archive texte année 2008


afficher les chats arabes y'a qui tournent autour du pot.
À PROPOS DE LA POLLUTION ET DU SPORT


Quoi est ce qui fait que les voitures modernes polluent bien plus en côte, à la sortie des rond points, sur les petites routes...

le phénomène kipulpir http://prisedechou.free.fr/KIPULPIR.html


Après avoir réussi à me qualifier pour les zones 2008 avec ce bateau de 18Kg, départ de mon club d'aviron! Ce club est très mal situé, à proximité immédiate de la nationale 504 qui longe le canal en faisant des montées et descentes à flanc de collinne.
dégoûté j'ai stoppé l'aviron un an, et si j'en fait j'évite soigneusement le club! (je pose un bateau chez moi)

 #prise-de-chou-ragna-gna  #syndrome-asperger-hypersensible  #mai-2009  #le-sportif-respire-plus-en-2h-que-le-reste-du-temps  #manger-bio-rend-sensible  #la-capacite-a-flairer  #troubles-cardiaque
pour sauter le "pourquoi j'en fait un roman", aller directement à #recherches
// #20080125vanne-EGR //20071220 je pense que c'est surtout les particules fines///
 #recherches /// #additifs-carburant et herbicides de prélevée /// #Tignes ///(anomalie de 14 pulsation à l'effort) #effet-sur-la-frequence-cardiaque#20071103-article-le-monde#miel#pollution-aviron#20071118#debit-d-air-effort#senat.fr-rap-r05-125-r05-12558#SAPU épakunpeu

voir aussi  considerations-salles-et-lieux-de-sport.html
 seuil_monoxyde_azote.pdf document officiel et qu'eau pillé collé #NOx
 ineris-filtres-respiratoires.pdf 1.6 Mo d'après ce document, pour pouvoir supporter de se faire doubler en vélo par des des diesels en sous régime et des 4-4 i2, il faut les cartouches de type P3 avec la bande bleu et blanche: pour les oxydes d'azotes (bande bleue) et les particules (bande blanche).
Il faut les combiner avec A1B1E1K1 pour traverser une zone industrielle, mais c'est bien la cartouche P3 qui est la seule à peu près ciblée pour le NO et les particules qui est la composante majeure de la nuisance des diesels(c'est sur ce point que les diesels sont pires que l'essence).
aucune cartouche ne semble filtrer le monoxyde de carbone, pour les voitures modernes à essence, catalysées, qui font 10 fois plus de monoxyde de carbone que les diesels (c'est sur ce point que l'essence est pire que le diesel), l'intoxication au monoxyde de carbone est moins grave que celle au NO plus particules (cela guéri en quelques jours) et ne fait que des maux de tête et des contre performances physiques.

ici même placé mon argumentaire et mes copiés collé de recherche sur ce problème, et aussi pourquoi je m'occupe tend de ça.

j'ai une certaine hypersensibilité à la pollution, cette hypersensibilité me rend peu crédible, j'en ai conscience: c'est trop gros tout simplement.. "si c'était à ce point ça serait interdit" me répond t'on souvent. Jusqu'à que parfois mais pas toujours "ça finisse par sortir".... et si j'écris tout cela c'est bien en espérant aider à "que ça sorte" pour l'amiante ça a mis le temps. le diesel aussi, pas encore réellement sortit. Il y a toute une intox orchestrée par les lobbies pour faire croire que les nouveaux moteurs sont 100 fois plus propres que les anciens, plus économiques... etc, ce qui est faux des que l'on sort du circuit d'essai et que l'on compare les véhicule non pas d'une conception des années 1950 avec ceux des années 2005 mais ceux des années 1990 avec ceux des années 2005.
l'hypersensibilité a chez moi des causes neurologiques (syndrome d'asperger) et affectives (vie solitaire avec attachement à la qualité des éléments non humains puisque les relations humaines font défauts). C'est ainsi que je sens plus fort et plus tôt ce qui posera des problèmes de santé à une partie de la population à son insu... mon discours engagé est si énorme que habituellement ça passe pour du délire, et de plus étant exclu socialement par un handicap mental (syndrome d'asperger) mes dires sont moins pris en compte que si il sortaient d'une personalité quelconque socialement haut placée. C'est seulement maintenant que la communauté médicale prend enfin conscience que les aspergers ne délirent pas mais focalisent leur intelligence sur des détails et détectent particulièrement ce qui ne va pas dans une société, ce qui permet enfin d'être un peu écouté.
Les autres humains "neurotypiques" ne sont pas atteint de cécité sociale, ils emploient l'essentiel de leur sensibilité à l'échange de code sociaux, leur perception de l'environnement n'est donc qu'un décord de fond aux relation sociales. Cela se remarque particulièrement en montagne ou dans un lieux naturel, à l'écoute de leur commentaire, ou encore à la télé, à la façon où c'est filmé. C'est ainsi qu'ils sont débranchés de ces détails non sociaux qui relèvent de l'environnement, des stimulus continu et faibles mais omniprésent, et divers détails souvent inscrit dans des échelles de temps longues. De plus pour se donner de la contenance sociale, ils nient leur nature et leur odeurs trop bestiales souvent exagérée par le port de vêttement en syntétique et l'assimilation de viande d'animaux sédentaire tel les poulets engraissé à la méthionine de synthèse: ils se lavent avec de la savonette et se tartinent la figure de produits parfumés de synthèse, parfois s'aspergent de déo aux sels d'aluminium et émoussent ainsi les sens suceptibles de les connecter à l'environnement. Ils  supportent les nuisances car ils ne focalisent pas sur des stimulus continus, tout en fredonnant dans leur tête les airs des valses hongroises ou autre merveille de la musique détournés, donc pervertis par une publicité, ce qui occupe leur mental à ronger un os au lieu de se focaliser sur le temps présent. C'est ainsi  que manipulé par l'inconscient ils fredonnent sans même s'en rendre compte des airs de publicité. Ils sont donc, comparé à Moâ, atteint de cécité mentale et sensorielle pour caser la sensibilité sociale, ce qui est bien pratique justement pour supporter les nuisances du monde industriel et les contraintes de la vie active dans une société de dictature économique. Il y a donc un domaine de pollution mentale, la source de la pollution de l'environnement par effet induit. Cette pollution est le fait du marketing, du détournement de pulsions instinctives et archaïques pour modifier les codes sociaux à l'avantage d'une firme quelquonque. La publicité a un impact plus énorme qu'il y paraît, ça coûte d'ailleurs plusieurs milliers d'euros par an par français. Je pense que l'omniprésence de la musique répétitive permet d'anesthésier le sens critique  tout en entrant par effraction dans le mental en utilisant les association affective. La société est malade de cette musique qui n'est plus circonscrite dans les lieux de concert, mais officiellement on ne le sait pas encore, Il y a quelque chose de nocif de ne pas respecter pour la musique les contextes temporels de fête ou de travail, mais la déverser n'importe comment par des répétiteur électroniques.

"si c'était dangereux à ce point ça serait interdit": on me disait ça en 1977  quand je faisais alors une prise de chou à propos des gaz fluorés dans les bombes aérosols, alors que connaissant la chimie, je me disais que l'utilisation d'une seule molécule du propulseur de ces bombes détruit tellement de celles d'ozone que multiplié par le nombre de gens qui en utilise, nous n'aurions plus de couche d'ozone si ça continu des années. la réaction chimique et le constat de l'impact énorme des CFC sur un élément vital de notre planète est si flagrant et si facile à comprendre (je n'avais que l'âge de 9 ans pour comprendre cette réaction chimique!) que ce qui est le plus surprenant et étonne encore avec du recul, est que on a accepté un tel risque aussi longtemps: le poids des lobbies sans doute... mais il y tout aussi pire: le nucléaire... La loi des grands nombres qui fait que en dépit qu'on sache parfaitement marcher implique qu'on se torde tous la cheville au moins un jour vaut pour le nucléaire: une région foutue pour des milliers d'années, si c'est pas encore arriver, cela arrivera, quand on ne sais quand, mais la certitude est que ça arrivera et on accepte ça.

Des statistiques et les rapports démontre des effets de certains trucs que déjà je dénonce de mon coté dans mon coin:  je suis hypersensible, je ressens sur moi, là ou la plupart des autres ne sentent rien, en particulier pour la pollution de l'eau et de l'air; or la plupart des autres étant la majorité, c'est eux qui détiennent la version officielle de la "vérité".
L'humanité par contre ressent bel et bien ce que je ressens, mais sous formes de cas rares parmi une majorité que la loi des grands nombres peut faire surgir par des statistiques qui ont été trouvée comme indicateur, et un indicateur n'est qu'un voyant d'alarme. il y a une différence entre constater qu'un voyant rouge s'allume et ressentir en regardant défiler le paysage à travers le copickt que l'on va se scratcher.
dans cet exemple la plupart des voyageurs ne regardent pas le paysage, mais la télé, qui évite d'ailleurs de parler des voyants rouges...
j'aimerais déclencher une ouverture collective de volets de hublots.
c'est la différence entre la perception de quelqu'un qui regarde les bulletin d'alerte à la télé, et celui qui sent au nez au fond de sa campagne un air chargé en ozone peu respirable ou bien d'autre trucs "nouveaux" (tel le point de rosé digne de pays tropicaux des avril)...
On voit quelques échantillons de voyant d'alarmes dans des rapport de sénat ou d'étude médicale, et on n'apprend par la presse que un échantillon minable de ce qui est su en haut lieu mais dérange l'économie (l'économie qui gaspille pour vendre bien sur).
nous sommes dans un contexte où la stratégie consiste à louvoyer entre les détecteur allumant les voyants, pour continuer à être polluer sans être vu car c'est plus facile et moins cher que d'éviter de polluer: les usines lâchent donc la nuit, c'est connu, et les protocoles de test pollution des voitures modernes ne testent pas le turbo en charge lors d'un régime transitoire.

Pourquoi suis hypersensible, je l'explique en premier pour que vous compreniez en quoi je ne délire peut être pas en racontant ce que "les autres ne ressentent pas"

J'ai été fragilisé tout d'abord je pense par un traitement lourd au neuroleptiques, car à cette date commence les premières gênes dues à la pollution, mis à part un peu avant quand apparurent les turbo diesel à l'île de la réunion, utilisant le vélo comme moyen de transport pour aller des bas à Cilaos, j'ai souvent eu en tête d'abandonner. j'ai oscillé entre décision d'abandonner le vélo et continuer, j'avais essayé la marche à pieds mais les sentiers d'accès aux bas ont été détruit pour sécuriser l'île, les touristes tombant dans les ravins quand il prenaient les sentier utilitaires. La solution miracle: mettre le vélo dans la soute du car quand c'était trop dur à été éliminée par la modernité (car sans soute). La réunion devenant trop tout voiture, j'ai finalement quitté l'île, car la vie y devenait trop dure sans en avoir une, trop cher en en ayant une, et le confort (case en dur) devenant nécéssaire pour s'isoler de nuisances urbaines. Cette irruption du tout voiture a été accompagné d'un tourisme de masse très agressif sur le plan sonore: 18 hélicoptères plus 10 à 15 avions passant chacun 2 à 3 fois par heure des le début de l'aube, et la nuit des voitures avec de puissant autoradio. Un voisin fut aussi très gênant, il faisait tourner son moteur diesel à froid durant une demi heure, pour le faire chauffer et les gaz d'échappement entraient dans la case. J'ai alors accumulé de l'épuisement nerveux par manque de sommeil et du subir un traitement lourd qui m'a stabilisé mais aussi couté de la santé.

syndrome-asperger-hypersensible
j'ai le syndrome d'asperger et ma conscience capte des choses que les neuropsychiatre enfin commencent à comprendre, j'ose le dire maintenant car enfin cela commence à être reconnu (journal télévisé du 11 novembre 2007 soir)
j'ai aussi peut être eu un effet de cumul, par rapport aux citadins, du a la proximité de traitements agricoles, il y a notamment le chlore qui s'en dégage au soleil (surtout les herbicides de prélevée, mis sur terre non végétalisée) qui rend plus fragile les muqueuses donc plus sensible au gaz d'échappements irritants (respirer du clore à faible dose à longueur de journée rend sensible au NO2). D'où une prise de chou accrue par rapport aux voiture qui semble avoir coïncidé avec le remplacement de l'atrazine par l'acétochlore en 2004. l'atrazine par contre provoquait des maux de tête et de la constipation... mais est ce seulement ça?

Noté mai 2009, c'était semble t'il le un herbicide de prélevé qui a été adopté en automne 2006 et arrêté en fin 2008, la puissance aérobie a été diminuée d'environ 10% durant cette période et a pu remonter au printemps 2009 (plus de 250 watts à 140 pulses). ça va du coup beaucoup mieux, ce produit dégage des gaz irritant si la terre est au soleil, il s'en dégage encore sur des terres traités l'an dernier (ça sent après le labours alors qu'il n'y a pas eu le traitement), en février 2008 les lâchers de polluants par Givaudan dans le rhône ont été arrêté. il reste encore de ces résidus dans certaines lessives qui servent sans doute à écouler ces déchets en tant que parfum, mais les senteurs des gens porteurs de pollution Givaudan se font moins fréquentes!

des recherches assez fines de pronostic au test 2000 sur machine à ramer semble fixer une date: perte de 10 à 15% de puissance aérobie après les traitements par herbicides de prélevée du 18 octobre 2006.
avec la réduction des traitements agricole mon hypersensibilité devrait diminuer si c'est ça. cela semble être le cas à partir de 2007, le coeur s'est montré bien plus stable et j'ai pu mettre fin aux rhinites allergiques en me préservant...
d'ailleurs ces rhinites étaient pas vraiment allergique, il y avait carrément irritation. l'allergie ne se manifeste pas de cette façon.

mais malgré tout, disposant d'une montre cardio je vois de grosses variations de forme physique qui semble bel et bien corrélée à la pollution de l'air... plus qu'à la température.

comment se fait t'il que je autant la pollution de l'air là ou les autres pensent que que fait du chiquet?


j'ai repensé à une observation d'une scientifique d'air APS qui affirmait que l'activité physique ne fait presque pas varier sur la totalité la quantité d'air respiré, quelques pour cent à peine et que ce n'est pas là le problème: l'effort jouerait peu sur la quantité d'air respirée "dans la vie". j'ai donc estimé moi même si cela était vrai en ce qui me concerne, et en ce qui concerne également tout athlète qui fait de l'endurance qui se trouve à quelque pour-cent des limites humaines et s'entretient à raison de 2 et 3h d'entraînement en endurance par jour. bilan: c'est le double voir le triple d'air respiré au total! j'ai vérifié: l'activité physique fait doubler voir tripler le volume d'air transitant par les poumons sur l'échelle de temps de la semaine.

un autre paramètre aussi. Mon hygiène de vie fait que je respire 2 à 10 fois plus, et aussi me permet un odorat intact me permet de ressentir les odeurs qui semblent inaccessibles à ceux qui mangent beaucoup de produits traités, ce qui est le cas aussi pour les sportifs qui mangent "chimique" ils ne sentent rien.
à ma grande déconvenue je rencontre d'autre sportifs de mon niveau qui "ne sentent rien". Mais ils mangent  (sauf les marginaux parmi une élite qui sont du rare parmi du rare donc du presque jamais) des produits industriels, utilisent des shampooings, de l'après rasage ou autre produits qui masquent totalement, par action sur l'odorat, les perceptions fines qui permettent de sentir la qualité de l'air. Si leur performances varient, ils ne peuvent faire le lien entre la variabilité "endogène" et "exogène". un point important est la consommation de produit laitiers: ceux ci ont l'air de désactiver l'odorat et je les évite pour cette raison: mucosité dans la fosse nasale: j'aime mieux respirer symétriquement même quand je dors sur le coté la nuit.


je mange bio, et n'utilise pas autre chose que du savon artisanal non parfumé pour me laver. Pour les odeurs de synthèse et les composés chlorés les gens "normaux" ne semblent réagir que pour des concentration 1000 fois supérieures (sentent à 1m ce que je sens à 100-500m): ils sont recouverts de parfums de synthèse en tout genre et ont les muqueuses nasales déjà nécrosés par je ne sais quoi.. par exemple; les lâchés de givaudan n'éveillent pas beaucoup de soupçons.
je ne suis pas le seul, il y a quand même d'autre personne qui sont "sentinelles" et partagent aussi cette particularité, sans respirer autant que moi ni faire du sport, mais  en observant l'hygiène alimentaire et le non usage de produits chimique pour se laver, condition qui semble essentielle à la sensibilité. c'est donc la nourriture et la non utilisation de produits de synthèse pour se laver ou masquer ses rides qui détermine la capacité à flairer.

à propos de ceux qui dépendent de ce que on ne sens pas.
vu la violence des odeurs de synthèse rejeté dans l'environnement, dans le Rhône en particulier ou à Tignes (parfums des gens et produits de nettoyage des immeubles), qui "portent", dans le cas du rhône à 2 km du fleuve (produits rejetés par GIVAUDAN), à 10 km de l'usine (GIVAUDAN qui "embaume" l'air de Viry quand on se rend à Genève par la route de Frangy),
Givaudan rejettait dans le Rhône de 1998 au février 2008)
dans le cas des immeubles de Tignes à plusieurs centaines de mètre, j'imagine les animaux, chez qui le sens principal est l'odorat, et non pas la vue, et qui ont des sensibilité qui devraient être de l'ordre de 1000 à 10000 fois celle de l'homme sain tel que je suis, vu la surface de leur fosse nasale est le rapport de la ventilation pulmonaire à leur poids aussi. il y a là un axe d'étude des perturbation des comportements animaux par les produits de synthèse, qui pourraient avoir des effets comparable au bruit des moteurs chez les cétacés...


le problème de la capacité à flairer, quand il y a des voitures conduites par des automobilistes, une pollution mentale peut survenir, qui rend plus sensible au dioxyde d'azote (NO2), entre autres, rejeté dans l'air à cause de... ces connards d'automobilistes avec leur putains de voitures qui puent: c'est la haine au deux.
Mais aussi, cela permet de repérer les bonnes choses, les bon fruits, les endroits sain, d'éviter les endroits malsains. je ne bouffe pas les baies d'églantier si il y a du désherbant détecté à proximité. Si il est acrobatique de gérer mentalement l'hypersensibilité qui tend à faire monter la révolte contre ceux qui pollue (il faut carrément faire une démarche spirituelle pour pas aller mettre des bombes partout ou cabosser les voiture par coups de pieds le long des pistes cyclables devenus parking), je préfère être conscient du problème que de rester plonger dans l'ignorance.

Je m'en préoccupe d'autant plus que j'ai eu des arythmies (noté mai 2009, c'était de la fibrilliation auriculaire vagale), et autres troubles de rythme cardiaque du, je le pense de plus en plus avec le recul à des effort modérés mais prolongés lors de concentration d'ozone (partout pareil même en plan parc de la Vanoise) qui sans déclencher des alertes, deviennent dangereuses avec un métabolisme de 4000 à 5000kcal/jour (et autant de fois plus d'air respiré, 8 à 10 fois plus que chez le sédentaire, lors de l'activité), cela a commencé en 1998 pour les irritations oculaires et nasale (moteurs hdi), et pour le coeur en 2003 (pics d'ozone). le pire était en montagne, il fait moins chaud l'après midi et du coup on s'expose, et les taux dépasse parfois 180ug/m3. en 2003 il aurait dépassé 360, même en haut du Beaufortain (en montagne peu de différence avec les villes et les plaines, la pollution à l'ozone voyage loin).
j'avais eu en effet des détresse cardiaque: arrêt du coeur quelques secondes, puis tachycardie, le coeur ne repartant que si je donnais un grand coup sur la poitrine, j'ai même eu plusieurs fois peur de mourir par arrêt cardiaque, quand le coeur s'arrête longtemps et dans le sommeil, ça paralyse tous les muscles et il est dur de bouger pour faire repartir soi même, j'ai eu à chaque fois la chance de me réveiller à temps.
Cela pourrait être du sur entraînement? Je ne pense pas, je ne me mettait jamais dans le rouge et je m'entraîne autant actuellement (noté mai 2009), faisant parfois des sorties de 4h à 80% de la FC max... c'était bien l'ozone.

il y avait en fait du dioxyde de souffre (usine de moutier, de l'ozone et la nappe de gaz peut se concentrer plus en altitude, à la limite séparant deux couches d'air qui se trouvait justement vers là où j'était. la concentration a du finalement être énorme quand j'y était.

On apprend maintenant que des jeunes en bonne santé sont mort d'infarctus à cause de la pollution à l'ozone, cela ne m'étonne pas, je fais partie de ceux qui ont du en réchapper de justesse. Depuis que je m'enferme les après midi d'été ensoleillées et que j'évite les zones très pollué, mon coeur est redevenu régulier et fiable, alors que je pratique toujours aussi intensément et régulièrement.
l'autre problème plus classique et bénin, c'est les voies respiratoires, mais gênant quand même est l'irritation des muqueuses. Cela semble le fait de l'accumulation de trois polluants irritants: les herbicides de prélevés (qui dégagent longtemps des gaz, les champs traités étant tout contre ma maison, et il y en a des dizaines d'hectare en amont du vent dominant), la pollution des diesel modernes en pente surtout, et les polluants rejetés par l'usine Givaudan dans le rhône, depuis avant 2000 mais très concentré en hiver 2005 et en été 2007. ce sont des résidus de la fabrication de parfums de synthèse. ils semblent allergènes et font un même effet chez d'autres gens, mais la pollution est si multiple qu'il est illusoire de désigner un polluant et un coupable, surtout que tout cela interagit. Pour le coeur surtout et les muqueuse, je me suis imposé certaines règles de préservation qui consistent... malheureusement à ne presque plus fréquenter mon club d'aviron en bordure de nationale en pente 15000 à 30000 voiture/jour) et à m'interdire certaines routes à vélo qui justement, allaient vers ce club (mais heureusement il y a des alternative). Je pense que cette sensibilité exacerbée à la pollution automobile était en partie due aux rejets de Givaudan, car c'est surtout au bord du rhône que j'ai été très gêné (mis à part la route de Tignes, la plus pollué que je connaisse). les autres ont sans arrêts des bronchites et des "angines" et vivent avec sans plus s'en inquiéter, selon le principe de la grenouille chauffée , ils sont automobilistes et devraient remettre en question leur mode de vie si ils s'en rendaient vraiment compte.



20080125

Que choisir février 2008 page 17 et 18 extrait

Catastrophique vanne-EGR!
" les normes anti-pollution de plus en plus sévères donnent aussi naissance à des situation de crise paradoxale, comme celle qui concerne les vannes EGR", renchérit un mécanicien.
Explication: pour dépolluer les gaz d'échappement, une solution technique simple et théoriquement efficace consiste à renvoyer une partie des émissions dans le moteur pour en parfaire la combustion. Pour gérer ces flux gazeux, la vanne de recyclage des gaz d'échappement (exhaust gaz recycling, EGR, en anglais) est pilotée soit électroniquement soit mécaniquement par dépression. Dans la pratique, les choses se gâtent lorsque que la dite vanne se grippe, notamment à cause de l'accumulation de poussière d'échappement. Logiquement, les diesels encrassent plus vite leur vanne que les moteurs à essence à cause de leur terrible fumées noires. Conséquence, selon la position dans laquelle l'EGR coince, le moteur perd de sa puissance, fume énormément, voire refuse de démarrer... des symptômes que beaucoup d'automobilistes reconnaîtront.
"Dans ce cas, le client, à juste titre, n'est pas prêt à payer pour une pièce qui n'est pas un consommable et dont le remplacement n'apparaît jamais dans le carnet d'entretien", précise Bernard Tourette, président du Syndicat des experts indépendants et habitué en litige. Mais comme le constructeur refuse en général de prendre la pièce en garantie, il conseille à son réseau de la condamner. La bidouille figure même sur l'Intranet technique de plusieurs d'entre eux: elle nécessite de découper un morceau de bidon d'huile en métal! "on croit rêver, non?", laisse tomber un de nos garagistes. D'après les devis que nous avons pu consulter, une vanne EGR coûte de 70 à 250 euros, auxquels s'ajoute ma main d'oeuvre, soit une facture comprise entre 200 et 400 euros. Et les conséquence si l'on roule (parfois à son corps défendant) avec une vanne condamnée? Désastreuses sur le plan écologique: la vanne EGR ne joue plus son rôle et la pollution émise par l'auto ainsi bricolée explose. C'est avec ironie qu'un membre du réseau Renault raconte: "quand je pense que j'ai un client qui me bassine pour savoir combien de gramme de CO2 crache telle ou telle voiture, pour bénéficier du bonus de l'écopastille, et que pendant ce temps il roule avec son espace dont j'ai bloqué la vanne EGR il y a plus d'un an! Je trouve les constructeurs vraiment hypocrites."
 



20071220
je recherche les polluants qui semblent coincider avec l'époque où je me suis senti le plus gêné. Il semble que la corrélation est avec les particules fines surtout et le dioxyde d'azote pour les anomalies vers l'excès de pulses, les particules fines font des pics de concentrations plus marqués au dates citées. Il manque les mesures de particules assez fines, celles qui feraient moins de 0.5 micron, mais c'est déjà net avec les particules de 2.5 micron et en dessous, de plus, j'avais noté une gêne au dessus de 25 microgrammes par mètres cubes, et depuis les valeur sont largement à la hausse, près des routes, supérieur à 80 est désormais courant.



http://www.environnement.public.lu/air_bruit/dossiers/polluants_atmospheriques/NOx/index.html
 

Dioxyde d'azote (NO2) et oxydes d'azote
 Vers le niveau supérieur

(NO et NO2 regroupés par la formule NOx et exprimés en équivalent NO2)

Origine : Le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) proviennent principalement des processus de combustion (industrie et transport routier). Ces gaz sont le résultat de combinaisons entre l'oxygène (O2) et l'azote (N2) de l'air sous l'effet des hautes températures lors des processus de combustion. L'azote est alors soumis à une oxydation qui dépend de la température. La quantité de monoxyde d'azote NO générée augmente avec la température de combustion. Au contact de l'air ambiant, le NO est assez rapidement oxydé en NO2. La concentration en NO est importante par rapport à celle en NO2. Lorsqu'on se trouve à proximité de la source d'émission.

Le NO est un gaz incolore, ininflammable et très peu soluble.

Le NO2 a une teinte rousse et une odeur acide et suffocante à forte concentration.

Santé humaine et valeurs guides de l'OMS: C'est au gaz irritant NO2 qu'on attribue des propriétés toxiques pour la santé humaine. Des effets ne sont pas observables lors d'une exposition à court terme (moins de 2 heures) sur des sujets sains à des concentrations inférieures à 1 ppm ( 1913 µg/m³ (20°C)).

Des sujets dont la fonction pulmonaire est atteinte de façon chronique, peuvent présenter des réactions à partir de 0.3 ppm (574 µg/m³ (20°C)) lors d'une exposition d'environ 4 heures.

Le NO2 pénètre profondément dans les voies respiratoires. A forte concentration (> 1 ppm) le dioxyde d'azote est un gaz toxique et irritant pour les yeux et les voies respiratoires. Ce gaz est susceptible d'entraîner une altération de la fonction respiratoire et une hyper-réactivité bronchique chez l'asthmatique et chez les enfants et d'augmenter la sensibilité des bronches aux infections microbiennes.

L'OMS propose comme valeur guide pour une exposition de courte durée (1 heure) la valeur de 200 µg NO2/m³. Cette valeur est basée sur des tests cliniques auprès de personnes asthmatiques.

Les effets à long terme (exposition d'un an à plusieurs années) montrent des augmentations de la sensibilité du poumon aux infections bactériennes notamment chez les enfants. Le domaine de concentration du NO2 où se manifestent des effets se situent dans le domaine de concentration de 50 à 75 µg/m³.

L'OMS propose comme valeur guide pour une exposition de longue durée (1 an) la valeur de 40 µg NO2/m³.
 
 

Influence sur les écosytèmes :
Les oxydes d'azote (NOx) sous forme d'acides nitreux et nitriques contribuent à l'acidité des pluies. Ces acides sont transformés chimiquement en sels azotés et déposés à sec sous forme de poussières ou d'autres particules. Leur apport de pouvoir nutritif peut créer un déséquilibre nutritif dans les sol se répercutant sur les végétaux.

Normes de qualité relatives à la teneur maximale admissible du NO2 dans l'air ambiant, en application actuellement.

Directive 1999/30/CE du Conseil du 22 avril 1999 relative à la fixation de valeurs limites pour le dioxyde d'azote et les oxydes d'azote, reprise dans le règlement grand-ducal du 24 juillet 2000.
PROTECTION DE LA SANTÉ HUMAINE
Valeur limite :

200 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la moyenne :

1 heure
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être respectée :

1.1.2010
Nombre de dépassements tolérés de la valeur limite :

18
Valeur limite + marge de tolérance en 2003 :

270 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Valeur limite :

40 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la moyenne :

moyenne annuelle
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être respectée :

1.1.2010
Valeur limite + marge de tolérance en 2003 :

54 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
PROTECTION DES ÉCOSYSTÈMES
Valeur limite :

(moyenne annuelle du niveau d'oxydes d'azote

NOx (NOx = NO + NO2 , exprimées en équivalents NO2),

l'oxyde d'azote NO étant exprimé en dioxyde d'azote NO2).
 

30 µg/m³ (293 K, 101.3 kPa)
Période à considérer pour le calcul de la moyenne :

moyenne annuelle
Date à partir de laquelle la valeur limite doit être respectée :

19.7.2001
 




En hiver 2004 - 2005 j'avais réalisé au test 2000 sur machine concept 2, 6'25.3 et 6'27, puis le pronostic s'améliore en été et atteint 6'22 (en été, fréquence cardiaque plus basse pour une puissance précise, 135 pulses pour 200 watts rameur) puis la performance s'écroule en automne après la grande inversion de température et période de pollution notée du 2 octobre 2006 au 1 novembre 2006 habitants en dessous de 350m d'altitude malades. de 6'22 le possible extrapolé à partir des mesures en endurance passe à 6'39, la fréquence cardiaque augmente en effet de 10 pulses pour le même effort: une fois le corps chaud, vers 145 pulses à 200 watts elle passe à 153-155 pulses, la performance réalisée au test de décembre a bien été conforme à cette perte 6'39 (décembre 2006), la salle était polluée par une forte odeur de gasoil venant de la grande route à proximité (lieu salle de sport de la motte servolex) et entrant via la porte ouverte pour l'aération.
avec une moins bonne forme (moins d'entraînement) mais une salle non exposée (club de la Sône sud grésivaudan), le test a donné 6'34 en février 2006, et je suis encore entre 6'34 et 6'39 au pronostic en novembre décembre 2007..
l'évènement majeur de l'automne 2006 est l'adjonction des anti moussants dans le gasoil.
je notait aussi que j'ai souffert d'un pic local de pollution avant cette baisse de forme. Ce fut l'évènement qui d'ailleurs m'éloigna du club d'aviron: les gaz d'échappement de la route juste à coté étant une gêne trop importante (souvent des irritations des amygdales et fosses nasales allant jusqu'au saignements de nez.)
depuis le 16 octobre 2006, pollution très concentrée, hypothèse fragilisation due aux traitements de l'orge et blé (traitement du 14 au 17/10) difficile de résister en skiff (accumulation des polluants près de l'eau). à prendre comme leçon, ne plus aller vers le club durant les inversions de températures. décision de m'interdire le vélo en régime d'inversion de température.
mercredi 18 octobre 2006 accumulation de pollution par inversion fongicides (en fait il s'agissait d'herbicide de prélevée AVANT le semi orge et blé d'hiver irritation de la gorge (pesticides plus gaz auto, inversion de température)

Si c'est bien ça, les autres athlètes exposés de plus de 25 ans (qui s'entraînent pas loin d'une route et habitent près de cultures traitées) devraient tendre à perdre pas loin de 10 secondes au test 2007 par rapport à l'année précédente), une telle perte de performance passe souvent inaperçue quand l'entraînement n'est pas régulier. On ne peut y mesurer que quand on se tient près des limites humaines. Pour moi c'est le cas: le record de france des moins de 75Kg 40 -50 ans est 6'28, et j'avais fait 6'25 à 37 ans.
pour comparer il faudrait examiner les cas de plus de 30 ans, car en dessous de cette trange d'âge la progression et la musculation compensent largement une limitation cardio respiratoire, alors que c'est le facteur limitant à partir de 30 ans. Or, problème: à cet âge la plupart des sportifs sont en retraite et ne se maintiennent que très rarement à niveau, surtout ils sortent de structures de suivi. Peu tiennent des journaux d'entraînements avec des mesures; il en faut le temps, et les moyens intéllectuels d'accumuler des donnée.
Mon impression dans cette histoire de perte importante de forme est que les pesticides fragilisent par rapport à la pollution routière, et qu'il y a de plus une association avec les antimoussants ajoutés dans le gasoil (qui servent à faire le plein sans que ça mousse). La plupart des rameurs n'habitent pas près de cultures et sont seulement exposés à la pollution routière, qui seule ne provoque peut être pas une baisse de forme aussi visible.
une chose est sure: les saignements de nez sont devenus très rares depuis l'évitement des atmosphères de bord de route.


Le fait que l'air soit pollué à Tignes va contre les idées reçus (air propre en montagne), mais du moment qu'on reste près des bâtiments et d'une route, on se trouver près des moteurs et dans un environnement urbain ou l'air est facilement confiné entre deux barres d'immeuble. Et surtout, en montagne les moteurs carburent très mal: la présence de côtes, d'engin de chantier, de gros quatre quatre diesel, de côtes à plus de 5%, de moteurs qui tournent le temps de dégivrer le pare brise, décuple l'impact des voitures.

Le lieu d'entraînement de Tignes (la salle de sport des pompiers) est exposé: il y a souvent à moins de 20 mètres un diesel qui tourne à froid et la pollution arrive à être importante au point de perturber l'entraînement: il faut alors sortir de la salle si la porte, ouverte ou entrebaillée a laissé rentrer le nuage.
Dehors la pollution ne dure que le temps de dire aux automobilistes de stopper leur moteur et ne reste pas très longtemps, mais par contre le problème est réel si le nuage d'échappement est entré dans la salle de sport qui de plus est placé en contrebas de la chaussée, il faut près de 40 minutes pour en renouveler l'air.

comme ailleurs, on place les salles de sport souvent dans les pires endroit: les lieux que justement on n'habiterait pas, quasiment des caves ou des lieux mal aéré. d'une façon générale les salles de sport sont souvent construite près d'une grande route, ou d'un grand axe facile d'accès.


les points bleus clair et vert ont été mesurés en air non pollué, les autres après le passage d'un ou plusieurs véhicules. la différence n'est pas flagrante mais correspondrait à 10 watts de moins pour une même charge cardiovasculaire. Il semble que c'est le dioxyde d'azote qui fait grimper la FC. des mesures systématiques pourraient extraire "le signal du bruit"



recherches
voici comment je procède. je rame de façon à respecter une puissance et je mesure, je passe à une autre puissance, je mesure. je ne compare que ce qui a été ramé à cadence 20. (changer la cadence change le rendement)

pour mesurer un pallier j'attend que la FC et la puissance soit stabilisée pour enregistrer la moyenne. le test est réussi si la courbe de fréquence cardiaque reste plate (ne dérive ni vers le haut, par dérive thermique, ni vers le bas, par déshydratation), il subsiste "du bruit dans le signal" (les petites fluctuation, d'où l'intérêt de prendre la moyenne sur une durée de plus de 5 minutes de pallier stable.
le paramètre important est la "pente", c'est à dire les watts/pulses. ainsi, on peut remettre en phase les test ergométrique de type vélo et rameur, qui ont la même pente, mais pas le même passage à 0 watts, en plus du mouvement mécanique envoyé à la roue de mesure le vélo consomme à peine 10 watts, le rameur 50 à 60 rien que pour aller d'avant en arrière sur un socle fixe, ainsi 200 watts en ergo-rameur font 250 à 260 watts en ergo-vélo.
l'autre technique est de ramer aussi régulièrement que possible et de noter les temps de passage au kilomètres, le temps au kilomètre dépendant de la puissance, et de ne garder que les kilomètres qui n'ont pas été fait en variation de régime. pour faire 3 point de mesure il faut donc faire au moins le double de kilomètre, les kilomètres intermédiaires servant à stabiliser sur le pallier suivant.

il semble que les pulses augmentent avec la présence de NO2 du à la proximité de la circulation (une salle de sport est toujours à coté d'un parking avec des diesel qui tournent voiture garée), ou à l'effet d'accumulation dans une couche d'air de faible épaisseur (sur le lac et canal longeant une route de gros gabarit). Des mesures systématiques corrélées avec des mesures de polluant (dans une ville où se trouve des capteurs officiles) pourraient quantifier le phénomène. Il faudrait que d'autres sportifs établissent des relations pulses-watts en observant des contextes identiques pour isoler la variable "qualité de l'air".




Ici j'ai recherché la fréquence cardiaque pour 200 watts sur ergomètre concept 2, (ou 12.3 km/h en skiff ou 12.3 km h sur une machine à ramer réglée pour correspondre au skiff...) et les fréquences cardiaques les plus basses observées lors des marches. Quand la mesure est réalisée à une puissance proche de 200 watts je me sert de la pente, de 3.5 à 4 watts/pulses pour retrouver la fréquence cardiaque à 200 watts.


* le 20071024 la pollution était sur le lac mais pas sur le lieu de pratique (la sortie en bateau avait été annulé en voyant la nappe s'étendre sur le lac)

il apparaît que dans les zones grises qui correspondent aux jours de blocage d'une couche d'air froid et confinée, la fréquence cardiaque semble plus élevée, ceci est remarquable pour la période du 20071108 à 20071111 20071128 à 20071202, la perte est équivalente à celle observée en montant de 2000m (par rapport au 20071207). voir la prise de chou plus en détail à  20071209.html#effet-sur-la-frequence-cardiaque

a_propos_de_la_pollution_et_sport.html#senat.fr-rap-r05-125-r05-12558



3 novembre 2007
article dans le journal le monde dans la rubrique "environnement et sciences"
extraits
"la pollution a un effet vasculaire immédiat"
c'est ce que a démontré l'équipe de Pierre Boutouryrie (inserm UMR 872) hôpital européen Georges Pompidou et publié dans le numéro de novembre de la revue américaine  "Hypertension". l'étude porte sur la fonction endothéliale c'est à dire la capacité des vaisseaux à se dilater ou se contracter selon le débit sanguin, ainsi que les modifications de la partie interne de la paroi vasculaire. Les données ont été croisée avec les mesures d'Air Parif, les patients sont quarante jeunes gens en bonne santé de 18 à 35 ans.

"il apparaît que la fonction endothéliale est modifiée par les niveaux ordinaires de pollution atmosphérique en ville, la fonction peut baisser de moitié entre le jour le moins pollué et le jour le plus pollué, "les polluants gazeux affectent la fonction endothéliale des grosses artères tandis que les particules exagèrent la dilatation des petites artères" en une réponse à une diminution du débit sanguin notent les auteurs.
Soulignant en particulier l'effet négatif des dioxydes d'azote et surtout de souffre,  Pierre Boutouryrie et ses collaborateurs remarquent que cette altération importante a été observée pour des niveaux relativement bas de pollution"
voir aussi  #senat.fr-rap-r05-125-r05-12558



le miel de novembre 2007 n'est toujours pas normal, on dirait de la confiture de fruit, on est obligé de se faire fournir par des apiculteurs plus éloignés.
bateau avec rameur dessus dans son cadre artificiel (on n'oserait pas dire naturel, les déhaiphes sponsorisent volontier l'aviron car ça fait des rameurs heureux de se bouffer des lignes droites de canal)

si vous téléchargez la grande photo, (autre point de vue tourné vers le nord) observez la digue: c'était là où les abeilles faisaient le plein pour l'hiver, miel que le rameur ici photgraphié consomme à raison de 1 ou 2 pots par semaine.
mais lundi 15 mai 2006 cette digue coté rive droite (à gauche sur la photo à télécharger) fut passé au GARLON INOV qui transforma ce lieu en exemple de pauvreté biologique (milieu reste pauvre en été automne 2007), et le produit fut passé juste alors que les fleurs de robinier étaient bourdonnantes d'abeilles.


pollution-aviron
Situation de la pollution et du club d'aviron de yenne-Virignin.
représentée ici
- en violet transparent les zones de cumul les plus fréquentes, soit par vent nul soit par vent de gravité (l'air froid qui descend)
- en rouge les deux gros axes de circulations
- sur l'eau le parcours de navigation lors d'un aller retour au club, ou lors d'un entraînement en partant du club

la pollution est essentiellement émise sur les parties en pente de la N504 (15 à 30 milliers des voitures par jour, 1000 à 3000 par heure vers 18h à 19h et la D992, surtout sur la montée du pont de Belley et le pont des écassaz. Cela est le fait des nouveaux moteurs HDI qui dégagent du dioxyde d'azote en quantités anormales dans les pentes (conduite en sous régime, variation de température)
sur ces portions de routes, des pentes importants (plus de 5%) "cassent" le rythme du moteur et les deux ponts, et le rond point sont des lieux où localement une voiture pollue comme 30.

une nappe de pollution se confine souvent dans la vallée du lac de bart, très encaissée.
le vent suit souvent la vallée (et ne disperse donc pas les polluants) et l'hiver, saison des entraînements, l'air refroidi par le sol coule et piège l'air de la route sur l'eau.
un secteur d'émission de pollution très forte est sur la montée de Belley (vers le coin bas et droite de l'image)
il faut donc éviter autant que possible les aller retours entre les deux ponts, et les efforts près de la base d'aviron.
cette situation est délicate pour l'aviron... dans l'idéal faudrait déménager pour s'installer ou en amont (vers Massignieu à ou en aval (entre brens et mure et gélinieux)




novembre 2007

tentative d'aller au club, toujours la même chose: dioxyde d'azote des voitures, inflammation de la gorge suivie parfois d'infection des glanglions. et aussi le 8 (nappe de gaz déchappement sur le lac au soir).
ça l' a fait le 8 et 9 expoition le 8 au soir et le 9 au soir, malade enduite jusqu'au 11 matin, puis à la suite du 11, malade jusqu'au 13 matin, puis le 17-18.  la guérison prend 4 jour minimum.
mal de gorge et de tête, et pulses augmentées au repos de 20

détail

le samedi 17 et dimanche 18, encore une fois un ennui de santé du à la conjonction de la pollution routière et de la présence d'un virus: je n'ai pourtant pas du tout pris froid, je n'ai pas forcé même en huit (pas atteint la FC-max et pas longtemps). Faire une performance le jour du test ergométrique à la date prévue semble peu probable. cette période de mauvaise forme m'a empêché de faire l'accumulation de B2 et de B1 qui était prévue durant J-30 à J-15, il est maintenant trop tard pour le faire si je compte une semaine de plus faible charge physique pour me ménager suite à une infection avec fièvre

il y a eu deux inversions de températures (qui empêche le renouvellement de l'air en basse altitude et provoque un "effet tunnel" énorme...pas besoin de microscope pour s'en apercevoir):
date..la journée du 8 nov avec une anomalie de 6 jours (pulses élevées) et le 19 novembre.
le 17 novembre j'ai bouffé de la pollution en faisant de l'ergo à la salle de yenne, j'avais besoin de vérifier les pulses sur un vrai ergo, ça allait mais quand le soleil s'est levé, la fumée des diesel est monté à la hauteur du premier étage. C'est même pas de la grande route que cela venait, mais d'une file de quelques voiture qui a monté à nattages: une seule voiture qui monte en cinquième pollue plus qu'une file de 30 voiture sur le plat, j'ai voulu boucler l'heure pensant que 10 minutes étaient supportable mais j'ai eu quand même la gorge enflammée sans défense pour les virus qui passe résultat plusieurs jours de santé perdu...

le 8 novembre c'est en marchant que j'ai eu l'irritation, une nappe de fumée diesel très concentrée stagnait sur le marais du coté nord de massignieu. même en marchant c'était gênant. Cela n'a duré 10 minute, mais aussi concentré que dans un tunnel. j'ai pris aussi de la pollution dans le goulet du lit au roi. l'irritation commence toujours par une amgydale, et il doit y avoir quand même un problème à régler par là: il me faut chercher les point d'acupuncture qui correspondent à l'organe lié pour rendre plus solide cette partie de la gorge.





27 octobre 2007
pollution Givaudan: persiste encore 6 jours après l'arrivée de la nappe de polluants dans le canal.
j'ai mis en image l'évolution de la nappe dans le canal au niveau de Massignieu.


quantité d'air respiré en plus du fait de l'activité physique.
soit 4% du volume d'air est de l'oxygène retenu (on rejette 16% 02 4%  CO2 et le reste d'azote)
60 litre d'oxygène permet 350wh divisé par 0.04= 8750 litres ou 8.75 mètres cubes
un watts heure vaut 25 litre d'air respiré
une semaine d'entraînement physique équivalent au mien, cumulant 4000 à 5000wh correspond donc à 100 à 125 mètres cubes par semaine, en plus des 80 mètres cubes d'air respiré au minimum (8 litre d'air par minute durant une semaine) soit +125% à +150% d'augmentation. il y a donc bien plus que le doublement de la quantité d'air respiré.
si on fait le rapport sédentaire un peu sportif 80 à 100 et athlète d'endurance 200 à 230 on est dans des rapports de 2 à 3
mon volume d'entraînement n'a rien d'anormal. Avec une moyenne de 500 à 800wh/ jour, disons 600 cela équivaut à 2h20 d'entraînement à 250 watts ou 3h en dessous de 200 watts, ce qui est une dose quotidienne chez tout athlète "de haut niveau" et la moitié d'une journée de cyclisme dans des courses à étape. "haut niveau" signifiant ici d'un niveau proche des limites humaines à moins de 15% des champions représentant les limites du possible.

comparaison avec 50 watts moyen en endurance: un sportif capable de 100 à 150 mais qui ne calibre pas l'effort en continu (en moyenne équivalent de la marche 6h en tout dans la semaine (ce qui représente déjà beaucoup d'activité. Cela fait 300wh par semaine et une augmentation d'air respiré de 7.5 mètres cubes sur 80 minimum = +10% d'augmentation à peine.

c'est cela qui explique l'hypersensibilité à la pollution moyenne de l'air chez l'athlète qui est 125% plus sensible que chez le sportif ordinaire, qui respire dans la semaine un supplément d'air de 125% de plus de 10 fois le supplément de l'ordinaire qui est 10%. il faut noter aussi que ce surcroît d'air respiré l'est le jour aux heures d'activité. l'augmentation réelle de pollution respirée est donc souvent bien plus. si la moitié de l'air respiré l'est durant le temps de pratique, le lieux de pratique est crucial..
envoyer cette petite remarque à AIR-APS pour suggérer un texte, à propos des lieux de pratique: salles de sport et stades utilisés par des sportifs de "haut niveau" souvent en bordure de route.



pollution Givaudan: alerte donnée le 28 octobre samedi 27 à lundi 29, forte pollution Givaudan, aussi forte qu'en août voir journal noté avant 10 août  journal-activite_physique20070604-20070833.html. j'ai rencontré la nappe de polluant en skiff et alors que la pollution routière n'était pas significative j'ai eu immédiatement de l'irritation nasale (écoulement fluide) et puis la nuit un mal de gorge. je note aussi une fréquence cardiaque plus élevée par rapport à la vitesse (150 pulses pour 13km/h au lieu de 145 pulses), la charge physique de cette sortie d'aviron correspond à une exposition au repos de 18h environ à cet endroit. je soupçonne la pollution Givaudan d'être allergisante et présensibilisante, d'où la crainte exacerbée de la pollution lors de la pratique de l'aviron à la base des écassaz, et de réagir avec la lumière (photochimique), une aide soignante samble aussi sensible à ce composé: elle est est allergique "à la ville de genève" mais pas aux autres villes, même en France pourtant pleines de voitures hdi en sous régime (Genève est une ville exposée fortement aux rejets de Givaudan par vent de sud ouest comme lors de la préparation  de la course en tandem, 16 et 17 juin 2007 à Genève et environ, ça sentait plus fort que les tilleuls)  de mémoire, cette odeur était déjà présente en 1999 plutôt en hiver quand il y avait peu de courant, mais pas aux concentration de l'an 2007

rheu! Marc... c'est justement quand il y avait une usine en aval dans le collimateur que les autres en amont ont lâchés massivement avec l'impact maximum (quand le rhône boueux déposait des sédiments en juillet août...)  c'est comme en classe quand un pète et se fait bien regarder de travers, est repéré comme le chieur, alors les autres peuvent louffer tranquille.

Si des encens sont parfumés à de tels produits c'est pas surprenant qu'ils soient nocifs (message à propos des encens envoyé par divers médias de la santé). il semble que l'usine Givaudan lâche ses polluants à l'approche du week-end, un peu, et beaucoup à l'approche des vacances. Depuis cet été le poisson est plein de poison et interdit d'être mangé, alors que nous sommes très en amont de l'usine accusée par les médias, plus en aval vers Meximieux. Les pêcheurs n'ont plus qu'à s'amuser à faire des concours de longueur de poisson pêché puis rejeté, c'est à la mode, les jeunes aiment...


À propos de la pollution ressentie dans le sport

résumé
Il me semble observer des troubles de la fréquence cardiaque en relation avec l'exposition à la pollution du trafic routier. je pourrais en dire plus quand j'aurais pu dépouiller toutes les courbes de fréquence cardiaque réalisées lors de mes entraînements.  je puis le constater justement par ce que je ne vais pas tous les jours sur une grande route, comme la plupart des gens qui eux ont à faire des trajets quotidiens en empruntant tous les jours un grand axe. je pense que les polluants qui font des effets flagrants à court terme sont le monoxyde de carbone (maux de tête et perte d'efficacité de la ventilation pulmonaire, hausse de la fréquence cardiaque) et les oxydes d'azote (maux de gorge et nez qui coule, réduction de la ventilation pulmonaire par protection). les particules font parfois comme de la poussière mais les plus nocives sont sans doutes pas perçues.

 lorsque que je sort et fait de l'activité physique modérée, en été, l'ozone de l'air ambiant semble aussi avoir des effets, même en restant isolés de la circulation, là aussi la hausse de fréquence cardiaque dure 1 jour et demi. il y a en plus un phénomène de décalage du seuil, c'est à dire qu'il devient possible de tenir longtemps, en "endurance" des fréquence cardiaques normalement rencontrées à peine quelques minutes durant une course de demi fond faite vraiment à fond. il y a là un danger pour le coeur qui va avec le constat de l'assemblée nationale et du sénat par rapport au infarctus qui touchent jeunes et vieux selon la concentration d'ozone. s'exposer à un pic d'ozone est simple: il suffit de ne pas s'enfermer l'après midi en été, une concentration de plus de 100 microgrammes par mètre cube est garantie, alors que des problèmes sanitaires sont décriées pour des concentration bien plus faible. Ce n'est pas la fatigue car ça le fait même si je fais que des efforts très modérés, surveillant le cardio de sorte à ne pas dépasser 120 pulsations, efforts très modérés qui tout de même multiplient par 5 à 10 l'exposition par rapport à un repos enfermé...

enfin, un gaz non surveillé semble aussi poser des problèmes: le chlore qui se dégage des champs traités aux pesticides, surtout au printemps avec les traitements de prélevée, et en automne avec les grands épandages d'herbicides.



pollution à Tignes.
logeant dans un appartement placé sur l'adret, surplombant la route d'une altitude de 30 mètres je constate systématiquement, après 30 jours de séjours que si il fait soleil, entre le lever local du soleil et 2h après celui-ci, il ne faut pas ouvrir les fenêtres: une violente odeur de diesel envahi sinon l'appartement. Ensuite, la convection se renforce, le vent thermique se lève et la pollution évite l'appartement, elle passe moins haut et concerne les premiers étages seulement. Cela est gênant par ce que c'est à cette heure de lever de soleil qu'il est tentant d'ouvrir.
l'air n'est pas pollué l'après midi et le soir.
En amont du lac (à l'ouest), l'odeur de la route est forte jusqu'à 2300m d'altitude (la route est vers 2100), cela est gênant pour courir sur le terrain de golf.
L'intensité de la pollution des voitures est impressionnante pour un trafic hors saison... j'avais cru connaître le pire à la Réunion en 1997, mais il fallait beaucoup plus de trafic pour avoir de tels résultats. La différence est que la pollution est invisible.
Le soir c'est les combes qui sont envahi des gaz de la route, les gaz y coulent comme un torrent en suivant l'air refroidi par le sol.
à 2500m d'altitude coté adrets (sud de Tignes direction col de la tourme), il y avait, avant les épandages, une odeur piquante de dioxyde d'azote. Je ne sais pas si c'est due à la route ou aux épandage antérieurs de station d'épuration. Les lieux ne sont plus praticables en octobre de ce coté puisque de nouveaux épandages ont été fait
la zone du bois de la laye semble épargnée par la pollution qui s'étend sur le lac ou bien monte sur le coteau opposé.

Pollution sonore: cela est à signaler aux gérants du parc de la vanoise. Un diesel sur la grande motte servant à un tire fesse de petit calibre à 3200m d'altitude domine l'ambiance sonore du rocher de charvet au col de la Leisse, et sur tous les flancs de la montagne noire. Point de vue ambiance ces lieux magnifiques ne valent donc plus rien des le mois d'octobre. Une ligne électrique et quelques pylônes en plus pour alimenter ce tire fesse éviterait de détruite l'ambiance sonore sur plus de 10 km à la ronde.
la zone du parc située à l'ouest du col de palet est par contre indemne de pollution sonore, c'est même la seule zone épargnée par les environs de tignes, hormis les travaux ponctuels des refuges.



remarque et recherche septembre 2007 -3
d'avoir évité la portion de route la plus polluée en faisant  Tigne à Landry à pieds plutôt que de rester dans la voiture jusqu'à Tigne, semble se concrêtiser par un gain sur effort équivalent de près de 10 pulses, sur le lendemain mêmes conditions: machine à ramer en salle, marche à pieds en altitude la veille, grand colombier en vélo l'avant veille. une telle différence est énorme, c'est normalement le progrès accomplit sur plus d'un mois. Cela équivaut aussi à un gain de puissance aérobie de 10% environ, et aussi évitement du mal de tête d'après le voyage, ou du moins plus léger, il y avait quand même 130 km de voyage, mais sur le plat.

157 -155 pulses pour 200-205 watts avec un après exposition à la pollution
et 150 pulses 212 watts dans les mêmes condition avec évitement la veille de la zone polluée, et même programme de dépense physique.
la marque de voiture WW a mis sur le marché des "nouvelles golf et des nouvelles polo" très polluantes, elle ont le symbole "TDI"
il suffit d'en suivre une plusieurs minutes pour avoir l'équivalent d'une pollution de plusieurs heures de trafic routier "normal": irritation des voies respiratoires. curieusement je n'ai remarqué ces voiture qu'en tant que passager de voiture mais pas encore en vélo dans le Bugey, elle sont présentes plutôt vers Bourg-St-Maurice et Tignes.

maux de tête: cela semble du au monoxyde de carbone. le fait que la mal de tête survienne après quelques heures de retard par rapport au voyage est un indice de plus. Les symptômes correspondent à des taux de l'ordre de 200ppm, ce qui est peut être bien le cas lors d'un voyage en voiture sur une route encombrée, mal ventilée, ou les voitures peinent en sous régime, et quand le conducteur de la voiture vient coller son capot contre le pot d'échappement de celui de devant. Les taux sont bien plus fort qu'en ville (en comparant à Grenoble: pas de maux de tête avec seulement 2h de présence à Grenoble) Les mesures de Grenoble donnent des chiffres de l'ordre du ppm, et cela suffit pour que les habitant aient plus d'un % de carboxyhémoglobine dans le sang.
la hausse des pulses cardiaque correspondrait bien alors aussi, mais le fait que ça dure encore  le lendemain semble due à d'autre polluants.
10-20% de carboxy hémoglobine: Maux de tête légers, dyspnée lors d'effort musculaire intense, réduction de l'acuité mentale.
avec 10% de réduction de globules rouges disponible, il faut 10% de plus de débit sanguin pour compenser: cela correspond bien à la différence de l'ordre de 10 à 15 pulses que j'observe.
les maux de tête sont partagé par beaucoup d'autre personne qui font cette route... ils accusent les camions.

Monoxyde de carbone: faut t'il s'en méfier?

monoxyde de carbone: premier seuil d'alerte à 50ppm, deuxième seuil à 200ppm pour les pompiers, 200ppm signifie dangereux si l'on reste longtemps.
 le polluant Monoxyde carbone en microg/m3 atteint en ville dans les environs de 400 à 1000 midro-garmmes/mètres cubes
soit pas loin d'un miligrame par mètre cubes
reste à convertir en PPM pour connaître la densité de cette pollution par rapport aux chiffres des pompiers
sur route de montagne derrière file de voiture c'est bien plus qu'en ville.

10 mg/m3 (9 ppm), alors 1ppm fait environ 1111 micro grammes/mètres cubes

autres repères pour cerner les niveaux toxiques:
La norme ASHRAE 62-1989 indique que la limite d'exposition moyenne de 8 heures pour le monoxyde de carbone ne devrait pas dépasser 9 ppm
Les niveaux maximum acceptables recommandés en matière de monoxyde de carbone sont une moyenne d'une heure à 30 ppm(je pense que l'on atteint de pareils taux à proximité d'une file de voiture en côte, qui consomment 3 fois plus que sur la plat d'une ville, et en plus carburent moins bien.
en multipliant par 10 (hyperventilation pulmonaire si vélo en côte), cela équivaut à 300ppm = dose suceptible d'être ingérée sur la montée de tigne par exemple quand les voitures sont pare choc contre pare choc.
 Danger immédiat pour la vie et la santé (DVIS) : 1200 ppm

limites guides
Les valeurs guides ont donc été établies de manière à ce que le taux de 2,5% de carboxyhémoglobine ne soit pas dépassé, même si le sujet se livre à une activité physique légère ou modéré [1]:
- 100 mg/m3 (87 ppm) pendant 15 minutes
 - 60 mg/m3 (52 ppm) pendant 30 minutes
 - 30 mg/m3 (26 ppm) pendant 1heure
 - 10 mg/m3 (9 ppm) pendant 8 heures
ATTENTION!!! l'activité moyenne d'un effort chez un athlète= 3 fois plus que modéré ordinaire =  3 fois 70 watts, limites guides alors à diviser par 3 pour un effort en zone de puissance aérobie: pour le vélo en côte vers 250 watts et environ 100 litres d'air respirés par minute.
cela porte à 10mg/mètres cubes ou 10 ppm environ, le tolérable sur une heure

montée de Tignes avec files de voitures, maux de têtequelques heures après avec exposition durant une demi heure assis, ou quelques minutes (2 ou 3) en situation d'effort sous tunnel ou paravalence ou route avec blocage de l'air (souvent à flan de coteau). si c'est le monoxyde, chercher la dose qui fait mal à la tête.
ça serait aux alentours de la centaine de ppm.
traverser grenoble en vélo ne donne pas de maux de tête mais faire en voiture ou en vélo une portion de la route montant à Tignes si. Même chose pour le col de Porte en Chartreuse en saison touristique. Le monoxyde de carbone, gaz des combustions incomplètes est sans doute plus laché en côte quand les voitures peinent sur des rapports de boite à vitesse pas assez démultipliés, que sur le plat, d'où la concentration plus importante sur route de montagne. De plus les routes de montagne sont mal ventilées: ça fait un effet tunnel qui est loin d'être microscopique.

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz sans couleur, inodore, toxique produit lorsque des carburants contenant du carbone sont brûlés où il y a trop peu d'oxygène (c'est le cas justement en montagne -20% d'oxygène déjà et conduite en sous régime pour 7 voitures sur 10).
Les niveaux dans les zones urbaines (et j'ajoute dans une file de voiture même en montagne si il y a confinement) sont fortement variables, dépendant des conditions atmosphériques et de la densité du trafic. Les concentrations sont généralement moins de 10 parts par million (ppm) mais peuvent être aussi hautes que 500 ppm

À une concentration de seulement 500 ppm (parties par million) de monoxyde de carbone dans l'air respiré, on constate l'apparition de maux de tête sévères, de vertiges et d'une tendance au sommeil annonçant un début d'intoxication. L'impotense musculaire et une paralysie progressive apparaissent lorsque l'individu est soumis à une concentration de 2000 ppm, suivies d'un coma si aucun secours n'intervient. Par ailleurs la mort est rapide suite à une exposition de quelques minutes à une dose de 5000 ppm. Cette mort survient lorsque 66% de l'hémoglobine a été transformée en carboxyhémoglobine.

Des études ont permis d'évaluer, que dans les grandes villes par exemple, le sang des habitants renferme de 1 à 2% de carboxyhémoglobine. Celui d'un fumeur de 4 à 10% amenant le c?ur à travailler davantage afin d'oxygéner l'organisme.

Troubles observés après un séjour d'une heure

200ppm 0,02 % Maux de tête, vertiges, vision floue, fatigue, nausées.
0,1 % Même symptômes, plus faiblesse des jambes, impossibilité de marcher, et somnolence.
0,15 % Syncope
0,20 % Fort risque de décès

Au repos, la demi-vie d'élimination du monoxyde de carbone sanguin est d'environ 3 à 4 heures pour un sujet inhalant de l'air et d'environ 20 à 60 minutes pour des sujets inhalant de l'oxygène.

Avec l'administration d'oxygène hyperbare, la demi-vie d'élimination du CO diminue mais les valeurs numériques varient selon les auteurs :

- 23 minutes à 3 atm.
- 27 minutes à 1.58 atm.
- 22 minutes à 2.5 atm
 

Étant donné que l'intoxication au CO survient fréquemment pendant lasaison hivernale, il est très fréquent que le diagnostic initial soit, de façon erronée, celui d'une infection virale. Il a été observé qu'une exposition au monoxyde de carbone pourrait être la cause de 5 à 19 % des cas de céphalées d'origine indéterminée dans les services d'urgence.

200 ppm
Valeur d'exposition de courte durée (VECD) Maux de tête 2 à 3 heures après l'exposition

Concentration en (% de carboxyhémoglobine)
Effets probables à la suite d'une exposition aiguë
3.5% Indice biologique d'exposition.
10-20% Maux de tête légers, dyspnée lors d'effort musculaire intense, réduction de l'acuité mentale.
20-30% Maux de tête sévères, dyspnée lors d'effort musculaire modéré, nausées, vertiges.
30-40% Maux de tête sévères, nausées, vomissements, faiblesse musculaire, confusion, troubles visuels et du jugement.
40-50% Convulsions, perte de conscience.
50-70% Coma, dépression cardiaque et respiratoire parfois fatales.
plus de 66% Mort
 

Effets probables à la suite d'une exposition aiguë (ppm de CO) chez une personne en bonne santé
35 ppm Valeur d'exposition moyenne pondérée (VEMP)
200 ppm Valeur d'exposition de courte durée (VECD) Maux de tête 2 à 3 heures après l'exposition
400 ppm Maux de tête et nausées 1 à 3 heures après l'exposition
600-700 ppm Maux de tête et nausées 1 heure après l'exposition
1 200 ppm Danger immédiat pour la vie et la santé (DIVS)
1 600 ppm Maux de tête, nausées, vertiges en 20 minutes, perte de conscience, coma et mort 2 heures après l'exposition
3 200 ppm Maux de tête, vertiges en 5 minutes, coma et risque de mort en 30 minutes
6 400 ppm Maux de tête, vertiges en 1 à 2 minutes, coma et risque de mort en 15 minutes
20 000 ppm Coma et mort en 4 minutes
Effets chroniques :

L'apparition d'effets toxiques associés à une exposition prolongée au monoxyde de carbone n'est pas encore clairement élucidée dans les sources documentaires consultées.

Certains auteurs rapportent des effets tels que :
-des maux de tête,
-de l'asthénie,
-des vertiges,
-de l'insomnie,
-de l'irritabilité,
-de l'anorexie,
-des troubles neuropsychologiques subtils comme des altérations de la mémoire, etc.

D'une façon générale, il n'existe guère de données indiquant qu'il puisse se produire dans la population des effets athérogènes consécutifs à une exposition au monoxyde de carbone aux concentrations couramment rencontrées dans l'air ambiant. (même derrière une file de voiture?!)
 
 

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remarque et recherche septembre 2007 -2
relation entre les pics de pollution et la relation entre la puissance et la fréquence cardiaque correspondante
Le fait ressentit: quand l'air est "chargé" de polluants, la fréquence cardiaque est anormalement haute pour tout effort d'endurance, et ce le jour même et le lendemain de l'exposition. je constate cela d'une façon flagrante sur la montée du colombier fait le 26 août, comparé à d'autres montées proches, trop proche pour que un séjour en altitude ou un entraînement explique un progrès équivalent à 10% puissance ou encore à une descente de 15 pulses des fréquence cardiaques. c'est comme abandonner un vélo de 20Kg pour un de 10Kg!
 

référence  2007-colombier.html et journal d'activité physique vers août.
il est délicat de généraliser car d'autres paramètres font aussi bouger la fréquence cardiaque, la chaleur moite en particulier.

le trajet en voiture Belley(01) Tignes fait souvent mal à la tête. cela est partagé par beaucoup d'automobilistes. C'est l'exposition durable à la pollution concentrée d'une file de voiture dans laquelle on se trouve, en côte qui provoque cela, pas l'altitude, car ça le fait avant le changement d'altitude quand la pollution est forte dans la vallée. ensuite, la fréquence cardiaque lors des efforts augmente plus que d'habitude. le retour à une forme normale, c'est à dire les fréquence cardiaque habituelles pour fournir une même performance, prend 2 jours
ce que les gens accusent est l'altitude, ou les camions... mais pas les voitures. Sur ce trajet le pire semble pourtant les voitures à diesel injection directe en sous régime. La position de la prise d'air joue beaucoup: pour moins avoir mal à la tête mieux vaut être dans un véhicule très haut, un quatre quatre par exemple, 50cm de plus de hauteur évite de ramasser toute la nappe de polluants scotchée sur le macadam, tout en pêtant mieux au nez des autres qui sont derrière, selon la loi, se faire gazer soi ou gazer les autres.
un autre effet est une douleur aux amygdales, qui précède une irritation des voies respiratoires. c'est un peu le signal d'alarme "pollution"

sur la base de mon repère habituel,
- machine à ramer 220 watts vers 153 pulses à 2000m et 245 watts vers 153 pulses en plaine, en situation de confort thermique, je constate  que la pollution, que ça soit en bas jusqu'en haut coûte 20 watts, soit 10% puissance.
- taux de montée en vélo: la forme normale se situe vers 1300m/h de vitesse ascensionelle à 160-165 pulses, et 1100m/h sur la base de 150 pulses, et le seuil se trouve vers 170 à 175 pulses et 1350m/h. en cas d'exposition à la pollution j'ai un seuil proche 180 pulses mais vers 1250m/h (soit perte de puissance de l'ordre de 8%) et j'ai, dans la zone des 1000 à 1100m/h 10 à 13 pulses de plus, ce qui correspond à une charge d'effort cardiovasculaire de l'ordre de 10% de plus. cet effet semble du à la perte d'efficacité de la ventilation pulmonaire

les symtômes flagrants: maux de tête et perte d'efficacité de la ventilation pulmonaire semblent être le fait du monoxyde de carbone de toute voiture sur alimentée et en sous régime, c'est à dire les voitures qui ont un moteurs trop silencieux, et sur-dimenssionné qui autorisent la généralisation de la conduite en sous régime sans caller en côte voir même sans avoir l'empression de peiner.
Le nez qui pisse, la douleurs à la gorge semble être le fait du NO2 des moteurs diesels



remarques et recherches septembre 2007
Deuxième voyage à tigne, en voiture l'exposition à la pollution quand on se trouve dans une file de voiture qui monte est conséquente: il est impossible que les automobilistes qui roulent au quotidien ne finissent pas par avoir des problèmes de santé. c'est bien plus fort que dans n'importe quelle ville comme grenoble ou paris. Cela va forcément poser des problèmes suffisants pour que des mesures soient prises.
Il se pourrait que les régions de montagne, comme par hasard soient celle où il y ait le plus de cancer.
le mal de tête, comme la dernière fois, dure quelques heure et la fréquence cardiaque est plus haute, mais on peut aussi penser que c'est le changement d'altitude. j'ai escaladé le col de l'izeran le jour même au lieu de 2 jours après, et je mets 2 mn de plus à pulses égales.

 la pollution en montagne: texte
(synthèse des observations faites à Tigne, Val d'isère, col de l'izeran mais aussi dans les routes de montagnes de basse altitude)

résumé de ce texte.
la pollution en montagne
 Elle est localement forte, par intermittence, mais puisque le contexe concerne les heures d'activité, il concerne également celui des piétons et cyclistes qui bien évidemment ne circulent pas la nuit, mais au même horaires que les voitures.
La pollution s'évacue moins facilement d'une route de montagne qu'en plaine, par ce que la route fait une saillie dans le relief qui force les vent à la suivre: les gaz d'échappement tendent à suivre la route sans s'en écarter: si une voiture passe ça sent plus longtemps et plus fort.
Quand la route est sur un terrain plat, elle suit généralement un fond de vallée qui ne permet que des vents longitudinaux qui "balladent" la pollution sur la route sans la chasser lattéralement, la vallée confine l'air dans un volume restreint.
enfin, en montagne les voitures carburent moins bien, polluent des dizaines de fois plus par carburation incomplète.
un cycliste monte 3 fois moins vite qu'un automobiliste, respire 10 fois plus, donc consomme 30 fois plus d'air pour monter un même col. Même si le cycliste ne se trouve pas prisonnier des convois de voitures qui montent, il respire déjà autant de pollution que l'automobiliste qui respirerait un air 10 fois plus pollué 3 fois moins de temps.

les solutions?
 conduire en évitant le sous régime, le couple maximal, en s'imagineant économiser un effort physique: conduire sa voiture comme on conduirait un vélo...
et à plus long terme orienter ses choix vers des voitures légères, simples, avec une technologie moins sophistiquée. la haute technologie s'avère en effet défaillante pour gérer les variations de régime et les sensations sont trompeuses.
 



remarques et recherches aout 2007

environ de tigne, col de l'iseran et val d'isère: la pollution routière, comparé à celle de 2003 c'est aggravé (même en septembre): il y a maintenant ces voitures qui "sentent la javel cuite", maintenant majoritaires au lieu de rares en 2003, de la technologie PSA (Parfois ça Sent Atrocement). Des personnes "normales" percoivent le mal de tête du à la pollution quand elles voyagent en voiture.
fréquence cardiaque anormalement élevée.
au dessus de 2500m gaz "a odeur de chlore" que je pense plutôt nitreux et qui ressemble au nez à ce qu'émettent les voitures modernes, j'ai cru qu'il était émis par des éléments naturels (végétaux, lichens), mais  en fait ces odeurs proviennent de la route entre val claret et Tignes, qui remontent facilement à 1km environ à distance directe. Si il n'y a pas de route en contrebas, l'odeur n'est plus présente dans un même milieu.

vérifié: coté vanoise ça ne le fait pas.

réponse  d'un cardiologue...

Cher Jean
   Comme bien souvent, vous avez raison, et en réalité le problème est bien plus sérieux que ce que l'on pense généralement.
Les nouveaux diesels produisent beaucoup plus de NO2 que les anciens diesels, et le NO2 a une action très inflammatoire sur les voies respiratoires, de plus ils produisent des nano particules en très grandes quantités, on ne les sent pas et elles passent la barrière alvéolo-capillaire.

 un facteur très aggravant: le pot d'échappement à droite. En effet,
- quand la voiture roule bien à droite, le pot rejette près du bord moins ventilé que le milieu de la route: le sillage reste "collé" au talus, et vit plus longtemps.
- quand en vélo on va presque aussi vite qu'en voiture, ce qui est TOUJOURS le cas sur les routes étroites, tortueuses, de montagne à flanc de coteau, la voiture qui parvient à doubler tarde à prendre de l'avance et pête alors au nez du cycliste. Rouler en vélo en respectant le code de la route oblige à rester bien en face du pot d'échappement. de plus, quand le sillage est émis à droite, il reste collé au bord de la route et s'y trouve plus concentré, et plus durable pour le cycliste qu'un sillage rejeté au milieu de la route et rapidement dillué par les courants d'air.
Le pire est la file de voiture: si dans cette file il y en a qui ont le pot à droite, il est alors obligatoire de rester dans le sillage pour laisser passer les voitures qui suivent derrières. Quand le sillage rejeté à droite, une partie importante se trouve immédiatement à l'abri du vent et n'est même pas évacué par le vent du au déplacement des voitures, il rest coincé contre le bord, et cela peut durer plusieurs minutes, ce qui représente parfois plus de 500m à parcourir en "zone pollué" après un dépassement... et bien plus si la voiture ne prend pas vite de l'avance. Par exemple sur un trajet de 8km, la voiture ne prend que 2 minutes d'avance par rapport au vélo. si le sillage persiste durant 2 minutes, ce qui est fréquent sur route en coteau ombragée, elle représente alors... 8 km de sillage polluant pour le cycliste. Il est rare, quand l'air devient enfin respirable qu'il n'y ait pas alors une nouvelle voiture qui se charge de l'empuanter à nouveau.
Facteur aggravant numéro 2: les murets en béton coulé: ils ménagent une zone de non-vent piégeant très longtemps les sillages d'échappement.

extraits de texte trouvé dans senat.fr-rap-r05-125-r05-12558.html
On peut dire que c'est dans les vingt-quatre heures qui précèdent l'infarctus du myocarde que les choses se sont passé. C'est une association spécifique. Jusqu'à présent, on avait travaillé sur des maladies cardio-vasculaires, des hospitalisations, des données hospitalières, de mortalité, mais jamais sur une pathologie spécifique, comme l'infarctus du myocarde. C'est une association robuste car quelles que soient les décisions que l'on prend, on retrouve toujours les mêmes relations. Cela affecte la population jeune (35-64 ans). Les plus âgés sont les plus sensibles, mais cela affecte également les personnes qui n'avaient aucun précédent vasculaire et les jeunes. Enfin, c'est une relation linéaire, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de seuil. A chaque fois que l'on augmente la concentration de l'ozone, on augmente d'autant plus la survenue de l'infarctus du myocarde.On a également montré que l'ozone avait un rôle sur la fréquence cardiaque, en la diminuant, à l'inverse des autres marqueurs (NO2 et SO2), qui sont cardio-accélérateurs.
Pour l'ozone, on constate que le risque le même jour est de 1,05. Cela signifie que pour chaque augmentation dans l'atmosphère de 5 microgrammes par mètre cube d'ozone, il y a un risque de 5 % de faire un infarctus du myocarde. Ces relations sont très significatives et concernent à la fois le même jour et le jour précédent.

de mon coté
- je remarque que en cas de sortie l'après midi, donc d'exposition à la pollution, la fréquence cardiaque est anormallement élevée jusqu'au jour suivant même en évitant les efforts, c'est ce qui est arrivé le 25 et 26 août... lors de la montée du colombier mon seuil était vers 183 pulses au lieu de 170 et la FC repos debout vers 75 au lieu de 50, la veille j'avais été contraint de sortir un samedi après midi. cela c'est encore reproduit le 27 aout (voyage en voiture vers tigne, trajet très pollué, maux de tête et fatigue ressentie aussi par le conducteur: la fréquence cardiaque était anormallement élevée le 28 août... l'orage ayant balayé la pollution, la fréquence cardiaque a descendu de 15 à 20 pulses pour les mêmes effort et aussi pour le repos. La pollution que je suis contraint à respirer est donc visiblement cardio-accélératrice.
- le gaz qui me met en difficulté semble le NO2, ou du moins ce gaz à odeur de javel cuite: c'est la nuisance numéro 1 de la cohabitation avec les voiture. ce gaz ne concerne que les voitures modernes avec turbo. Effectivement il semble que la fréquence cardiaque est accélérée, et ce d'environ 20 pulses, et immédiatement.

des nano particules   et non des microparticules... ces nano particules se mesurent en nanomètres, et n'intéragissent pas avec la lumière. un nuage de nanoparticule, même dense est absolument invisible à l'oeil. Les diesels qui fument "noir" envoient des suies grossières qui sont des microparticules de taille supérieure à 1 micron pour la plupart. l'organisme sait mieux les éliminer.

à Tignes:
L'odeur de parfums étalés sur la peau des gens qui habitent les barres d'immeubles est nettement perceptible dans un volume d'air entourant l'immeuble qui est sans doute renouvelé en quelques minutes et qui fait quelques dizaines de fois le volume intérieur des appartement. L'importance du volume parfumé par les émanations est donc importante,  non négligeable à l'échelle de la vallée, si quelques milliers de personnes parfumés aux produits de synthèse y séjournent. Un ouvrier d'usine chimique a aussi remarqué que même en l'abscence d'êtres supports de ces substances, leur lieux de travail (les bureaux) peuvent exaler à plus d'une centaine de mètre.

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j'expose ici un amas de texte qui servira de base pour produire des nouvelles pages sur le sujet (pour mon site "pourlaterre")
 voir
page http://pourlaterre.free.fr/quelle_evolution_pour_les_transports.html

Je note dans mon journal d'activité physique "pollution" quand, faisant de l'aviron en particulier je ressens nettement une gêne durant l'effort associé à une nette odeur de gaz d'échappement. il s'agit bien sur d'une donnée subjective, au "pif" (c'est le cas de le dire)
je dois imaginer un moyen d'éviter de m'exposer.

 carte_du-coin.png 1.6 Mo, montre la situation géographique: la pratique de l'aviron se fait sur le canal du rhône, bordé de la route N504 de virignin à Belley (15000 à 30000 voiture/jour et pics allant jusqu'à 3000 voitures/heure durant les vacances)
la D992 borde la partie du canal allant de Belley à Rocheford
quelques faits à noter:
- la saison: toute la saison à jours courts, en raison du faible angle solaire, il reste des poches d'air froid dans les ubacs des montagnes qui viennent couler dans les vallées et confinent les gas des routes qui draine presque tout le traffic. C'est la pollution par accumulation.
Cette zone rurale semble plus pollué que la moyenne au vu de la différence que je constate à chaque course d'aviron organisée ailleurs.

L'hiver la circulation est très intense à cause du traffic routier lié au ski (par moment plus de 2000 voitures par heure sur les grandes routes bordant le canal vers virignin et traversant yenne)
une voiture rend l'air peu respirable (équivalent à l'air ambiant lors d'une alerte à la pollution) au rythme moyen de 13m/s, et sur une section de l'ordre de 7m de large et de haut soit 50 mètres carrés, soit 650 mètres cubes/seconde (on retiendra l'ordre de grandeur de 500 à 1000 metres cubes/seconde). Quand l'effet tunnel est présent (route sans évacuation), il est effectivement NOCIF de respirer en faisant un effort après le passage d'une seule voiture, et ce durant plusieurs minutes: cela arrive souvent dans une montée ou sur les petites routes de campagne qui pour une raison ou une autre bloquent l'air durablement (vortex convectif sur route en pente, ou confinement par falaise, roche ou arbres, ou encore par nappe d'air froid). il s'ensuit alors une irritation des voies respiratoires si les voitures entretiennent un volume d'air pollué, et cela peut arriver pour un nombre de voiture aussi réduit que 6 par heure. ce phénomène est moins sensible sur la plupart des grandes routes pour des raisons de dégagement et de fonctionnement, les voitures polluent plus en effet sur les petites routes car elle y carburent mal et roulent à des régimes moteurs non optimaux, et sur les petites routes l'air s'évacue moins, et du coup on peut s'y faire gazer en vélo avec autant d'efficacité que sur une nationale.
le debit de pollution anormale de la montée des écassaz est à étudier: une pente de 500m environ, où 1000 voitures par heure qui carburent mal quasi systématiquement (côte montée en sous régime et excès de couple, sans changer de vitesse), une vitesse de l'ordre de 60km/h des voitures.
en raison de la pente la pollution est multipliée par 3 à 10 en concentration, parfois par plus en cas de mauvais rapport de boite à vitesse.
considérant le "débit" déjà estimé de l'ordre de 500 mètres cubes/ seconde par voiture, la présence de 10 voitures sur cette pente soit 5000 mètres cube par secondes, et un vent de 10km/h, une épaisseur de couche d'air de l'ordre de 30 mètre, durant les 3 heures de circulation du soir font 54 millions de mètre cube qui vont couler sur le fond de vallée ou le canal. cette nappe est polluée d'une façon plus concentrée (voitures en pente), donc très largement au dessus du seuil d'alerte: si ce volume d'air pollué s'étale sur le plan d'eau faisant 200m de large par 8km, il représente une nappe épaisse de 33m la hauteur d'un grand peuplier...
en plus de la montée des écassaz, il y a aussi les 250m fois 2 du pont de Belley, la montée du lit au roi, la montée de Virignin au tunnel, la montée de Belley qui dégagent de la pollution anormallement restant concentrée pour un volume d'air chiffrable en milliers de mètres cubes par seconde.
il n'est donc pas etonnant que la pollution soit si intense sur le canal, et même les environs, et s'ajoutant encore à celle de l'air ambiant, des valeurs correspondantes au seuil d'alerte sont facilement dépassées localement, cela est justifié que il faille aller ramer ailleurs.

le printemps été
la présence d'agriculture intensive usant de pesticides est notable, et il y a aussi des vignes, cette pollution s'associe à celle de la circulation, bien qu'il y a moins de stockage en raison de la convection, les pics de pollutions peuvent être très violents: le traitement d'un champs représente par exemple, un volume d'air carrément irrespirable de l'ordre 20 millions de mètre cubes: de 400m (largeur d'un grand champs, par 5000m (longueur du sillage), par 100m (épaisseur du sillage). à ce volume pollué massivement surtout par les solvant et les produits emportés par le vent, s'ajoute ensuite le dégazage ou l'évaporation du produit décomposé au soleil ou repartant en vapeur, qui prend 3 jours à 40 jours suivant le produit.
Lors du dégazage des maïs par exemple, les produits lachent des composés "bizarres" au soleil, 40 jours après le traitement, renouvelé 2 fois ça fais 80 jours, par vent léger, le champs sent nettement à plusieurs centaines de mètre disons 500m, sur une hauteur de 30m (celle d'un grand arbre) et avec une vitesse du vent moyenne de 10km/h, ce qui représente la pollution de l'ordre de 40000 mètres cubes seconde (comme 100 fois le débit moyen d'un grand fleuve), cela environ 8h par jour ensoleillé, disons en moyenne 6h par jour, durant 80 jours, soit 6 fois 80 fois 3600s = 72 milliards de mètres cubes ou 72 km/cubes.

maintenant que vous connaissez ces ordres de grandeurs, considérez que ramené à la pression au sol, l'atmosphère ne fait que 10km d'épaisseur environ... on n'a donc pas affaire à une pollution négligeable, la couche d'air bloquant la convection est souvent moins haute, et en pratique, les polluants se concentrent surtout entre 0 et 1500 mètre d'altitude en été, et entre 0 et 200m d'altitude en hiver, d'ou des concentrations vraiments tout autre que négligeables.
 

- Les pics locaux de pollution les plus forts sont associés au ski et aux vacances: augmentation par 3 de la circulation, mais plus encore de la pollution car les voitures sont contrariés dans le fonctionnement du moteur (embouteillage)
- le polluant est un gaz que je qualifierais d'allergène: ce gaz associé à des poussières, ou a des pollens provoque "des angines" ou rhumes sans fièvres. Il est évidemment délicat d'affirmer que ceci est du à ça, mais il y a quand même une forte corrélation entre l'exposition à la pollution et a ces symptômes d'allergie. Je suis hypersensible car je consomme bien plus d'air (effort d'endurance), je suis plus agé (10 ans de plus que l'âge d'arrêt des sportifs), et je suis "en haut niveau" physiologiquement parlant, c'est à dire à un niveau de performance à plus de 90% des limites humaines de ma catégorie.
- il s'est généralisé dans les moteurs un procédé appelé "suralimentation" que dans mes écrits antérieur j'appelais "sous régime" ou "excès de couple": quand le moteur est en sous régime on lui demande plus de couple: la suralimentation est utilisé, mais aussi, quand on demande tout simplement un fort couple, même à régime normal, la suralimentation est tout aussi utilisé, ce qui explique l'émission de SAPU un peu partout. ce procédé a permis à des moteurs de même cylindrées de conserver à régime "normal" un rendement ordinaire, mais de disposer d'une réserve de puissance qui ne serait sans cette astuce possible qu'avec un moteur plus gourmand: c'est ainsi que les voitures ont pu doubler de puissance sans consommer plus, et rester en dessous de 7 litre au cent tout en charriant plus d'une tonne.

faisant une recherche sur internet partout, ce procédé est justement vanté comme un moyen de lutte contre la pollution.
il y a moins de suies, mais peut être autant de particules très fines, et plus de NOx car justement, on cherche à réduire l'émission de CO2, et cela implique plus de NOX
La haute technicité des moteurs modernes et la recherche de rendement pour tirer des bagnoles de plus en plus lourde sans consommer plus aboutit à la multiplication d'additifs en tout genre pour améliorer des petites détails de carburation, qui pourraient aboutir à un nouveaux scandale sanitaire. le fait que les moteurs modernes ne brûlent pas complètement (plus de rendement, volontaire) explique que ces solvants se retrouvent dans l'air, et il ya plein de composés du benzène, qui se retrouvent dispersés dans l'air.

observant les épisodes de pollution, je note un fléchissement des défense de l'organisme vis à vis des autres polluants après des périodes d'accumulation de particule fines. les particules fines, dans l'air ambiant semble aussi donner des maux de gorge à beaucoup de voisins, mais les symptômes sont ceux d'une infection. je reste persuadé que c'est la pollution qui a organisé une journée porte ouverte pour les microbes.
j'ai vérifié que ma charge d'entraînement restait en dessous du sur entraînement. de toute façon, le sur entraînement se sent.

faisant une recherche sur internet, je découvre des dires qui le confirment dans http://mastocytosis.chez-alice.fr/
que, après avoir décrit comment les particules fines forcent les varrières de l'organisme et perturbent les défenses immunitaures, entre autres parlant de l'additif qui est dans les sens 100 plombs L'un des éléments les plus inacceptables que produit l'exposition aux MTBE, c'est certainement l'inhibition des défenses immunitaires.
et pattati et pattata... voir extrait de ce texte
archivé.http://pourlaterre.free.fr/quelle_evolution_pour_les_transports_annexe1.html
si ça ne va pas jusque là, les voies respiratoires déjà irritées sont alors plus sensible aux NOx. les pesticides peuvent aussi irriter et affaiblir les défenses imunitaires.

faisant le calcul en divisant le seuil d'information par le rapport entre la ventilation associeé au métabolisme d'un sportif moyen (vers 30 litres d'air par minute) et celle d'un athlète de mon espèce qui ferait mieux de travailler et ne plus se poser ce genre de question ou fermer sa grande gueule, cela signifie que des problèmes peuvent survenir après une concentration de 25. sans doute en lieu isolé, cette concentration est moindre que vers la plupart des capteurs, et ma région obéit à des particularité.
mais le pic de pollution de février a éte remarquable et a fragilisé les voies respiratoires pour près d'un mois

(ventilation pulmonaire d'un athlète entre 80 et  100 litres par minute en endurance = 5000 litres par entraînement, 2 fois par jour peut faire 10000 litres, lors d'une course d'aviron 360 litres/ minute en comptant 1 cycle respiratoire de 6 litre par seconde, durant 7'30!, soit 2700 litres)

2700 litres = 5h30 équivalent exposition au repos pour une course de 2000m
5000 litres= équivalent de 10h de repos par heure d'entraînement 9h
10000 litre = équivalent de 20h
mais ça ne fait pas 22+20h = équivalent 1.75 fois par 24h plus car la pratique de l'entraînement est diurne.
et si l'exposition est forte car pollution de proximité EN PLUS de celle de l'air ambiant (exemple route qui borde le plan d'eau et accumulation par l'inversion locale de température), les polluants ainsi absorbés le sont a une vitesse qui peut dépasser de LARGEMENT  plus de 10 fois la valeur d'un seuil d'alerte subi au repos.

exemple de relevé PM10 et PM2.5 sur toutes les stations rhone alpes.

mes problèmes d'irritation des voies respiratoires ont commencé à être ressenti le 24.
en début de mois, c'était mon coéquipier qui y a eu droit mais moi m'étais retiré au monastère.

Mais il y a quelque chose de vicieux: en effet, les test de laboratoire et du contrôle technique font simplement varier le régime, mais pas le couple, sauf dans "le virtuel": de ce fait, les gaz très bizarres qui composent la pollution "des nouveaux moteurs", n'est pas connue, carrément: en effet: quel données à t'on sur cet espèce d'odeur bizarre qui rapelle la javel bouillie. Une part de la pollution est peut être due aux additifs anti-colmatages.

La suralimentation qui émet "le SAPU est généralisée sur le réseau routier secondaire, et moindre sur autoroute, maximale quand il s'agit d'accélération de 0km/h à plus de 50, ou de maintient de l'allure acquise sur le plat, quand on aborde une côte sans changer de vitesse. l'aspect très gênant en dehors de la pollution chimique est le changement radical de comportement.

je parle maintenant de mes problèmes de cycliste. le vélo était pour moi mon sport favori mais aussi et surtout mon moyen de transport. j'ai eu plusieurs crises de ras le bol, de plus en plus graves, la dernière date de 2006: j'ai décidé de m'interdire le vélo ailleurs que sur des circuits choisis pour leur absence de voiture: route forestières, route ne menant pas à des villages lotis, pistes en terre.
les premières crises de ras le bol étaient due à l'augmentation rapide "de violence routière involontaire", autrement dit l'expression de nervosité des voitures très sensible sur le petit réseau routier. Cela a débuté pour moi en 1998
enfin, à partir de 2002 , automne 2002 j'ai commencé à saturer sur la pollution. depuis 2002 j'ai augmenté ma puissance aérobie pour passer de 275 watts à 360 watts , voir 390, cela a aussi augmenté ma sensibilité. mais il semble que depuis 2002 soit apparu des composés toxiques mais qui ne font pas partie des indicateurs de pollution.

au vu des graphique que j'ai trouvé, il ya concordance: en 1998 se sont généralisés les voitures puissantes, nerveuses et qui gomment les sensations, généralisant la survitesse à proximité des piétons et cyclistes isolés.

Puissance des voiture: favorise la conduite irrégulière sur les petites routes. (source du graphique, le site du sénat) http://www.senat.fr
 http://www.senat.fr/rap/r05-125/r05-125-syn.pdf

C'est depuis l'année 1998 que j'ai commencé à avoir vraiment des problèmes en vélo de type cohabitation (voitures trop nerveuse), en 2002 la pollution est devenu problématique. l'abandon du vélo en tant que moyen de transport a été décidé en 2006.
le seuil de l'insupportable a été dépassé avec la peugeot 206. sa calandre est bombé à la fois dans le plan horizontal et vertical, ainsi, cela fausse la perception du milieu de la voiture (il est percu plus proche), et systématiquement, l'automobilistes sous estime donc la largeur de sa voiture. il ya eu aussi la picasso, avec une très mauvaise visibilité latérale.


Le poids des voiture a aussi augmenté: il en résulte surtout une augmentation des nuisances sonores de roulement: à partir de 1998, j'ai du mettre des protection auditive pour aller sur les routes. comme les voitures sont également plus rapide, les nuisances sonores ont plus que doublé (environ +6 dB)


Quand à la structuration des voitures, elle n'est pas adapté à la route, et même pas aux autoroute. Sur les routes de campagne, la survitesse est parfois bien en dessous de 90, moitié moins que la vitesse possible des voiture: cela a augmenté la violence routière involontaire mais aussi les solicitation au moteur pour aller plus vite entre les virages, donc l'émission locale de SAPU et de BRUIT.

Pour la pollution, je cite des modèles de voitures qui favorisent "à fond" le contexte d'émission de ce gaz irritant.
- la modus
- la fiat panda 2
- la clio 3
- l'espace renaud, le traffic renaud,
- le X trail honda et la yaris
- la C3
- la 307, la 206 (la SW surtout), la C6...
- la pire, et de loin, de toute, la C4 et C4 picasso (leur habitacle incite à une conduite brutale pour le moteur)

Ce sont toutes des diesels, mais il y a des voitures essence qui sentent ça aussi.

j'ai cru comprendre que elles font appel à la technologie de suralimentation, et leur comportement incite l'automobiliste à conduire en suralimentation (couple important, en sous régime ou non)
 

le ressentit des épisodes de pollution NE CORRESPOND PAS aux relevés de air APS (air de l'ain et pays de savoie): d'ailleurs ces différences ont plusieurs fois fait l'objet d'un courrier resté sans réponse, pour demander que on mesure localement les polluants dans ce type de contexte DIFFÉRENT des villes (entrées de village, sortie de rond point, base sportive au bord de l'eau, campagne paumée mais sujette à accumulation..). cette page leur sera communiqué par lien dans un e-mail, aussi suis je le plus précis possible. Mais... les gens "surbookés" qui bossent dans ce genre de boite auront t'il le temps de lire cette page... j'en doute.
de plus il s'agit vraiment de problèmes locaux, comme si en météo on s'intéressait à la météo locale d'une colline particulière.

Voici les contextes où cette pollution a été suffisante pour déclencher des rhinites, laryngite ou pseuso angines. elles ont cette caractéristiques
- semble allergique (je pense que c'est les solvant des carburant qui a cette propriété allergique)
- non contagieuses
- pas de signes infectieux
- si infections les symptômes maximums sont entre 6h et 9h après l'exposition la guérison est presque totale 24 heure après. les signes avant coureurs sont une impression de sensibilité exagérée au caractère "piquant" du "SAPU" (voir définition et très longues explication selon le vécu personel, que je vous invite à bien examiner), ensuite, la santée est perturbée pendant plusieurs jours: grace à une hygiène de vie, ce qui ferais chez la plupart des gens une toux persistante, une extinction de voix ou une angine avec de la fièvre, ne se remarque à peine, mis à part une plus grande sensibilité au SAPU. alors il suffit, pour expirémenter des complications ou installer la maladie de continuer à s'exposer, ce que j'évite bien sur, mais pas toujours, car parfois, il faut quand même aller en zone polluée, ou régler un bateau au club, ou éviter d'aller ramer dans une zone ou l'air et propre mais le courant dangereux.

Le vent est de secteur sud ouest: il transporte les effluves de la route D 992,  des vapeurs d'huile de Mc donald au rond point de Belley EST, et de la ville de Belley, caractérisée par des axes en pente.
l'air reste confiné jusqu'à la trouée du canal (preuve: l'odeur du mac d'eau reste intense) et s'épanche jusqu'au hameau de la tuillère.
il y a une très forte émission locale de pollution entre le rond point et l'autre coté du pont de Belley, ce pont présente un dénivelé marqué, et est associé à une accélération d'après carrefours sens Rond point vers Virignin, dans le sens inverse, les voitures, lançées en 5eim voir 6eim vitesse ne rétrogradent pas assez tôt et montent le pont en force, à la sortie de ce rond point seul la bretelle sortante au nord n'est pas associé à une montée en accélération, ainsi, presque toujours plusieurs milliers de voiture par heure lachent la maximum durant l'accélération (je pense que les émissions locales de ce rond point, concentrées sur 3 voies d'accélération en pente sortant de rond point  valent, carrément, celles de 5km de route linéaire du même gabarit). La conception des moteurs modernes (suralimentation) favorise alors, je pense l'émission de NO2, et des imbrûlés, le composant allergène étant peut être, entre autres, depuis 2002 les additifs servant à ce que les moteurs hdi ne se bouchent pas. (les moteurs HDI ne fontionnent pas "normallement" sans ces additifs)

cette pollution locale s'ajoute à la pollution ambiante, sans doute plus marquée par flux de sud ouest, car cet air rammase au passage toute la vallée du rhône ainsi, le cumul local plus ambiant plus situation d'effort physique dépasse le seuil. de plus, l'air est plus chaud et l'eau tend à confiner une couche d'accumulation de pollution locale: c'est l'effet tunnel.
 
 

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SAPU
Gaz de type "nazopabon" (pas bon pour les naseaux) qui porte pour cette page ce nom farfelu car il s'git en fait de gaz inconnu, et peut être même pas indicateurs de pollution, et sans doute de formule chimique fortement variable
ils sont émis par les voitures diesel, parfois essences, qui possèdent un moteur "suralimenté" (j'ai obtenu cette information sur les alimentation du moteur en lisant un historique de l'évolution des voitures), dans les cas suivant
- régime correct mais excès de couple
- sous régime
- moteur au ralentit
du SAPU est émis en veux tu en voilà, pan! dans les narines!

une composante de ce gaz rappelle l'acide nitrique, il s'agit je pense d'oxydes ou de dioxyde d'azotes; il sont plus piquants que porteur d'une odeur.
Une autre composante donne l'impression de respirer de la poussière fine, comme si on respirait du tapis secoué
Ce type d'odeur n'est presque jamais émis par une voiture construite avant 1998, il semble donc que le SAPU soit associé à la suralimentation. je ne dis pas que les anciennes voitures ne puent pas, au contraire elles puent plus, mais par rapport à ce que ça sent, cela paraît moins toxique, moins percinieux, et les anciennes voitures ont un moteur qui a son mot à dire dans l'habitacle: elles sont MIEUX CONDUITES, sinon: elles callent purement et simplement...

odeur du SAPU justement les composant odorant sont éliminés: le SAPU a une texture, mais pas vraiment une odeur, de ce fait la plupart des gens ne le sentent pas ou du moins n'interprêtent pas la sensation comme une odeur: en présence de SAPU si on n'isole pas les sensations, le pollen semble irrittant, les fleurs semble avoir une odeur gênante, bref: le SAPU fait penser que tout PU, on dit "sa pue" en parlant de la nature: marais, fleurs, platane, tout ce qui est accusé souvent à tord d'être allergène.
pour compliqué les chôses, il y a un effet de seuil: on ne détecte semble t'il le SAPU que si on débite beaucoup d'air. il semble bien que rares sont les personnes qui débitent plus que 3 à 5 fois le débit d'air de repos, pour aller plus loin il faut avoir un fort niveau sportif. les athlètes sont rares, et ceux ci seulement, qui capable de faire plus de 3 watts/kilo en endurance aérobie multiplient ainsi par un ordre de grandeur de 10, les échanges gazeux, et ILS LE FONT AU QUOTIDIEN (il n'est pas possible d'atteindre untel niveau avec du sport "de temps en temps".
Parmis cette population rare, rare encore sont ceux qui ne sont pas absorbés par le sport, car à ce niveau là, le sport est un enjeu compétitif et non plus de la contemplation, concentrés ils sont, "la tête dans le guidon", ils subissent sans même sentir "les merdes qui leur tombent dessus", et puis le medecin sort invariablement "vous avez épuisé votre organisme, et affaiblit vos défences immunitaires" ce qui... justement est souvent, en plus, le cas.
parmis disons 1% de la population devenant capable de métaboliser 10 fois la valeur de repos en continu durant une durée pouvant dépasser l'heure presque tous les jours et non pas de temps en temps, il y a disons, peut être même pas 10% qui sont vigilants à ce qui se passe quand ils pratiquent, parmis ces 10 à 1% de 1% soit une personne sur 1000 à 10000 peu ont du temps à consacrer à la recherche à coté de leur pratique sportive déjà à peine casée dans leur emploi du temps. donc il n'est pas ettonnant que sur une région de plus de 10000 habitants, je ne suis peut être que le seul à soulever le problème et à prendre le temps de l'écrire (mine de rien c'est long). c'est ainsi que la pollution automobile, la plus évidente, arrive à passer inaperçue, peu révélée, produit peu de littérature, tout en rendant malade une GRANDE PARTIE de la population (je suis sur que si les medecins croisaient leur statistiques et que on isolait une partie de la population des routes et zones à forte concentration, on pourrait démontrer très nettement l'impact sanitaire, à peu près, du même ordre que la tabagisme passif et actif, peut être la cause de 9 affections respiratoire sur 10)

Il est vrai, c'est l'association du SAPU avec les pollens, les poussières, les bactéries qui font plus encore les maladies avérée qui vont plus loin que la simple gêne qui s'imiscie dans le quotidien sans même être recconue, que le SAPU seul produit en général, alors "on" (le marketing?) accuse "la nature" de produire des allergènes, on place dans les voitures "des filtres à pollens".
Cette afirmation est donc non démontrable et je vous invite à utiliser tout votre esprit critique pour en juger: le SAPU des voitures rend allergène: mais il y a aussi la bouffe chargée d'additifs, de pesticides, les vapeurs de pesticides, le mauvais état de santé (officiellement pas un mauvais état de santé justement!) d'une population fatiguée d'être sédentaire et de subir la pression au travail, l'usage de produits allergènes: crêmes qui collent les lèvres de ceux qui vous font la bise, shampoing qui permet de se peigner autrement qu'avec une brosse à chaussure, produits qui lavent par terre et mettent les mouches qui cognent au vitres sur le dos: comment isoler la responsabilité du SAPU dans une population si... droguée?
Je pense pouvoir, par mon mode de vie l'isoler, et suggère ici par cet amas de lettres envahissant votre écran une série d'éxpirémentation dans ce sens là...
- mon hygiène de vie est stable: je n'ai pas de travail, je fait un sport d'endurance, mais je ne fais pas du sur entraînement (je surveille mes charges d'entraînement et tiens à jour le journal), je ne mange que de la nourriture biologique, je ne crains pas les pollens (puisque je n'ai pas d'allergies quand je taille des chemins, et même en fauchant les prés d'ambroisie (les graviaires du rhône raclées par la CNR sont parfois de la monoculture intensive d'ambroisie), je n'utilise que du savon à l'huile, pas de shampoing. aucun insecticide, pas de produits, je me suis isolé du mode de vie "voiture" (je ne vais presque pas sur les route, je circule à pieds, en bateau, on achète par correspondance). En période végétative le traitement des cultures peut ajouter une toxicité, mais pas en hiver.
- malgré ceci j'ai constaté à force de noter, une étroite corrélation entre l'exposition aux gaz "de la route" et des manifestations allergiques ou du moins des irritations des voies respiratoires qui d'ailleurs sont les seuls problèmes de santé physique que je connaisse assez souvent, le caractère non quotidien d'exposition à la pollution de la route permet d'avoir des évènements corrélés.
Puis je en douter? au début ces irritations paraissaient dues à la fatigue: elle correspondaient aux entraînement d'aviron à aix les bains, elles pouvaient aussi être due à la météo: elle apparaissaient surtout par les vagues de froids. ayant acheté un bateau, rien qu'en changeant de lieu, cela ne le faisait plus: quand il fait froid en effet, souvent le vent vient de l'est, et à Aix les bain, à l'est du lac, où l'on doit se tenir pour rester dans la zone de sécuritéà moins de 500m d'une route qui draîne parfois 50000 voitures/jour, le vent d'est étale les polluants sur le lac.
Sur la route: la pratique du vélo conduisait assez souvent à des saignements de nez: réaction logique: trop d'effort, fatigue et soleil. de supprimer un itinéraire systématiquement emprunté de temps à autre par une file de voiture roulant en suralimentation a presque réglé ce problème: il pouvait passer 10 voitures de suite sur une montée à 5% faisant 100m de dénivelé, mais la route (montée de St-Didier à Natage) est de nature à confiner les polluants par blocage convectif, l'effort en vélo était de l'ordre de 300 watts soit 1320 watts métaboliques, soit 3.7 litre d'oxygène par minute, comme il est rejeté 16% d'oxygène sur les 20% que contient l'air inspiré il faut faire 100/4 fois 3.7 litres pour connaître le débit de la ventilation= 94 litre d'air respirés par minute= environ 12 fois plus que chez une personne au repos.
Une voiture montant à 30km/h cette côte délivre la même puissance qu'en roulant à 100, donc au mieux rejette des gas comme 3 voiture sur le plat, mais en raison de la mauvaise carburation c'est plutôt 30 à 60 fois.
En vélo 300 watts ne permettent là que 18km/h soit 3 fois moins vite qu'une voiture
au final, cette portion de route de 2km en vaut comme 4, et une voiture en vaut comme 50 fois, et on respire 12 fois plus; ce qui représente, à durée d'exposition égale 3 fois plus longtemps fois 50 fois plus polluant, en respirant 12 fois plus = 1800 fois plus.
Bien sur, décrêter que une voiture en côte pollue 50 fois plus peut paraître excessif, mais c'est pourtant le cas quand justement
- le pot catalytique n'est pas en température
- il y a sur alimentation et trop de couple, pas assez de régime
disons pour être prudent que au mieux la multiplication est de l'ordre de 100, sans doute elle est de l'ordre de 2000, et peut être que c'est pire... c'est ainsi que se faire dépasser, en vélo, par seulement 10 voitures sur une montée de 2km n'est pas du tout anodin, c'est comme se faire doubler, assis sur un vélomoteur par 1000 à 10000 voitures sur une route à grande circulation!
PIRE ENCORE le vélo étant un engin qui contraint les automobilistes à ralentir pour dépasser en sécurité (petites routes), l'automobiliste ne manque pas de pêter un nuage de SAPU en demandant le couple maximum au moteur lors de la reprise... sans bien sur le savoir. Un automobiliste donc qui fait l'effort de ralentir au lieu de passer en trombe fait payer ainsi le prix de l'égart qu'il a eu pour le cycliste: j'ai pensé à vous, mais voilà un nuage de SAPU pour vous... heureusement c'est involontaire, mais cela EST.
c'est ainsi que j'explique que faisant tous les jours ce trajet, je contractait systématiquement au bout de quelques jours une rhinite avec saignements.
Dans le domaine de l'aviron, il existe une situation assez exceptionelle pour le malheureux club de Yenne Virignin
- la salle de musculation est au bord de la N504 à l'ouest de yenne, juste à l'ouverture du défilé de la balme: la salle de muscule baigne dans l'air pollué par la proximité d'une route où passe parfois 3000 voitures par heure, au moins 1000: on est censé y pratiquer, l'hiver la base d'entraînement qui consiste à faire 8 fois le métabolisme de repos, soit ingérer environ 65 litres d'air par minute, et ce 2 fois 40 minute soit l'équivalent de 10h40 d'exposition, d'exposition dans l'air pollué au maximum car l'entraînement se déroule justement entre 18h et 20h, durant le plus gros pic de circulation de la journée, ainsi, un entraînement équivaut à faire une cure qui équivaut à respirer, peut être l'équivalent de 3 jour d'exposition à la pollution normale d'une ville sans faire d'effort.

- la base d'embarquement est situé à la montée du pont des écassaz: le trafic est à peu près aussi dense qu'à yenne, mais c'est pire: les voiture abordent une côte alors que les automobilistes ne pensent pas à rétrograder: le soir, à l'heure des entraînement, la lumière du soleil décline et comme on se trouve à la base d'une colline, l'air se densifie au voisinage du sol, et coule donc de la colline, traverse la route, puis s'étale sur la base d'aviron.
En bateau on ne reste pas dessous, on va plus loin, mais malgré tout, pour des raisons de sécurité et de présence près de la base, la plupart des rameurs font leur kilomètres, ce qui représente 8 à 10h d'expoisition pour une heure de rame, juste entre les deux pont, de Belley et des écassaz. L'exposition à la pollution peut alors y être tantôt plutôt faible (vent allant du canal vers la route), tantôt maximale (vent allant de la route vers le canal)
c'est actuellement dans ce contexte là, que je prend la plupart de mes affections respiratoires.
les autres aussi, mais cela paraît si banal
on a le rhume par ce
- on a pris froid
- par ce qu'il y a un virus
- par ce que l'un là passé à l'autre...
alors... la route à coté...
pensant que c'était "les autres" qui me filaient le rhume, je les évitait, pour ne pas rater par exemple une période de préparation à la compétition. or, rien de changé. ensuite, changement de statégie: je vais ramer ailleurs, mais vais voir les autres sans par contre m'entraîner avec eux: beaucoup moins de problème et surtout pas de contagion: donc... ça se pourrait bien que c'est la route.

Contexte d'émission du SAPU: moteur EN DEHORS de sa plage de fonctionnement "normal"... renseignement pris "utilise alors la turbocompression ou la suralimentation" qui hyperventile le moteur sinon essouflé. Cela arrive, peut être bien 3 fois sur 4 ailleurs que sur les autoroutes planes et les nationales dégagées permettant le nonante à l'heure sans discontinuer: tout virage, village, ralentisseur, rupture de pente entraîne une variation de couple. Normallement l'automobiliste devrait changer de rapport de boite à vitesse, mais les voitures modernes sont si silencieuses, et les moteurs si puissants, que les sensations de conduites ne reflètent pas un dysfonctionnement: et même pire: ce dysfontionnement est permis (et n'est peut être même mêmepas un dysfonctionnement conceptuellement), et cela ne fait pas de surconsommation. Pire encore, beaucoup de gens se sentent plus à l'aise en conduisant plutôt en sous régime, car justement, le moteur délivre moins de puissance en tournant lentement, la limite du couple étant là. Il apparait que le seuil du confort est vers entre 10 et 50 watts par kilo si on ne recherche pas à conduire vite. autrement la voiture "part trop vite" (ce qui est le cas pour beaucoup d'automobilistes qui roulent, et non pas "pilotent"),  en "bridant" ainsi la puissance, la conduite est moins capricieuse, mais PAN DANS LES NARINES du cycliste. Les nouveaux moteurs ne callent pas, ils assument en effet ce couple plus élevé grace à la technique de suralimentation qui rend plus coupleux les moteurs de cylindrée "modeste". la suralimentation se traduit par un excès de comburant, donc sans doute du NO2, et peut être des émissions d'imbrûlés, la température étant pas assez élevée pour détruire les solvants... (hypothèse à vérifier je donne des axes de recherche)

le fait que les voitures sont presque 2 fois plus lourdes que 15 ans en arrière augmente la différence de couple moteur à chaque rupture de pente.
ainsi, l'émission de SAPU est déroutante (ça fait justement... éviter la route!)
- elle n'est pas forcément proportionelle au nombre de voitures
- elle se concentre sur des carrefours, des montées, et parfois des routes peu fréquentées mais de nature à provoquer systématiquement une conduite en suralimentation.