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MES CHOIX (actuels,
île de la Réunion CILAOS)
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Actuel: Professionnels dans Col mytique monté en 46', pneus de
section de 28mm tubless
Ancien, Col mythique enviseageable en 50' pneus de section de 23mm
à chambre à air les limites humaines n'ayant guère
changé, 4' de gain s'expliquent par les pneus qui étaient les
meilleurs.
Amateurs 1h00 environ les meilleurs à l'époque des pneus avec
chambre 23mm, les équivalent pourraient espérer atteindre 55'
actuellement
Mais il s'agit des meilleurs pneus, peu fiables qui crèvent
facilement, avec peu de gomme et une structure légère,
forcément sans compromis, pour routes balayées.
Oui, le rendement augmente en gonflant plus les pneus, jusqu'à une
limite de la perte de confort où l'énergie des vibrations, au lieu d'être consommée par le pneu pour en partie être
restitué par le caractère élastique de l'ensemble
pneu-vélo est communiquée trop fortement au cycliste qui
l'absorbe sans la restituee.
Les professionnels ont fini par adopter des pneus de 28mm gonflés
moins durs que les anciens de 23mm qui étaient tape Q et casse
couilles.
En clair, l'énergie perdue en
secousses non amorties, on l'a dans le Q jusqu'à l'OS et
ça c'est pas bon. Elle est PERDUE et non RESTITUÉE.
Pour le reste on sacrifie la performance si on exige un pneu fiable
(résistant aux crevaisons), même en restant dans la gamme route
la différence est immense.
Pour celui qui se déplace simplement pour admirer le paysage et se
faire du bien, oublier le chrono et adapter les braquets, ça roule de
l'ordre de 10% moins vitesse sur le plat comme en côte. (Pour les
braquets cela revient à retrouver les même choix de pignons
avec un 34-50 au lieu d'un 39-53.
DIFFÉRENCE PNEU utilitaire renforcé vs PNEU qu'on pète.
30-60 watts de plus à vitesse
équivalente à grande vitesse ou 1.5 à 2km/h de moins
entre 30 et 40km/h
Sur le plat 10 à 20% de perte de rendement = -3 à -6% vitesse
= de l'ordre de 1 à 2 km/h vers 35km/h = plutôt 38km/h en
"contre la montre" au lieu de 41 à 42
EN côte, la perte de rendement rapporté
en rapport puissance sur poids correspond tout de même à
allourdir le vélo de 5kg ordre de grandeur,
La perte de rendement devient plus considérable si le pneu est
sculpté.
EN côte, la vitesse est moindre, mais la perte de rendement jouant sur
le puissance sur poids, elle n'est pas fonction de racine cubique mais
direct.
En côte 10 à 20% de perte de rendement = -10 à -20%
vitesse perte plus forte en considérant qu'on a un pneu un peu
sculpté.
la limite humaine référence Grand Colombier par Culoz se
tenant vers 46' passerait rien qu'en équipant les pros de pneus
pour aller au travail en hiver, à 55 à 57', pour des pros de
niveau mondial.
Là où aucun cycliste ne passe sous les 50', les meilleurs
amateurs non pro, jeunes sont sur 1H avec le même matériel, les
meilleurs amateurs vieux (au delà de 50 ans) sont entre 1h15 et 1h20,
la plupart des amateurs en ballades sont vers 1h40.
Hors alimentation et substances non repérées, les
progrès les plus récents sont probablement du au tubless qui
ont apporté un gain sensible par rapports aux pneus ou boyau avec
chambre, les vélos pesant 7Kg.
SUBTILITÉ, la perte de rendement des pneus est selon le nombre de
déformation par unité de temps, donc selon la vitesse
exposant 1 alors que la résistance de l'air est selon la
vitesse exposant 3.
Le coefficient de roulement exprime simplement la pente "éternelle"
ajoutée, qui se sent plus si la résistance de l'air est
négligeable (on va pas tellement moins vite pour faire descendre la
résistance de l'air alors que la pente ne change pas).
SUBTILITÉ contre-intuitif ++ en côte ça se sent
encore plus si ça monte pas fort,
la pente "éternelle" ajoutée étant moins
négligeable en proportion
Cela pénalise là encore SURTOUT le cycliste faible
Sur le plan personnel
- J'ai expérimenté sur un vélo performant des vitesses
ascensionelles "de confort" entre 1200 et 1450m/h sur un vélo de 9kg
avec pneus pro4 endurance 23mm 7 bars qui ont encore peu de pertes
(même si c'est loin d'être des pneus de course mais des pneus
encore "utilitaires", sur asphalte. ("au top", ça aurait probablement
été 1250 à 1530m/h sur les même pentes)
- J'ai monté le Grand colombier en 1H02 avec un vélo de course
carbone mais avec des pneus anti-crevaison à tringle dont j'ignorais
le mauvais rendement. J'aurais pu le faire en 1H00 ou moins.
- J'ai monté le Grand colombier en 1H18 avec lun gravel
inventé dans les années 1999 équipé de supers
gros pneus, de garde bous, de dynamo de moyeu et avec fourche suspendue non
bloquable à élastomères fatigués.
= 1.3 fois plus de temps de montée et 34km/h sur le plat
38km/h
de moyenne sur les trajets plats.
Je n'ai pas de combinaisons de coureur, pas de chaussette, et les shorts en
cotons avec poches cousus par ma maman avec des slips à poche et
même une braguette (la différence d'aérodynamisme des
tenues de coureur est considérable, elle permet, en contre la montre
des gains de l'ordre de 5km/h par rapport à une tenue
négligée), rien que la tenue sans se mettre en vélo de
triathlon pourrait faire +3km/h
Sur le grand colombier (montée à sec), 1h18 à 1h20
comparé 1h02 à 1h05 = 24% = le double
d'écart-temps que sur le plat
(je pense que ça serait moins avec une fourche non
téléscopique même aussi lourd!)
18Kg "c'est un scandale". Le responsable du magasin qui a
monté avec moi ce monstre (dans les années 1990) en avait
honte. '"c'est pas un vélo ça"...
9Kg "Non?! mais tu ne va pas pédaler pieds nus avec ça?!"
En France mes vélos sont sales par ce
que je ne dispose pas de Solanum mauritianum Plante nettoyante magique qui
pousse près de Nairobie, Aux Açores, Vers le Lesoto, et
à La Réunion.
Enfin avec ce vélo là, d'usage actuel, qui est bien mieux
adapté au contexte de routes pourries, parfois chemins, portage,
vélo cross alu près de 12Kg.
et ce type de pneus
+15 ans de vieillissement peu entrainé + vélo + lourds avec
pneus + tous terrains et renforcés, j'observe en côte un
écart de 1.18 = 18% en côte par rapport à mois plus
jeune plus entrainé avec le vélo léger
équipé de pneus plutôts performants
Cela ferait +10mn sur le Grand colombier
J'observe à 54 ans des taux de montée en zone de confort, avec
le vélo cross, je suis entre
1000 et 1150m/h confort et le "SV2" efforts
intense vers 1300, 23:33 D241 1200m fin PENTE D'ABORD, montée en
8'16 estimation 330 watts 1306m/h tenables mais pas exploitables pour
des longs parcours (peut être l'entraînement n'était pas
encore refait, je me déplaçait peu en vélo depuis
longtemps).
Avec de l'entrainement devenu quotidien (300m de dénivelé et
entre 20mn et 1H de vélo par jour), j'ai un peu progressé,
pourtant j'ai changé de roue (plus lourdes et moins performantes,
mais acceptant plus de section et freinant mieux piste de freinage non
bouffée), de pneus, (encore plus lourds des 32 mm marathon + à
la place des 28 mm delta cruiseur), et gagné l'équivalent de 1
à 2 dents en sensations (je monte en 24 et 27 dents ce qui me
demandait le 28 dents)
avec le vélo carbonne à 40 ans (je faisais de la
compétition, courses de barque et d'aviron) j'étais presque
idéalement entrâiné, à part si on regarde le
poids d'une musculature non-vélo.
1200 à 1350m/h confort
avec un SV2 vers 1500m/h avec le vélo carbone, ce qui
ferait 1.18 d'écart À 54 ans vélo cross / 40 ans
vélo carbonne.
Bien qu'il serait surprenant que je soit au niveau de mes 40 ans, peut
être ai-je moins perdu qu'il y paraît si il est vrai que les
pneus font tant de pertes.
pour 72Kg Sachant que ma FCmax était 192 et que mon seuil
aérobie annaérobie se tenait vers 171 ou même au
delà, (capable de faire plus d'une demi-heure à 168 pulses)
J'avais lors de cette époque de grande forme grimpé un col
célèbre "Le Grand Colombier"
en 1h02 vers 40 ans avec ce vélo carbonne et fait toute une
extrapolation ajustée par les observations d'un tas de cyclistes et
de leur cardio, et pour la prévision, en me basant sur des
pourcentages, que les meilleurs pro feraient entre 48 et 50 ' ça
s'est réalisé confirmement le "plafonnement des limites
humaines" à un niveau plausible.
Et si le triple plateau n'existe plus et qu'on remplace par le "compact"...
20081116-demande-a-campgnolo
J'étais pas loin de demander ce qui n'existait pas qui existe
maintenant.
Creusement de sujet sur le
triple-plateau
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