres cubes par semaine, en plus des 80 mètres
cubes d'air respiré au minimum (8 litre d'air par minute
durant une semaine) soit +125% à +150% d'augmentation.
il y a donc bien plus que le doublement de la quantité d'air respiré.
si on fait le rapport sédentaire un peu sportif 80 à
100 et athlète d'endurance 200 à 230 on est dans des rapports
de 2 à 3
mon volume d'entraînement n'a rien d'anormal. Avec une moyenne
de 500 à 800wh/ jour, disons 600 cela équivaut à 2h20
d'entraînement à 250 watts ou 3h en dessous de 200 watts,
ce qui est une dose quotidienne chez tout athlète "de haut niveau"
et la moitié d'une journée de cyclisme dans des courses à
étape. "haut niveau" signifiant ici d'un niveau proche des limites
humaines à moins de 15% des champions représentant les limites
du possible.
comparaison avec 50 watts moyen en endurance: un sportif capable de 100 à 150 mais qui ne calibre pas l'effort en continu (en moyenne équivalent de la marche 6h en tout dans la semaine (ce qui représente déjà beaucoup d'activité. Cela fait 300wh par semaine et une augmentation d'air respiré de 7.5 mètres cubes sur 80 minimum = +10% d'augmentation à peine.
c'est cela qui explique l'hypersensibilité à la pollution
moyenne de l'air chez l'athlète qui est 125% plus sensible que chez
le sportif ordinaire, qui respire dans la semaine un supplément
d'air de 125% de plus de 10 fois le supplément de l'ordinaire qui
est 10%. il faut noter aussi que ce surcroît d'air respiré
l'est le jour aux heures d'activité. l'augmentation réelle
de pollution respirée est donc souvent bien plus. si la moitié
de l'air respiré l'est durant le temps de pratique, le lieux de
pratique est crucial..
envoyer cette petite remarque à AIR-APS pour suggérer
un texte, à propos des lieux de pratique: salles de sport et stades
utilisés par des sportifs de "haut niveau" souvent en bordure de
route.
rheu! Marc... c'est justement quand il y avait une usine en aval dans le collimateur que les autres en amont ont lâchés massivement avec l'impact maximum (quand le rhône boueux déposait des sédiments en juillet août...) c'est comme en classe quand un pète et se fait bien regarder de travers, est repéré comme le chieur, alors les autres peuvent louffer tranquille.
Si des encens sont parfumés
à de tels produits c'est pas surprenant qu'ils soient nocifs (message
à propos des encens envoyé par divers médias de la
santé). il semble que l'usine Givaudan lâche ses polluants
à l'approche du week-end, un peu, et beaucoup à l'approche
des vacances. Depuis cet été le poisson est plein de poison
et interdit d'être mangé, alors que nous sommes très
en amont de l'usine accusée par les médias, plus en aval
vers Meximieux. Les pêcheurs n'ont plus qu'à s'amuser à
faire des concours de longueur de poisson pêché puis rejeté,
c'est à la mode, les jeunes aiment...
À propos de la pollution ressentie dans le sport
résumé
Il me semble observer des troubles de la fréquence cardiaque
en relation avec l'exposition à la pollution du trafic routier.
je pourrais en dire plus quand j'aurais pu dépouiller toutes les
courbes de fréquence cardiaque réalisées lors de mes
entraînements. je puis le constater justement par ce que je
ne vais pas tous les jours sur une grande route, comme la plupart des gens
qui eux ont à faire des trajets quotidiens en empruntant tous les
jours un grand axe. je pense que les polluants qui font des effets flagrants
à court terme sont le monoxyde de carbone (maux de tête et
perte d'efficacité de la ventilation pulmonaire, hausse de la fréquence
cardiaque) et les oxydes d'azote (maux de gorge et nez qui coule, réduction
de la ventilation pulmonaire par protection). les particules font parfois
comme de la poussière mais les plus nocives sont sans doutes pas
perçues.
lorsque que je sort et fait de l'activité physique modérée, en été, l'ozone de l'air ambiant semble aussi avoir des effets, même en restant isolés de la circulation, là aussi la hausse de fréquence cardiaque dure 1 jour et demi. il y a en plus un phénomène de décalage du seuil, c'est à dire qu'il devient possible de tenir longtemps, en "endurance" des fréquence cardiaques normalement rencontrées à peine quelques minutes durant une course de demi fond faite vraiment à fond. il y a là un danger pour le coeur qui va avec le constat de l'assemblée nationale et du sénat par rapport au infarctus qui touchent jeunes et vieux selon la concentration d'ozone. s'exposer à un pic d'ozone est simple: il suffit de ne pas s'enfermer l'après midi en été, une concentration de plus de 100 microgrammes par mètre cube est garantie, alors que des problèmes sanitaires sont décriées pour des concentration bien plus faible. Ce n'est pas la fatigue car ça le fait même si je fais que des efforts très modérés, surveillant le cardio de sorte à ne pas dépasser 120 pulsations, efforts très modérés qui tout de même multiplient par 5 à 10 l'exposition par rapport à un repos enfermé...
enfin, un gaz non surveillé semble aussi poser des problèmes:
le chlore qui se dégage des champs traités aux pesticides,
surtout au printemps avec les traitements de prélevée, et
en automne avec les grands épandages d'herbicides.
Pollution sonore: cela est à signaler aux gérants
du parc de la vanoise. Un diesel sur la grande motte servant à un
tire fesse de petit calibre à 3200m d'altitude domine l'ambiance
sonore du rocher de charvet au col de la Leisse, et sur tous les flancs
de la montagne noire. Point de vue ambiance ces lieux magnifiques ne valent
donc plus rien des le mois d'octobre. Une ligne électrique et quelques
pylônes en plus pour alimenter ce tire fesse éviterait de
détruite l'ambiance sonore sur plus de 10 km à la ronde.
la zone du parc située à l'ouest du col de palet est
par contre indemne de pollution sonore, c'est même la seule zone
épargnée par les environs de tignes, hormis les travaux ponctuels
des refuges.
157 -155 pulses pour 200-205 watts avec un après exposition à
la pollution
et 150 pulses 212 watts dans les mêmes condition avec évitement
la veille de la zone polluée, et même programme de dépense
physique.
la marque de voiture WW a mis sur le marché des "nouvelles golf
et des nouvelles polo" très polluantes, elle ont le symbole "TDI"
il suffit d'en suivre une plusieurs minutes pour avoir l'équivalent
d'une pollution de plusieurs heures de trafic routier "normal": irritation
des voies respiratoires. curieusement je n'ai remarqué ces voiture
qu'en tant que passager de voiture mais pas encore en vélo dans
le Bugey, elle sont présentes plutôt vers Bourg-St-Maurice
et Tignes.
maux de tête: cela semble du au monoxyde de carbone. le
fait que la mal de tête survienne après quelques heures de
retard par rapport au voyage est un indice de plus. Les symptômes
correspondent à des taux de l'ordre de 200ppm, ce qui est peut être
bien le cas lors d'un voyage en voiture sur une route encombrée,
mal ventilée, ou les voitures peinent en sous régime, et
quand le conducteur de la voiture vient coller son capot contre le pot
d'échappement de celui de devant. Les taux sont bien plus fort qu'en
ville (en comparant à Grenoble: pas de maux de tête avec seulement
2h de présence à Grenoble) Les mesures de Grenoble donnent
des chiffres de l'ordre du ppm, et cela suffit pour que les habitant aient
plus d'un % de carboxyhémoglobine dans le sang.
la hausse des pulses cardiaque correspondrait bien alors aussi, mais
le fait que ça dure encore le lendemain semble due à
d'autre polluants.
10-20% de carboxy hémoglobine: Maux de tête légers,
dyspnée lors d'effort musculaire intense, réduction de l'acuité
mentale.
avec 10% de réduction de globules rouges disponible, il faut
10% de plus de débit sanguin pour compenser: cela correspond bien
à la différence de l'ordre de 10 à 15 pulses que j'observe.
les maux de tête sont partagé par beaucoup d'autre personne
qui font cette route... ils accusent les camions.
Monoxyde de carbone: faut t'il s'en méfier?
monoxyde de carbone: premier seuil d'alerte à 50ppm, deuxième
seuil à 200ppm pour les pompiers, 200ppm signifie dangereux si l'on
reste longtemps.
le polluant Monoxyde carbone en microg/m3 atteint en ville dans
les environs de 400 à 1000 midro-garmmes/mètres cubes
soit pas loin d'un miligrame par mètre cubes
reste à convertir en PPM pour connaître la densité
de cette pollution par rapport aux chiffres des pompiers
sur route de montagne derrière file de voiture c'est bien plus
qu'en ville.
10 mg/m3 (9 ppm), alors 1ppm fait environ 1111 micro grammes/mètres cubes
autres repères pour cerner les niveaux toxiques:
La norme ASHRAE 62-1989 indique que la limite d'exposition moyenne
de 8 heures pour le monoxyde de carbone ne devrait pas dépasser
9 ppm
Les niveaux maximum acceptables recommandés en matière
de monoxyde de carbone sont une moyenne d'une heure à 30 ppm(je
pense que l'on atteint de pareils taux à proximité d'une
file de voiture en côte, qui consomment 3 fois plus que sur la plat
d'une ville, et en plus carburent moins bien.
en multipliant par 10 (hyperventilation pulmonaire
si vélo en côte), cela équivaut à 300ppm = dose
suceptible d'être ingérée sur la montée de tigne
par exemple quand les voitures sont pare choc contre pare choc.
Danger immédiat pour la vie et la santé (DVIS)
: 1200 ppm
limites guides
Les valeurs guides ont donc été établies de manière
à ce que le taux de 2,5% de carboxyhémoglobine ne soit pas
dépassé, même si le sujet se livre à une activité
physique légère ou modéré [1]:
- 100 mg/m3 (87 ppm) pendant 15 minutes
- 60 mg/m3 (52 ppm) pendant 30 minutes
- 30 mg/m3 (26 ppm) pendant 1heure
- 10 mg/m3 (9 ppm) pendant 8 heures
ATTENTION!!! l'activité moyenne d'un effort chez un athlète=
3 fois plus que modéré ordinaire = 3 fois 70 watts,
limites
guides alors à diviser par 3 pour un effort en zone de puissance
aérobie: pour le vélo en côte vers 250 watts et
environ 100 litres d'air respirés par minute.
cela porte à 10mg/mètres cubes ou 10 ppm environ, le
tolérable sur une heure
montée de Tignes avec files de voitures, maux de têtequelques
heures après avec exposition durant une demi heure assis, ou quelques
minutes (2 ou 3) en situation d'effort sous tunnel ou paravalence ou route
avec blocage de l'air (souvent à flan de coteau). si c'est le monoxyde,
chercher la dose qui fait mal à la tête.
ça serait aux alentours de la centaine de ppm.
traverser grenoble en vélo ne donne pas de maux de tête
mais faire en voiture ou en vélo une portion de la route montant
à Tignes si. Même chose pour le col de Porte en Chartreuse
en saison touristique. Le monoxyde de carbone, gaz des combustions incomplètes
est sans doute plus laché en côte quand les voitures peinent
sur des rapports de boite à vitesse pas assez démultipliés,
que sur le plat, d'où la concentration plus importante sur route
de montagne. De plus les routes de montagne sont mal ventilées:
ça fait un effet tunnel qui est loin d'être microscopique.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz sans couleur, inodore, toxique
produit lorsque des carburants contenant du carbone sont brûlés
où il y a trop peu d'oxygène (c'est le cas justement en montagne
-20% d'oxygène déjà et conduite en sous régime
pour 7 voitures sur 10).
Les niveaux dans les zones urbaines (et j'ajoute dans une file de voiture
même en montagne si il y a confinement) sont fortement variables,
dépendant des conditions atmosphériques et de la densité
du trafic. Les concentrations sont généralement moins de
10 parts par million (ppm) mais peuvent être aussi hautes que 500
ppm
À une concentration de seulement 500 ppm (parties par million) de monoxyde de carbone dans l'air respiré, on constate l'apparition de maux de tête sévères, de vertiges et d'une tendance au sommeil annonçant un début d'intoxication. L'impotense musculaire et une paralysie progressive apparaissent lorsque l'individu est soumis à une concentration de 2000 ppm, suivies d'un coma si aucun secours n'intervient. Par ailleurs la mort est rapide suite à une exposition de quelques minutes à une dose de 5000 ppm. Cette mort survient lorsque 66% de l'hémoglobine a été transformée en carboxyhémoglobine.
Des études ont permis d'évaluer, que dans les grandes villes par exemple, le sang des habitants renferme de 1 à 2% de carboxyhémoglobine. Celui d'un fumeur de 4 à 10% amenant le c?ur à travailler davantage afin d'oxygéner l'organisme.
Troubles observés après un séjour d'une heure
200ppm 0,02 % Maux de tête, vertiges, vision floue, fatigue, nausées.
0,1 % Même symptômes, plus faiblesse des jambes, impossibilité
de marcher, et somnolence.
0,15 % Syncope
0,20 % Fort risque de décès
Au repos, la demi-vie d'élimination du monoxyde de carbone sanguin est d'environ 3 à 4 heures pour un sujet inhalant de l'air et d'environ 20 à 60 minutes pour des sujets inhalant de l'oxygène.
Avec l'administration d'oxygène hyperbare, la demi-vie d'élimination du CO diminue mais les valeurs numériques varient selon les auteurs :
- 23 minutes à 3 atm.
- 27 minutes à 1.58 atm.
- 22 minutes à 2.5 atm
Étant donné que l'intoxication au CO survient fréquemment pendant lasaison hivernale, il est très fréquent que le diagnostic initial soit, de façon erronée, celui d'une infection virale. Il a été observé qu'une exposition au monoxyde de carbone pourrait être la cause de 5 à 19 % des cas de céphalées d'origine indéterminée dans les services d'urgence.
200 ppm
Valeur d'exposition de courte durée (VECD) Maux de tête
2 à 3 heures après l'exposition
Concentration en (% de carboxyhémoglobine)
Effets probables à la suite d'une exposition aiguë
3.5% Indice biologique d'exposition.
10-20% Maux de tête légers, dyspnée lors d'effort
musculaire intense, réduction de l'acuité mentale.
20-30% Maux de tête sévères, dyspnée lors
d'effort musculaire modéré, nausées, vertiges.
30-40% Maux de tête sévères, nausées, vomissements,
faiblesse musculaire, confusion, troubles visuels et du jugement.
40-50% Convulsions, perte de conscience.
50-70% Coma, dépression cardiaque et respiratoire parfois fatales.
plus de 66% Mort
Effets probables à la suite d'une exposition aiguë (ppm
de CO) chez une personne en bonne santé
35 ppm Valeur d'exposition moyenne pondérée (VEMP)
200 ppm Valeur d'exposition de courte durée (VECD) Maux de tête
2 à 3 heures après l'exposition
400 ppm Maux de tête et nausées 1 à 3 heures après
l'exposition
600-700 ppm Maux de tête et nausées 1 heure après
l'exposition
1 200 ppm Danger immédiat pour la vie et la santé (DIVS)
1 600 ppm Maux de tête, nausées, vertiges en 20 minutes,
perte de conscience, coma et mort 2 heures après l'exposition
3 200 ppm Maux de tête, vertiges en 5 minutes, coma et risque
de mort en 30 minutes
6 400 ppm Maux de tête, vertiges en 1 à 2 minutes, coma
et risque de mort en 15 minutes
20 000 ppm Coma et mort en 4 minutes
Effets chroniques :
L'apparition d'effets toxiques associés à une exposition prolongée au monoxyde de carbone n'est pas encore clairement élucidée dans les sources documentaires consultées.
Certains auteurs rapportent des effets tels que :
-des maux de tête,
-de l'asthénie,
-des vertiges,
-de l'insomnie,
-de l'irritabilité,
-de l'anorexie,
-des troubles neuropsychologiques subtils comme des altérations
de la mémoire, etc.
D'une façon générale, il n'existe guère
de données indiquant qu'il puisse se produire dans la population
des effets athérogènes consécutifs à une exposition
au monoxyde de carbone aux concentrations couramment rencontrées
dans l'air ambiant. (même derrière une file de voiture?!)
----------------------------
remarque et recherche septembre 2007 -2
relation entre les pics de pollution et la relation entre la puissance
et la fréquence cardiaque correspondante
Le fait ressentit: quand l'air est "chargé" de polluants, la
fréquence cardiaque est anormalement haute pour tout effort d'endurance,
et ce le jour même et le lendemain de l'exposition. je constate cela
d'une façon flagrante sur la montée du colombier fait le
26 août, comparé à d'autres montées proches,
trop proche pour que un séjour en altitude ou un entraînement
explique un progrès équivalent à 10% puissance ou
encore à une descente de 15 pulses des fréquence cardiaques.
c'est comme abandonner un vélo de 20Kg pour un de 10Kg!
référence 2007-colombier.html
et journal d'activité physique vers août.
il est délicat de généraliser car d'autres paramètres
font aussi bouger la fréquence cardiaque, la chaleur moite en particulier.
le trajet en voiture Belley(01) Tignes fait souvent mal à la
tête. cela est partagé par beaucoup d'automobilistes. C'est
l'exposition durable à la pollution concentrée d'une file
de voiture dans laquelle on se trouve, en côte qui provoque cela,
pas l'altitude, car ça le fait avant le changement d'altitude quand
la pollution est forte dans la vallée. ensuite, la fréquence
cardiaque lors des efforts augmente plus que d'habitude. le retour à
une forme normale, c'est à dire les fréquence cardiaque habituelles
pour fournir une même performance, prend 2 jours
ce que les gens accusent est l'altitude, ou les camions... mais pas
les voitures. Sur ce trajet le pire semble pourtant les voitures à
diesel injection directe en sous régime. La position de la prise
d'air joue beaucoup: pour moins avoir mal à la tête mieux
vaut être dans un véhicule très haut, un quatre quatre
par exemple, 50cm de plus de hauteur évite de ramasser toute la
nappe de polluants scotchée sur le macadam, tout en pêtant
mieux au nez des autres qui sont derrière, selon la loi, se faire
gazer soi ou gazer les autres.
un autre effet est une douleur aux amygdales, qui précède
une irritation des voies respiratoires. c'est un peu le signal d'alarme
"pollution"
sur la base de mon repère habituel,
- machine à ramer 220 watts vers 153 pulses à 2000m et
245 watts vers 153 pulses en plaine, en situation de confort thermique,
je constate que la pollution, que ça soit en bas jusqu'en
haut coûte 20 watts, soit 10% puissance.
- taux de montée en vélo: la forme normale se situe vers
1300m/h de vitesse ascensionelle à 160-165 pulses, et 1100m/h sur
la base de 150 pulses, et le seuil se trouve vers 170 à 175 pulses
et 1350m/h. en cas d'exposition à la pollution j'ai un seuil proche
180 pulses mais vers 1250m/h (soit perte de puissance de l'ordre de 8%)
et j'ai, dans la zone des 1000 à 1100m/h 10 à 13 pulses de
plus, ce qui correspond à une charge d'effort cardiovasculaire de
l'ordre de 10% de plus. cet effet semble du à la perte d'efficacité
de la ventilation pulmonaire
les symtômes flagrants: maux de tête et perte d'efficacité
de la ventilation pulmonaire semblent être le fait du monoxyde de
carbone de toute voiture sur alimentée et en sous régime,
c'est à dire les voitures qui ont un moteurs trop silencieux, et
sur-dimenssionné qui autorisent la généralisation
de la conduite en sous régime sans caller en côte voir même
sans avoir l'empression de peiner.
Le nez qui pisse, la douleurs à la gorge semble être le
fait du NO2 des moteurs diesels
la pollution en montagne: texte
(synthèse des observations faites à Tigne, Val d'isère,
col de l'izeran mais aussi dans les routes de montagnes de basse altitude)
résumé de ce texte.
la pollution en montagne
Elle est localement forte, par intermittence, mais puisque le
contexe concerne les heures d'activité, il concerne également
celui des piétons et cyclistes qui bien évidemment ne circulent
pas la nuit, mais au même horaires que les voitures.
La pollution s'évacue moins facilement d'une route de montagne
qu'en plaine, par ce que la route fait une saillie dans le relief qui force
les vent à la suivre: les gaz d'échappement tendent à
suivre la route sans s'en écarter: si une voiture passe ça
sent plus longtemps et plus fort.
Quand la route est sur un terrain plat, elle suit généralement
un fond de vallée qui ne permet que des vents longitudinaux qui
"balladent" la pollution sur la route sans la chasser lattéralement,
la vallée confine l'air dans un volume restreint.
enfin, en montagne les voitures carburent moins bien, polluent des
dizaines de fois plus par carburation incomplète.
un cycliste monte 3 fois moins vite qu'un automobiliste, respire 10
fois plus, donc consomme 30 fois plus d'air pour monter un même col.
Même si le cycliste ne se trouve pas prisonnier des convois de voitures
qui montent, il respire déjà autant de pollution que l'automobiliste
qui respirerait un air 10 fois plus pollué 3 fois moins de temps.
les solutions?
conduire en évitant le sous régime, le couple maximal,
en s'imagineant économiser un effort physique: conduire sa voiture
comme on conduirait un vélo...
et à plus long terme orienter ses choix vers des voitures légères,
simples, avec une technologie moins sophistiquée. la haute technologie
s'avère en effet défaillante pour gérer les variations
de régime et les sensations sont trompeuses.
environ de tigne, col de l'iseran et val d'isère: la pollution
routière, comparé à celle de 2003 c'est aggravé
(même en septembre): il y a maintenant ces voitures qui "sentent
la javel cuite", maintenant majoritaires au lieu de rares en 2003, de la
technologie PSA (Parfois ça Sent Atrocement). Des personnes "normales"
percoivent le mal de tête du à la pollution quand elles voyagent
en voiture.
fréquence cardiaque anormalement élevée.
au dessus de 2500m gaz "a odeur de chlore" que je pense plutôt
nitreux et qui ressemble au nez à ce qu'émettent les voitures
modernes, j'ai cru qu'il était émis par des éléments
naturels (végétaux, lichens), mais en fait ces odeurs
proviennent de la route entre val claret et Tignes, qui remontent facilement
à 1km environ à distance directe. Si il n'y a pas de route
en contrebas, l'odeur n'est plus présente dans un même milieu.
vérifié: coté vanoise ça ne le fait pas.
réponse d'un cardiologue...
Cher Jean
Comme bien souvent, vous avez
raison, et en réalité le problème est bien plus sérieux
que ce que l'on pense généralement.
Les nouveaux diesels produisent beaucoup
plus de NO2 que les anciens diesels, et le NO2 a une action très
inflammatoire sur les voies respiratoires, de plus ils produisent des nano
particules en très grandes quantités, on ne les sent pas
et elles passent la barrière alvéolo-capillaire.
un facteur très aggravant: le pot d'échappement
à droite. En effet,
- quand la voiture roule bien à droite, le pot rejette près
du bord moins ventilé que le milieu de la route: le sillage reste
"collé" au talus, et vit plus longtemps.
- quand en vélo on va presque aussi vite qu'en voiture, ce qui
est TOUJOURS le cas sur les routes étroites, tortueuses, de montagne
à flanc de coteau, la voiture qui parvient à doubler tarde
à prendre de l'avance et pête alors au nez du cycliste. Rouler
en vélo en respectant le code de la route oblige à rester
bien en face du pot d'échappement. de plus, quand le sillage est
émis à droite, il reste collé au bord de la route
et s'y trouve plus concentré, et plus durable pour le cycliste qu'un
sillage rejeté au milieu de la route et rapidement dillué
par les courants d'air.
Le pire est la file de voiture: si dans cette file il y en a qui ont
le pot à droite, il est alors obligatoire de rester dans le sillage
pour laisser passer les voitures qui suivent derrières. Quand le
sillage rejeté à droite, une partie importante se trouve
immédiatement à l'abri du vent et n'est même pas évacué
par le vent du au déplacement des voitures, il rest coincé
contre le bord, et cela peut durer plusieurs minutes, ce qui représente
parfois plus de 500m à parcourir en "zone pollué" après
un dépassement... et bien plus si la voiture ne prend pas vite de
l'avance. Par exemple sur un trajet de 8km, la voiture ne prend que 2 minutes
d'avance par rapport au vélo. si le sillage persiste durant 2 minutes,
ce qui est fréquent sur route en coteau ombragée, elle représente
alors... 8 km de sillage polluant pour le cycliste. Il est rare, quand
l'air devient enfin respirable qu'il n'y ait pas alors une nouvelle voiture
qui se charge de l'empuanter à nouveau.
Facteur aggravant numéro 2: les murets en béton coulé:
ils ménagent une zone de non-vent piégeant très longtemps
les sillages d'échappement.
extraits de texte trouvé dans senat.fr-rap-r05-125-r05-12558.html
On peut dire que c'est dans les vingt-quatre
heures qui précèdent l'infarctus du myocarde que les choses
se sont passé. C'est une association spécifique. Jusqu'à
présent, on avait travaillé sur des maladies cardio-vasculaires,
des hospitalisations, des données hospitalières, de mortalité,
mais jamais sur une pathologie spécifique, comme l'infarctus du
myocarde. C'est une association robuste car quelles que soient les décisions
que l'on prend, on retrouve toujours les mêmes relations. Cela affecte
la population jeune (35-64 ans). Les plus âgés sont les plus
sensibles, mais cela affecte également les personnes qui n'avaient
aucun précédent vasculaire et les jeunes. Enfin, c'est une
relation linéaire, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de seuil.
A chaque fois que l'on augmente la concentration de l'ozone, on augmente
d'autant plus la survenue de l'infarctus du myocarde.On
a également montré que l'ozone avait un rôle sur la
fréquence cardiaque, en la diminuant, à l'inverse des autres
marqueurs (NO2 et SO2), qui sont cardio-accélérateurs.
Pour l'ozone, on constate que le risque le même jour est
de 1,05. Cela signifie que pour chaque augmentation dans l'atmosphère
de 5 microgrammes par mètre cube d'ozone, il y a un risque de 5
% de faire un infarctus du myocarde. Ces relations sont très significatives
et concernent à la fois le même jour et le jour précédent.
de mon coté
- je remarque que en cas de sortie l'après
midi, donc d'exposition à la pollution, la fréquence cardiaque
est anormallement élevée jusqu'au jour suivant même
en évitant les efforts, c'est ce qui est arrivé le 25
et 26 août... lors de la montée
du colombier mon seuil était vers 183 pulses au lieu de 170 et la
FC repos debout vers 75 au lieu de 50, la veille j'avais été
contraint de sortir un samedi après midi. cela c'est encore reproduit
le 27 aout (voyage en voiture vers tigne, trajet très pollué,
maux de tête et fatigue ressentie aussi par le conducteur: la fréquence
cardiaque était anormallement élevée le 28 août...
l'orage ayant balayé la pollution, la fréquence cardiaque
a descendu de 15 à 20 pulses pour les mêmes effort et aussi
pour le repos. La pollution que je suis contraint à respirer est
donc visiblement cardio-accélératrice.
- le gaz qui me met en difficulté semble
le NO2, ou du moins ce gaz à odeur de javel cuite: c'est la nuisance
numéro 1 de la cohabitation avec les voiture. ce gaz ne concerne
que les voitures modernes avec turbo. Effectivement il semble que la fréquence
cardiaque est accélérée, et ce d'environ 20 pulses,
et immédiatement.
des nano particules et non des microparticules... ces nano particules se mesurent en nanomètres, et n'intéragissent pas avec la lumière. un nuage de nanoparticule, même dense est absolument invisible à l'oeil. Les diesels qui fument "noir" envoient des suies grossières qui sont des microparticules de taille supérieure à 1 micron pour la plupart. l'organisme sait mieux les éliminer.
à Tignes:
L'odeur de parfums étalés sur la peau des gens qui habitent
les barres d'immeubles est nettement perceptible dans un volume d'air entourant
l'immeuble qui est sans doute renouvelé en quelques minutes et qui
fait quelques dizaines de fois le volume intérieur des appartement.
L'importance du volume parfumé par les émanations est donc
importante, non négligeable à l'échelle de la
vallée, si quelques milliers de personnes parfumés aux produits
de synthèse y séjournent. Un ouvrier d'usine chimique a aussi
remarqué que même en l'abscence d'êtres supports de
ces substances, leur lieux de travail (les bureaux) peuvent exaler à
plus d'une centaine de mètre.
-------------------- aout 2007------------------------------
j'expose ici un amas de texte qui servira de base pour produire des
nouvelles pages sur le sujet (pour mon site "pourlaterre")
voir
page http://pourlaterre.free.fr/quelle_evolution_pour_les_transports.html
Je note dans mon journal d'activité
physique "pollution" quand, faisant de l'aviron en particulier je ressens
nettement une gêne durant l'effort associé à une nette
odeur de gaz d'échappement. il s'agit bien sur d'une donnée
subjective, au "pif" (c'est le cas de le dire)
je dois imaginer un moyen
d'éviter de m'exposer.
carte_du-coin.png 1.6 Mo, montre
la situation géographique: la pratique de l'aviron se fait sur le
canal du rhône, bordé de la route N504 de virignin à
Belley (15000 à 30000 voiture/jour et pics allant jusqu'à
3000 voitures/heure durant les vacances)
la D992 borde la partie du canal allant de Belley à Rocheford
quelques faits à noter:
- la saison: toute la saison à jours courts, en raison du faible
angle solaire, il reste des poches d'air froid dans les ubacs des montagnes
qui viennent couler dans les vallées et confinent les gas des routes
qui draine presque tout le traffic. C'est la pollution par accumulation.
Cette zone rurale semble plus pollué que la moyenne au vu de
la différence que je constate à chaque course d'aviron organisée
ailleurs.
L'hiver la circulation est très intense à cause
du traffic routier lié au ski (par moment plus de 2000 voitures
par heure sur les grandes routes bordant le canal vers virignin et traversant
yenne)
une voiture rend l'air peu respirable (équivalent à l'air
ambiant lors d'une alerte à la pollution) au rythme moyen de 13m/s,
et sur une section de l'ordre de 7m de large et de haut soit 50 mètres
carrés, soit 650 mètres cubes/seconde (on retiendra l'ordre
de grandeur de 500 à 1000 metres cubes/seconde). Quand l'effet tunnel
est présent (route sans évacuation), il est effectivement
NOCIF de respirer en faisant un effort après le passage d'une seule
voiture, et ce durant plusieurs minutes: cela arrive souvent dans une montée
ou sur les petites routes de campagne qui pour une raison ou une autre
bloquent l'air durablement (vortex convectif sur route en pente, ou confinement
par falaise, roche ou arbres, ou encore par nappe d'air froid). il s'ensuit
alors une irritation des voies respiratoires si les voitures entretiennent
un volume d'air pollué, et cela peut arriver pour un nombre de voiture
aussi réduit que 6 par heure. ce phénomène est moins
sensible sur la plupart des grandes routes pour des raisons de dégagement
et de fonctionnement, les voitures polluent plus en effet sur les petites
routes car elle y carburent mal et roulent à des régimes
moteurs non optimaux, et sur les petites routes l'air s'évacue moins,
et du coup on peut s'y faire gazer en vélo avec autant d'efficacité
que sur une nationale.
le debit de pollution anormale de la montée des écassaz
est à étudier: une pente de 500m environ, où 1000
voitures par heure qui carburent mal quasi systématiquement (côte
montée en sous régime et excès de couple, sans changer
de vitesse), une vitesse de l'ordre de 60km/h des voitures.
en raison de la pente la pollution est multipliée par 3 à
10 en concentration, parfois par plus en cas de mauvais rapport de boite
à vitesse.
considérant le "débit" déjà estimé
de l'ordre de 500 mètres cubes/ seconde par voiture, la présence
de 10 voitures sur cette pente soit 5000 mètres cube par secondes,
et un vent de 10km/h, une épaisseur de couche d'air de l'ordre de
30 mètre, durant les 3 heures de circulation du soir font 54 millions
de mètre cube qui vont couler sur le fond de vallée ou le
canal. cette nappe est polluée d'une façon plus concentrée
(voitures en pente), donc très largement au dessus du seuil d'alerte:
si ce volume d'air pollué s'étale sur le plan d'eau faisant
200m de large par 8km, il représente une nappe épaisse de
33m la hauteur d'un grand peuplier...
en plus de la montée des écassaz, il y a aussi les 250m
fois 2 du pont de Belley, la montée du lit au roi, la montée
de Virignin au tunnel, la montée de Belley qui dégagent de
la pollution anormallement restant concentrée pour un volume d'air
chiffrable en milliers de mètres cubes par seconde.
il n'est donc pas etonnant que la pollution soit si intense sur le
canal, et même les environs, et s'ajoutant encore à celle
de l'air ambiant, des valeurs correspondantes au seuil d'alerte sont facilement
dépassées localement, cela est justifié que il faille
aller ramer ailleurs.
le printemps été
la présence d'agriculture intensive usant de pesticides est
notable, et il y a aussi des vignes, cette pollution s'associe à
celle de la circulation, bien qu'il y a moins de stockage en raison de
la convection, les pics de pollutions peuvent être très violents:
le traitement d'un champs représente par exemple, un volume d'air
carrément irrespirable de l'ordre 20 millions de mètre cubes:
de 400m (largeur d'un grand champs, par 5000m (longueur du sillage), par
100m (épaisseur du sillage). à ce volume pollué massivement
surtout par les solvant et les produits emportés par le vent, s'ajoute
ensuite le dégazage ou l'évaporation du produit décomposé
au soleil ou repartant en vapeur, qui prend 3 jours à 40 jours suivant
le produit.
Lors du dégazage des maïs par exemple, les produits lachent
des composés "bizarres" au soleil, 40 jours après le traitement,
renouvelé 2 fois ça fais 80 jours, par vent léger,
le champs sent nettement à plusieurs centaines de mètre disons
500m, sur une hauteur de 30m (celle d'un grand arbre) et avec une vitesse
du vent moyenne de 10km/h, ce qui représente la pollution de l'ordre
de 40000 mètres cubes seconde (comme 100 fois le débit moyen
d'un grand fleuve), cela environ 8h par jour ensoleillé, disons
en moyenne 6h par jour, durant 80 jours, soit 6 fois 80 fois 3600s = 72
milliards de mètres cubes ou 72 km/cubes.
maintenant que vous connaissez ces ordres de grandeurs, considérez
que ramené à la pression au sol, l'atmosphère ne fait
que 10km d'épaisseur environ... on n'a donc pas affaire à
une pollution négligeable, la couche d'air bloquant la convection
est souvent moins haute, et en pratique, les polluants se concentrent surtout
entre 0 et 1500 mètre d'altitude en été, et entre
0 et 200m d'altitude en hiver, d'ou des concentrations vraiments tout autre
que négligeables.
- Les pics locaux de pollution les plus forts sont associés au
ski et aux vacances: augmentation par 3 de la circulation, mais plus encore
de la pollution car les voitures sont contrariés dans le fonctionnement
du moteur (embouteillage)
- le polluant est un gaz que je qualifierais d'allergène: ce
gaz associé à des poussières, ou a des pollens provoque
"des angines" ou rhumes sans fièvres. Il est évidemment délicat
d'affirmer que ceci est du à ça, mais il y a quand même
une forte corrélation entre l'exposition à la pollution et
a ces symptômes d'allergie. Je suis hypersensible car je consomme
bien plus d'air (effort d'endurance), je suis plus agé (10 ans de
plus que l'âge d'arrêt des sportifs), et je suis "en haut niveau"
physiologiquement parlant, c'est à dire à un niveau de performance
à plus de 90% des limites humaines de ma catégorie.
- il s'est généralisé dans les moteurs un procédé
appelé "suralimentation" que dans mes écrits antérieur
j'appelais "sous régime" ou "excès de couple": quand le moteur
est en sous régime on lui demande plus de couple: la suralimentation
est utilisé, mais aussi, quand on demande tout simplement un fort
couple, même à régime normal, la suralimentation est
tout aussi utilisé, ce qui explique l'émission de SAPU
un peu partout. ce procédé a permis à des moteurs
de même cylindrées de conserver à régime "normal"
un rendement ordinaire, mais de disposer d'une réserve de puissance
qui ne serait sans cette astuce possible qu'avec un moteur plus gourmand:
c'est ainsi que les voitures ont pu doubler de puissance sans consommer
plus, et rester en dessous de 7 litre au cent tout en charriant plus d'une
tonne.
faisant une recherche sur internet partout, ce procédé
est justement vanté comme un moyen de lutte contre la pollution.
il y a moins de suies, mais peut être autant de particules très
fines, et plus de NOx car justement, on cherche à réduire
l'émission de CO2, et cela implique plus de NOX
La haute technicité des moteurs modernes et la recherche de
rendement pour tirer des bagnoles de plus en plus lourde sans consommer
plus aboutit à la multiplication d'additifs en tout genre pour améliorer
des petites détails de carburation, qui pourraient aboutir à
un nouveaux scandale sanitaire. le fait que les moteurs modernes ne brûlent
pas complètement (plus de rendement, volontaire) explique que ces
solvants se retrouvent dans l'air, et il ya plein de composés du
benzène, qui se retrouvent dispersés dans l'air.
observant les épisodes de pollution, je note un fléchissement
des défense de l'organisme vis à vis des autres polluants
après des périodes d'accumulation de particule fines. les
particules fines, dans l'air ambiant semble aussi donner des maux de gorge
à beaucoup de voisins, mais les symptômes sont ceux d'une
infection. je reste persuadé que c'est la pollution qui a organisé
une journée porte ouverte pour les microbes.
j'ai vérifié que ma charge d'entraînement restait
en dessous du sur entraînement. de toute façon, le sur entraînement
se sent.
faisant une recherche sur internet, je découvre des dires qui
le confirment dans http://mastocytosis.chez-alice.fr/
que, après avoir décrit comment les particules fines
forcent les varrières de l'organisme et perturbent les défenses
immunitaures, entre autres parlant de l'additif qui est dans les sens 100
plombs L'un des éléments les plus
inacceptables que produit l'exposition aux MTBE, c'est certainement l'inhibition
des défenses immunitaires.
et pattati et pattata... voir extrait de ce texte
archivé.http://pourlaterre.free.fr/quelle_evolution_pour_les_transports_annexe1.html
si ça ne va pas jusque là, les voies respiratoires déjà
irritées sont alors plus sensible aux NOx. les pesticides peuvent
aussi irriter et affaiblir les défenses imunitaires.
faisant le calcul en divisant le seuil d'information par le rapport
entre la ventilation associeé au métabolisme d'un sportif
moyen (vers 30 litres d'air par minute) et celle d'un athlète de
mon espèce qui ferait mieux de travailler et ne plus se poser ce
genre de question ou fermer sa grande gueule, cela signifie que des problèmes
peuvent survenir après une concentration de 25. sans doute en lieu
isolé, cette concentration est moindre que vers la plupart des capteurs,
et ma région obéit à des particularité.
mais le pic de pollution de février a éte remarquable
et a fragilisé les voies respiratoires pour près d'un mois
(ventilation pulmonaire d'un athlète entre 80 et 100 litres par minute en endurance = 5000 litres par entraînement, 2 fois par jour peut faire 10000 litres, lors d'une course d'aviron 360 litres/ minute en comptant 1 cycle respiratoire de 6 litre par seconde, durant 7'30!, soit 2700 litres)
2700 litres = 5h30 équivalent exposition au repos pour une course
de 2000m
5000 litres= équivalent de 10h de repos par heure d'entraînement
9h
10000 litre = équivalent de 20h
mais ça ne fait pas 22+20h = équivalent 1.75 fois par
24h plus car la pratique de l'entraînement est diurne.
et si l'exposition est forte car pollution de proximité EN PLUS
de celle de l'air ambiant (exemple route qui borde le plan d'eau et accumulation
par l'inversion locale de température), les polluants ainsi absorbés
le sont a une vitesse qui peut dépasser de LARGEMENT plus
de 10 fois la valeur d'un seuil d'alerte subi au repos.
exemple de relevé PM10 et PM2.5 sur toutes les stations rhone
alpes.
mes problèmes d'irritation des voies respiratoires ont commencé
à être ressenti le 24.
en début de mois, c'était mon coéquipier qui y
a eu droit mais moi m'étais retiré au monastère.
Mais il y a quelque chose de vicieux: en effet, les test de laboratoire et du contrôle technique font simplement varier le régime, mais pas le couple, sauf dans "le virtuel": de ce fait, les gaz très bizarres qui composent la pollution "des nouveaux moteurs", n'est pas connue, carrément: en effet: quel données à t'on sur cet espèce d'odeur bizarre qui rapelle la javel bouillie. Une part de la pollution est peut être due aux additifs anti-colmatages.
La suralimentation qui émet "le SAPU est généralisée sur le réseau routier secondaire, et moindre sur autoroute, maximale quand il s'agit d'accélération de 0km/h à plus de 50, ou de maintient de l'allure acquise sur le plat, quand on aborde une côte sans changer de vitesse. l'aspect très gênant en dehors de la pollution chimique est le changement radical de comportement.
je parle maintenant de mes problèmes de cycliste. le vélo
était pour moi mon sport favori mais aussi et surtout mon moyen
de transport. j'ai eu plusieurs crises de ras le bol, de plus en plus graves,
la dernière date de 2006: j'ai décidé de m'interdire
le vélo ailleurs que sur des circuits choisis pour leur absence
de voiture: route forestières, route ne menant pas à des
villages lotis, pistes en terre.
les premières crises de ras le bol étaient due à
l'augmentation rapide "de violence routière involontaire", autrement
dit l'expression de nervosité des voitures très sensible
sur le petit réseau routier. Cela a débuté pour moi
en 1998
enfin, à partir de 2002 , automne 2002 j'ai commencé
à saturer sur la pollution. depuis 2002 j'ai augmenté ma
puissance aérobie pour passer de 275 watts à 360 watts ,
voir 390, cela a aussi augmenté ma sensibilité. mais il semble
que depuis 2002 soit apparu des composés toxiques mais qui ne font
pas partie des indicateurs de pollution.
au vu des graphique que j'ai trouvé, il ya concordance: en 1998 se sont généralisés les voitures puissantes, nerveuses et qui gomment les sensations, généralisant la survitesse à proximité des piétons et cyclistes isolés.
Puissance des voiture: favorise la conduite irrégulière
sur les petites routes. (source du graphique, le site du sénat)
http://www.senat.fr
http://www.senat.fr/rap/r05-125/r05-125-syn.pdf
C'est depuis l'année 1998 que j'ai commencé à
avoir vraiment des problèmes en vélo de type cohabitation
(voitures trop nerveuse), en 2002 la pollution est devenu problématique.
l'abandon du vélo en tant que moyen de transport a été
décidé en 2006.
le seuil de l'insupportable a été dépassé
avec la peugeot 206. sa calandre est bombé à la fois dans
le plan horizontal et vertical, ainsi, cela fausse la perception du milieu
de la voiture (il est percu plus proche), et systématiquement, l'automobilistes
sous estime donc la largeur de sa voiture. il ya eu aussi la picasso, avec
une très mauvaise visibilité latérale.
Le poids des voiture a aussi augmenté: il en résulte
surtout une augmentation des nuisances sonores de roulement: à partir
de 1998, j'ai du mettre des protection auditive pour aller sur les routes.
comme les voitures sont également plus rapide, les nuisances sonores
ont plus que doublé (environ +6 dB)
Quand à la structuration des voitures, elle n'est pas adapté
à la route, et même pas aux autoroute. Sur les routes de campagne,
la survitesse est parfois bien en dessous de 90, moitié moins que
la vitesse possible des voiture: cela a augmenté la violence routière
involontaire mais aussi les solicitation au moteur pour aller plus vite
entre les virages, donc l'émission locale de SAPU et de BRUIT.
Pour la pollution, je cite des modèles de voitures qui favorisent
"à fond" le contexte d'émission de ce gaz irritant.
- la modus
- la fiat panda 2
- la clio 3
- l'espace renaud, le traffic renaud,
- le X trail honda et la yaris
- la C3
- la 307, la 206 (la SW surtout), la C6...
- la pire, et de loin, de toute, la C4 et C4 picasso (leur habitacle
incite à une conduite brutale pour le moteur)
Ce sont toutes des diesels, mais il y a des voitures essence qui sentent ça aussi.
j'ai cru comprendre que elles font appel à la technologie de
suralimentation, et leur comportement incite l'automobiliste à conduire
en suralimentation (couple important, en sous régime ou non)
le ressentit des épisodes de pollution NE CORRESPOND PAS aux
relevés de air APS (air de l'ain et pays de savoie): d'ailleurs
ces différences ont plusieurs fois fait l'objet d'un courrier resté
sans réponse, pour demander que on mesure localement les polluants
dans ce type de contexte DIFFÉRENT des villes (entrées de
village, sortie de rond point, base sportive au bord de l'eau, campagne
paumée mais sujette à accumulation..). cette page leur sera
communiqué par lien dans un e-mail, aussi suis je le plus précis
possible. Mais... les gens "surbookés" qui bossent dans ce genre
de boite auront t'il le temps de lire cette page... j'en doute.
de plus il s'agit vraiment de problèmes locaux, comme si en
météo on s'intéressait à la météo
locale d'une colline particulière.
Voici les contextes où cette pollution a été suffisante
pour déclencher des rhinites, laryngite ou pseuso angines. elles
ont cette caractéristiques
- semble allergique (je pense que c'est les solvant des carburant qui
a cette propriété allergique)
- non contagieuses
- pas de signes infectieux
- si infections les symptômes maximums sont entre 6h et 9h après
l'exposition la guérison est presque totale 24 heure après.
les signes avant coureurs sont une impression de sensibilité exagérée
au caractère "piquant" du "SAPU" (voir définition
et très longues explication selon le vécu personel, que je
vous invite à bien examiner), ensuite, la santée est perturbée
pendant plusieurs jours: grace à une hygiène de vie, ce qui
ferais chez la plupart des gens une toux persistante, une extinction de
voix ou une angine avec de la fièvre, ne se remarque à peine,
mis à part une plus grande sensibilité au SAPU. alors il
suffit, pour expirémenter des complications ou installer la maladie
de continuer à s'exposer, ce que j'évite bien sur, mais pas
toujours, car parfois, il faut quand même aller en zone polluée,
ou régler un bateau au club, ou éviter d'aller ramer dans
une zone ou l'air et propre mais le courant dangereux.
Le vent est de secteur sud ouest: il transporte les effluves de la route
D 992, des vapeurs d'huile de Mc donald au rond point de Belley EST,
et de la ville de Belley, caractérisée par des axes en pente.
l'air reste confiné jusqu'à la trouée du canal
(preuve:
l'odeur du mac d'eau reste intense) et s'épanche jusqu'au hameau
de la tuillère.
il y a une très forte émission locale de pollution entre
le rond point et l'autre coté du pont de Belley, ce pont présente
un dénivelé marqué, et est associé à
une accélération d'après carrefours sens Rond point
vers Virignin, dans le sens inverse, les voitures, lançées
en 5eim voir 6eim vitesse ne rétrogradent pas assez tôt et
montent le pont en force, à la sortie de ce rond point seul la bretelle
sortante au nord n'est pas associé à une montée en
accélération, ainsi, presque toujours plusieurs milliers
de voiture par heure lachent la maximum durant l'accélération
(je
pense que les émissions locales de ce rond point, concentrées
sur 3 voies d'accélération en pente sortant de rond point
valent, carrément, celles de 5km de route linéaire du même
gabarit). La conception des moteurs modernes (suralimentation) favorise
alors, je pense l'émission de NO2, et des imbrûlés,
le composant allergène étant peut être, entre autres,
depuis 2002 les additifs servant à ce que les moteurs hdi ne se
bouchent pas. (les moteurs HDI ne fontionnent pas "normallement" sans
ces additifs)
cette pollution locale s'ajoute à la pollution ambiante, sans
doute plus marquée par flux de sud ouest, car cet air rammase au
passage toute la vallée du rhône ainsi, le cumul local plus
ambiant plus situation d'effort physique dépasse le seuil. de plus,
l'air est plus chaud et l'eau tend à confiner une couche d'accumulation
de pollution locale: c'est l'effet tunnel.
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SAPU
Gaz de type "nazopabon" (pas bon pour les naseaux) qui porte pour cette
page ce nom farfelu car il s'git en fait de gaz inconnu, et peut être
même pas indicateurs de pollution, et sans doute de formule chimique
fortement variable
ils sont émis par les voitures diesel, parfois essences, qui
possèdent un moteur "suralimenté" (j'ai obtenu cette information
sur les alimentation du moteur en lisant un historique de l'évolution
des voitures), dans les cas suivant
- régime correct mais excès de couple
- sous régime
- moteur au ralentit
du SAPU est émis en veux tu en voilà, pan! dans les narines!
une composante de ce gaz rappelle l'acide nitrique, il s'agit je pense
d'oxydes ou de dioxyde d'azotes; il sont plus piquants que porteur d'une
odeur.
Une autre composante donne l'impression de respirer de la poussière
fine, comme si on respirait du tapis secoué
Ce type d'odeur n'est presque jamais émis par une voiture construite
avant 1998, il semble donc que le SAPU soit associé à la
suralimentation. je ne dis pas que les anciennes voitures ne puent pas,
au contraire elles puent plus, mais par rapport à ce que ça
sent, cela paraît moins toxique, moins percinieux, et les anciennes
voitures ont un moteur qui a son mot à dire dans l'habitacle: elles
sont MIEUX CONDUITES, sinon: elles callent purement et simplement...
odeur du SAPU justement les composant odorant sont éliminés:
le SAPU a une texture, mais pas vraiment une odeur, de ce fait la plupart
des gens ne le sentent pas ou du moins n'interprêtent pas la sensation
comme une odeur: en présence de SAPU si on n'isole pas les sensations,
le pollen semble irrittant, les fleurs semble avoir une odeur gênante,
bref: le SAPU fait penser que tout PU, on dit "sa pue" en parlant de la
nature: marais, fleurs, platane, tout ce qui est accusé souvent
à tord d'être allergène.
pour compliqué les chôses, il y a un effet de seuil: on
ne détecte semble t'il le SAPU que si on débite beaucoup
d'air. il semble bien que rares sont les personnes qui débitent
plus que 3 à 5 fois le débit d'air de repos, pour aller plus
loin il faut avoir un fort niveau sportif. les athlètes sont rares,
et ceux ci seulement, qui capable de faire plus de 3 watts/kilo en endurance
aérobie multiplient ainsi par un ordre de grandeur de 10, les échanges
gazeux, et ILS LE FONT AU QUOTIDIEN (il n'est pas possible d'atteindre
untel niveau avec du sport "de temps en temps".
Parmis cette population rare, rare encore sont ceux qui ne sont pas
absorbés par le sport, car à ce niveau là, le sport
est un enjeu compétitif et non plus de la contemplation, concentrés
ils sont, "la tête dans le guidon", ils subissent sans même
sentir "les merdes qui leur tombent dessus", et puis le medecin sort invariablement
"vous avez épuisé votre organisme, et affaiblit vos défences
immunitaires" ce qui... justement est souvent, en plus, le cas.
parmis disons 1% de la population devenant capable de métaboliser
10 fois la valeur de repos en continu durant une durée pouvant dépasser
l'heure presque tous les jours et non pas de temps en temps, il y a disons,
peut être même pas 10% qui sont vigilants à ce qui se
passe quand ils pratiquent, parmis ces 10 à 1% de 1% soit une personne
sur 1000 à 10000 peu ont du temps à consacrer à la
recherche à coté de leur pratique sportive déjà
à peine casée dans leur emploi du temps. donc il n'est pas
ettonnant que sur une région de plus de 10000 habitants, je ne suis
peut être que le seul à soulever le problème et à
prendre le temps de l'écrire (mine de rien c'est long). c'est ainsi
que la pollution automobile, la plus évidente, arrive à passer
inaperçue, peu révélée, produit peu de littérature,
tout en rendant malade une GRANDE PARTIE de la population (je suis sur
que si les medecins croisaient leur statistiques et que on isolait une
partie de la population des routes et zones à forte concentration,
on pourrait démontrer très nettement l'impact sanitaire,
à peu près, du même ordre que la tabagisme passif et
actif, peut être la cause de 9 affections respiratoire sur 10)
Il est vrai, c'est l'association du SAPU avec les pollens, les poussières,
les bactéries qui font plus encore les maladies avérée
qui vont plus loin que la simple gêne qui s'imiscie dans le quotidien
sans même être recconue, que le SAPU seul produit en général,
alors "on" (le marketing?) accuse "la nature" de produire des allergènes,
on place dans les voitures "des filtres à pollens".
Cette afirmation est donc non démontrable et je vous invite
à utiliser tout votre esprit critique pour en juger: le SAPU des
voitures rend allergène: mais il y a aussi la bouffe chargée
d'additifs, de pesticides, les vapeurs de pesticides, le mauvais état
de santé (officiellement pas un mauvais état de santé
justement!) d'une population fatiguée d'être sédentaire
et de subir la pression au travail, l'usage de produits allergènes:
crêmes qui collent les lèvres de ceux qui vous font la bise,
shampoing qui permet de se peigner autrement qu'avec une brosse à
chaussure, produits qui lavent par terre et mettent les mouches qui cognent
au vitres sur le dos: comment isoler la responsabilité du SAPU dans
une population si... droguée?
Je pense pouvoir, par mon mode de vie l'isoler, et suggère ici
par cet amas de lettres envahissant votre écran une série
d'éxpirémentation dans ce sens là...
- mon hygiène de vie est stable: je n'ai pas de travail, je
fait un sport d'endurance, mais je ne fais pas du sur entraînement
(je surveille mes charges d'entraînement et tiens à jour le
journal), je ne mange que de la nourriture biologique, je ne crains pas
les pollens (puisque je n'ai pas d'allergies quand je taille des chemins,
et même en fauchant les prés d'ambroisie (les graviaires du
rhône raclées par la CNR sont parfois de la monoculture intensive
d'ambroisie), je n'utilise que du savon à l'huile, pas de shampoing.
aucun insecticide, pas de produits, je me suis isolé du mode de
vie "voiture" (je ne vais presque pas sur les route, je circule à
pieds, en bateau, on achète par correspondance). En période
végétative le traitement des cultures peut ajouter une toxicité,
mais pas en hiver.
- malgré ceci j'ai constaté à force de noter,
une étroite corrélation entre l'exposition aux gaz "de la
route" et des manifestations allergiques ou du moins des irritations des
voies respiratoires qui d'ailleurs sont les seuls problèmes de santé
physique que je connaisse assez souvent, le caractère non quotidien
d'exposition à la pollution de la route permet d'avoir des évènements
corrélés.
Puis je en douter? au début ces irritations paraissaient dues
à
la fatigue: elle correspondaient aux entraînement d'aviron à
aix les bains, elles pouvaient aussi être due à la météo:
elle apparaissaient surtout par les vagues de froids. ayant acheté
un bateau, rien qu'en changeant de lieu, cela ne le faisait plus: quand
il fait froid en effet, souvent le vent vient de l'est, et à Aix
les bain, à l'est du lac, où l'on doit se tenir pour rester
dans la zone de sécuritéà moins de 500m d'une route
qui draîne parfois 50000 voitures/jour, le vent d'est étale
les polluants sur le lac.
Sur la route: la pratique du vélo conduisait assez souvent à
des saignements de nez: réaction logique: trop d'effort, fatigue
et soleil. de supprimer un itinéraire systématiquement emprunté
de temps à autre par une file de voiture roulant en suralimentation
a presque réglé ce problème: il pouvait passer 10
voitures de suite sur une montée à 5% faisant 100m de dénivelé,
mais la route (montée de St-Didier à Natage) est de nature
à confiner les polluants par blocage convectif, l'effort en vélo
était de l'ordre de 300 watts soit 1320 watts métaboliques,
soit 3.7 litre d'oxygène par minute, comme il est rejeté
16% d'oxygène sur les 20% que contient l'air inspiré il faut
faire 100/4 fois 3.7 litres pour connaître le débit de la
ventilation= 94 litre d'air respirés par minute= environ 12 fois
plus que chez une personne au repos.
Une voiture montant à 30km/h cette côte délivre
la même puissance qu'en roulant à 100, donc au mieux rejette
des gas comme 3 voiture sur le plat, mais en raison de la mauvaise carburation
c'est plutôt 30 à 60 fois.
En vélo 300 watts ne permettent là que 18km/h soit 3
fois moins vite qu'une voiture
au final, cette portion de route de 2km en vaut comme 4, et une voiture
en vaut comme 50 fois, et on respire 12 fois plus; ce qui représente,
à durée d'exposition égale 3 fois plus longtemps fois
50 fois plus polluant, en respirant 12 fois plus = 1800 fois plus.
Bien sur, décrêter que une voiture en côte pollue
50 fois plus peut paraître excessif, mais c'est pourtant le cas quand
justement
- le pot catalytique n'est pas en température
- il y a sur alimentation et trop de couple, pas assez de régime
disons pour être prudent que au mieux la multiplication est de
l'ordre de 100, sans doute elle est de l'ordre de 2000, et peut être
que c'est pire... c'est ainsi que se faire dépasser, en vélo,
par seulement 10 voitures sur une montée de 2km n'est pas du tout
anodin, c'est comme se faire doubler, assis sur un vélomoteur par
1000 à 10000 voitures sur une route à grande circulation!
PIRE ENCORE le vélo étant un engin qui contraint les
automobilistes à ralentir pour dépasser en sécurité
(petites routes), l'automobiliste ne manque pas de pêter un nuage
de SAPU en demandant le couple maximum au moteur lors de la reprise...
sans bien sur le savoir. Un automobiliste donc qui fait l'effort de ralentir
au lieu de passer en trombe fait payer ainsi le prix de l'égart
qu'il a eu pour le cycliste: j'ai pensé à vous, mais voilà
un nuage de SAPU pour vous... heureusement c'est involontaire, mais cela
EST.
c'est ainsi que j'explique que faisant tous les jours ce trajet, je
contractait systématiquement au bout de quelques jours une rhinite
avec saignements.
Dans le domaine de l'aviron, il existe une situation assez exceptionelle
pour le malheureux club de Yenne Virignin
- la salle de musculation est au bord de la N504 à l'ouest de
yenne, juste à l'ouverture du défilé de la balme:
la salle de muscule baigne dans l'air pollué par la proximité
d'une route où passe parfois 3000 voitures par heure, au moins 1000:
on est censé y pratiquer, l'hiver la base d'entraînement qui
consiste à faire 8 fois le métabolisme de repos, soit ingérer
environ 65 litres d'air par minute, et ce 2 fois 40 minute soit l'équivalent
de 10h40 d'exposition, d'exposition dans l'air pollué au maximum
car l'entraînement se déroule justement entre 18h et 20h,
durant le plus gros pic de circulation de la journée, ainsi, un
entraînement équivaut à faire une cure qui équivaut
à respirer, peut être l'équivalent de 3 jour d'exposition
à la pollution normale d'une ville sans faire d'effort.
- la base d'embarquement est situé à la montée
du pont des écassaz: le trafic est à peu près aussi
dense qu'à yenne, mais c'est pire: les voiture abordent une côte
alors que les automobilistes ne pensent pas à rétrograder:
le soir, à l'heure des entraînement, la lumière du
soleil décline et comme on se trouve à la base d'une colline,
l'air se densifie au voisinage du sol, et coule donc de la colline, traverse
la route, puis s'étale sur la base d'aviron.
En bateau on ne reste pas dessous, on va plus loin, mais malgré
tout, pour des raisons de sécurité et de présence
près de la base, la plupart des rameurs font leur kilomètres,
ce qui représente 8 à 10h d'expoisition pour une heure de
rame, juste entre les deux pont, de Belley et des écassaz. L'exposition
à la pollution peut alors y être tantôt plutôt
faible (vent allant du canal vers la route), tantôt maximale (vent
allant de la route vers le canal)
c'est actuellement dans ce contexte là, que je prend la plupart
de mes affections respiratoires.
les autres aussi, mais cela paraît si banal
on a le rhume par ce
- on a pris froid
- par ce qu'il y a un virus
- par ce que l'un là passé à l'autre...
alors... la route à coté...
pensant que c'était "les autres" qui me filaient le rhume, je
les évitait, pour ne pas rater par exemple une période de
préparation à la compétition. or, rien de changé.
ensuite, changement de statégie: je vais ramer ailleurs, mais vais
voir les autres sans par contre m'entraîner avec eux: beaucoup moins
de problème et surtout pas de contagion: donc... ça se pourrait
bien que c'est la route.
Contexte d'émission du SAPU: moteur EN DEHORS de sa plage de fonctionnement "normal"... renseignement pris "utilise alors la turbocompression ou la suralimentation" qui hyperventile le moteur sinon essouflé. Cela arrive, peut être bien 3 fois sur 4 ailleurs que sur les autoroutes planes et les nationales dégagées permettant le nonante à l'heure sans discontinuer: tout virage, village, ralentisseur, rupture de pente entraîne une variation de couple. Normallement l'automobiliste devrait changer de rapport de boite à vitesse, mais les voitures modernes sont si silencieuses, et les moteurs si puissants, que les sensations de conduites ne reflètent pas un dysfonctionnement: et même pire: ce dysfontionnement est permis (et n'est peut être même mêmepas un dysfonctionnement conceptuellement), et cela ne fait pas de surconsommation. Pire encore, beaucoup de gens se sentent plus à l'aise en conduisant plutôt en sous régime, car justement, le moteur délivre moins de puissance en tournant lentement, la limite du couple étant là. Il apparait que le seuil du confort est vers entre 10 et 50 watts par kilo si on ne recherche pas à conduire vite. autrement la voiture "part trop vite" (ce qui est le cas pour beaucoup d'automobilistes qui roulent, et non pas "pilotent"), en "bridant" ainsi la puissance, la conduite est moins capricieuse, mais PAN DANS LES NARINES du cycliste. Les nouveaux moteurs ne callent pas, ils assument en effet ce couple plus élevé grace à la technique de suralimentation qui rend plus coupleux les moteurs de cylindrée "modeste". la suralimentation se traduit par un excès de comburant, donc sans doute du NO2, et peut être des émissions d'imbrûlés, la température étant pas assez élevée pour détruire les solvants... (hypothèse à vérifier je donne des axes de recherche)
le fait que les voitures sont presque 2 fois plus lourdes que 15 ans
en arrière augmente la différence de couple moteur à
chaque rupture de pente.
ainsi, l'émission de SAPU est déroutante (ça fait
justement... éviter la route!)
- elle n'est pas forcément proportionelle au nombre de voitures
- elle se concentre sur des carrefours, des montées, et parfois
des routes peu fréquentées mais de nature à provoquer
systématiquement une conduite en suralimentation.